Certains camarades sont tellement lobotomisés par le bourrage de crâne écolo, 24h sur 24 sur toutes les TV, qu’ils n’imaginent même pas ce que deviendraient les industries si elles étaient libérées de la concurrence, de l’idolâtrie de la compétitivité et de la religion du taux de profit. Nous pourrions ne travailler que 200 heures par an et produire 20 fois plus et les usines pourraient devenir des lieux de convivialité dont les activités principales ne seraient pas la production de VALEURS d’USAGE mais le sport, la culture, la relaxation, la bonne bouffe et l’amitié. Bien sûr cela suppose 200 fois plus (...)