Dominés et dominants n’ont pas la même notion de dieu. Pour les dominants, dieu, ses cathédrales et ses états ont servis et servent toujours à justifier la servitude. Pour eux, le christianisme (comme le judaïsme en Palestine occupée, l’islam en Libye, en Syrie ou au Yémen, le bouddhisme de la dictature religieuse des dalaï-lamas, etc., la liste est longue) apporte la liberté. Il est donc facile d’être croyant quand on est riche, puissant et bourgeois.
Quand au dominé, s’il est croyant il doit se poser la question si les valeurs véhiculées par sa religion sont en accord avec le sens qu’il veut donner à (...)