Chaque fois qu’Israël libère une prisonnier palestinien, il en arrête au moins 3 autres.
Ce mardi 7 octobre 2025, on va beaucoup entendre parler des 48 otages israéliens vivants et morts — personne ne dira qu’ils ont été tués par Israël et que ceux qui ne l’ont pas encore été sont en danger chaque minute de mourir sous les bombardements israéliens.
Mais qui va nous parler des 11.000 hommes, femmes et enfants palestiniens qui croupissent dans les prisons de l’occupant, privés de nourriture, de soins, de visites, souvent torturés (70 sont morts sous la torture), et détenus en toute illégalité puisqu’une puissance occupante n’a pas le droit, en vertu des Conventions de Genève, de transférer tout ou partie de la population occupée sur son territoire ?