Le pouvoir nous a confiné pour tuer la lutte de classe.
Le pouvoir a dû prendre le train en marche. Comme à chaque grande crise, "les gros" vont peut-être maigrir un peu et réduire la voilure mais pour mieux repartir après. En revanche, les petits et les précaires vont sérieusement trinquer voire fermer, disparaître ou se faire absorber. Les crises sont l’occasion de rebattre les cartes à tous les niveaux mais sont surtout favorables aux tenants du système qui peuvent en profiter pour renforcer et affirmer leurs positions. De là à imaginer qu’à défaut de pouvoir faire une guerre classique tout cela (...)