Le 9 Mars dernier la photo de Marianna Vichemirskaya sortant difficilement des ruines encore fumantes de la maternité numéro 3 de Marioupol faisait la une des journaux du monde entier, avec les accusations de tous les médias concernant un prétendu « bombardement aérien » de la part de l’aviation russe.
Traumatisée tant par cette violence que par les manipulations journalistiques dont elle a fait l’objet, elle a néanmoins entrepris de témoigner, par la suite, notamment sur sa chaîne Telegram, pour tenter de rétablir la réalité des faits.
Ces jours derniers elle s’est donc sentie particulièrement concernée par les « révélations » du rapport d’Amnesty International.