Dans l’économie primitive antique le « cheptel », somme de têtes de bétail, représente aussi le « capital », la richesse de son propriétaire.
La domination du banco-centralisme sur le capitalisme financier est clairement apparue avec la crise de 2008 et l’introduction généralisée des politiques monétaires banco-centraliste de type quantitative easing, consistant à racheter indirectement la dette des Etats en créant de la monnaie disponible en surabondance pour soutenir le cours des titres en bourse.
Des titres qui se sont donc trouvés à un niveau artificiellement suffisamment élevé, également, pour permettre et garantir l’endettement des trusts industriels et financiers autrement potentiellement ruinés par la crise.
Bien entendu, de la communauté villageoise rurale de producteurs indépendants aux trusts monopolistes banco-centralisés, il s’agit là d’une présentation schématique des principales formes du capital et stades du capitalisme, et non pas d’un résumé de l’ensemble de l’histoire économique de la société humaine.