Dans le contexte de l’accord de l’OTAN avec la Turquie, les Kurdes proposent d’expulser la coalition internationale de Syrie.
En réponse au fait qu’une décision positive a été prise sur l’entrée de la Suède et de la Finlande dans l’OTAN en échange de la rupture des relations entre ces deux États avec les formations kurdes, ce qui a été activement promu par les pays de l’Alliance de l’Atlantique Nord, les Kurdes entendent d’envisager la possibilité d’un blocus de la coalition internationale sur l’ensemble du territoire contrôlé de la Syrie, privant notamment les États-Unis d’accès aux champs pétrolifères du nord-est de la République arabe.
Les Kurdes ont accusé la Suède, la Finlande, la Turquie et d’autres pays de l’OTAN d’hostilité de facto envers le PKK et les Kurdes.