Encore une fois nous constatons que la bourgeoisie ne laisse pas le pouvoir lui échapper . Par tous les moyens possibles elle empêche toute politique révolutionnaire de se mettre en place . Les dirigeants progressistes des pays déstabilisés (chili-Indonésie-Congo-Afghanistan hier) et (Honduras-Argentine-Brésil – Irak-Syrie-Ukraine-Bolivie aujourd’hui) n’ont pas compris par naïveté ou complicité interne que leurs adversaires bourgeois ne renoncent pas à leurs privilèges de bon gré , d’où leur coup d’Etat ou leurs révolutions dites de couleur en s’appuyant sur les faiblesses du système nouveau mis en place (...)