Bonjour, camarade Edouard !
On ne peut pas refaire l’histoire, mais essayer de la comprendre sans préjugés, et dans toutes ses facettes. L’attitude de l’extrême-gauche en 40 est complexe et si beaucoup sont passés du mauvais côté ou tenté de « pactiser tactiquement » avec les nazis, certains, comme Georges Politzer, se dont engagés, sans attendre de consignes de personne. Georges Politzer y a laissé sa vie, en 1942, après avoir été l’un des tous premiers Résistants, à partir de l’été 40, alors que la direction du PCF tentait de négocier la reparution « légale » de l’Humanité avec l’occupant…
Il ne faut donc (...)