Pour l’avocate Maritxu Paulus-Basurco (photo ci-dessus), les décisions concernant la libération conditionnelle des prisonniers basques ne sont pas objectives.
En droit français, la décision de liberté conditionnelle est soumise à la libre appréciation des juges. Le 28 janvier, la chambre d’application des peines a refusé la libération de Lorentxa Beyrie, arguant l’absence de remise en cause de ses actes.
La repentance ne fait pas partie des conditions légales de mise en liberté conditionnelle mais elle peut être utilisée par les juges comme élément d’appréciation. Ici "en l’absence de remise en cause des faits qui lui sont reprochés, la chambre a estimé que Lorentxa Beyrie restait une militante d’ETA, et que l’organisation n’ayant pas rendu les armes, le risque de récidive était présent".
Note de Xarlo :
Faut-il rappeler qu’ETA a rendu les armes aux autorités françaises, après avoir déclaré un cessez-le-feu unilatéral et définitif il y a déjà plusieurs années ?
Pour nos "élites", la vengeance est un plat qui se mange froid et à toutes les sauces, y compris à travers leur prétendue Justice. Ce ne sont que des MINABLES = Pitoyables, misérables, médiocres, lamentables… et j’ajoute des criminels fils de Garches et enfants de Puteaux !
MUNDU HOBEA POSIBLE DA… EGIN DEZAGUN !
UN MONDE MEILLEUR EST POSSIBLE… FAISONS-LE !
UN MUNDO MEJOR ES POSIBLE… TENEMOS QUE HACERLO !