Le capitaine de gendarmerie malgré les 111 jours de détention ne sait toujours pas ce que signifie la prison où la plupart des détenus sont d’origine sociale dés plus modeste. Il a bénéficié de conditions particulières : cellule individuelle, personnel pénitentiaire complètement attaché à sa sécurité et son confort même s’il est spartiate. Je ne crois pas que cette privation de liberté très temporaire au regard des longues peines appliquées par la machine judiciaire en France ait pu constituer "le choc carcéral" dont parle Juving-Brunet avec tout son cortège d’humiliation, de mutilation, de misère, etc. (...)