Personnellement, je pense au contraire que s’il était réellement gaulliste il serait donc nettement moins dogmatique à propos de cette fixette sur le frexit. Comme nous le rappelle Pierre De Gaulle, son grand-père était avant tout un pragmatique faisant avec la réalité des choses, même si en conservant ses buts fondamentaux. L’important est le but à atteindre, et non le chemin pour y arriver, frexit ou non, à court ou à long terme.
Pour l’instant, reprendre des relations politiques et économiques amicales avec la Russie, ce serait déjà une rupture majeure avec l’évolution de la situation française (...)