Il faut seulement respecter ce qui reste encore de respectable… (Pas grand-chose, à l’heure actuelle !)
A la rigueur, que Macron se fasse enfiler depuis son adolescence par un vieux pédophile transgenre, vu qu’il y a désormais prescription, ma foi, si c’est son plaisir … L’« anti-Godrèche », au pouvoir…
Mais ce n’est pas là l’histoire « officielle » de la famille Macron-Trogneux.
Telle quelle, cette histoire « officielle » n’a rien de plus « crédible » que les rumeurs les plus folles que certains sont tentés de lui substituer, et avec une relative cohérence dans les éléments avancés, qui plus est, vu les énormes « trous » et contradictions dans la ou les versions « officielles ».
Par conséquent, le peu de crédibilité du récit « officiel » de la famille Macron-Trogneux incite évidemment et assez logiquement à penser qu’il y a donc réellement « quelque chose à cacher », quelle que soit cette « chose ».
C’est donc là que le problème dépasse le cadre de la vie privée d’un chef d’Etat, dans la mesure où « ceux qui savent » réellement ce qu’est la « chose cachée » dans la vie du Président ont nécessairement barre sur lui et sur sa capacité à prendre des décisions importantes en toute indépendance. De là les « hypothèses » selon lesquelles il aurait donc été « sélectionné » par le système pour le servir sans risque de « ruer dans les brancards ».
Imaginons que Philippot devienne un jour le président du pays : son homosexualité est pleinement assumée et publiquement connue de tout le monde, de sorte que cela ne changerait strictement rien à sa capacité à diriger le pays en toute indépendance, d’une part, et de l’autre, à mener tranquillement la vie privée qui lui convient avec son conjoint actuel, ou un autre, le cas échéant.
Dans le cas de la famille Macron-Trogneux, comme le souligne la journaliste US Candace Owens, il n’y aurait rien de difficile à détruire à la fois la rumeur et, politiquement, ceux qui la propagent, et de plus, cela pourrait être fait à la fois avec tact et humour, et donc, outre le coup politique magistral contre une bonne partie de ses opposants, il mettrait radicalement les rieurs de son côté, alors qu’actuellement ce sont plutôt les diverses hypothétiques « reconstructions » de la famille Macron-Trogneux, parfois faites essentiellement sur le mode de l’humour satirique, qui font un carton de ce côté.
De plus, ici, on nous présente « Emmanuelle Anizon, grand reporter » qui a fait ce bouquin et en fait la promo, également sur « France Culture », excusez du peu… Or dans un cas comme dans l’autre son sujet « d’attaque » assumé est l’histoire de Natacha Rey, bien plus que celle de « Brigitte ». De sorte que si Natacha Rey a éventuellement développé une obsession sur le sujet « Brigitte », Emmanuelle Anizon en a développé une après Natacha Rey… Prochainement on verra donc peut-être un livre d’une autre « reporter » au sujet d’Anizon sur le thème : « Emmanuelle à la poursuite de Natacha Rey », et ainsi de suite… En plus, question reportage et « inversion des rôles », Anizon nous présente Natacha Rey comme étant à l’origine de la « rumeur », alors qu’il est tout de même assez bien connu que les premières « hypothèses » sur le sujet proviennent de « Faits & Documents », la revue de Xavier Poussard, d’extrême droite assumée, quant à lui. Le comble, sur France Culture, c’est donc qu’elle place Xavier Poussard comme « récupérateur politique après coup » de l’hypothèse…
https://youtu.be/4okMdyxgwso
« L’affaire Brigitte Macron est l’histoire de Natacha Rey, une femme qui s’est persuadée que la Première dame était un homme, et qui a propagé sa théorie sur internet. »
Alors que…
https://twitter.com/faitsetdocs/status/1768952464420540627
Il est vrai qu’un bouquin sur Xavier Poussard, c’est nettement moins vendeur…
Ce que l’on voit dans les commentaires, à la suite de l’une et l’autre vidéo, c’est que le prétendu « fact-checking » d’Anizon est inexistant au-delà du simple dénigrement de la personne de Natacha Rey, et sans qu’aucune des « hypothèses » sur « Brigitte » ne soit réellement exposée ni réellement « débunkée ». En réalité ça ne fonctionne pas du tout, sauf au contraire pour relancer la polémique et on peut se demander si ce n’est pas exactement le but recherché : non pas mettre fin à la « rumeur » mais au contraire la relancer comme sujet de diversion à un moment où le système est dans une sorte d’impasse, face à la situation internationale, alors même qu’il n’a plus d’opposition réelle, à l’intérieur.
Un contexte qui permet donc au « couple présidentiel » de se présenter en « martyr de la rumeur », la position de « martyr officiel » permettant de légitimer « moralement » les décisions les plus désastreuses pour le pays.
Encore une « inversion des rôles »…
Dans un système en « crise » chronique le « sexe de Brigitte » c’est déjà devenu, mieux que le « Monstre du Loch Ness » ou le « Serpent de Mer », un truc qui « ressort » de temps à autre… Un sujet « mythique » réutilisable selon nécessité politique, et s’il y avait réellement une volonté de « tuer le mythe » cela aurait donc été fait depuis longtemps.
A moins d’une impossibilité réelle concernant la « dualité » « Jean-Michel/Brigitte » qu’un « commentateur youtube » résume ainsi :
« C’est comme Superman et Clark Kent, ils ne sont jamais au même endroit en même temps !!!! »
Un « paradoxe » qui fonctionne aussi avec « Zorro/Don Diego de la Vega », et peut-être d’autres encore…
Néanmoins, le style du super héro(ïne) atteint de « dysphorie de genre » reste à créer… Un « créneau » qui reste à prendre… Évidemment, plutôt dans une veine satirico-comique. « SuperManu en Russie » pourrait être un bon début (Illustration ci-dessous) !
Mais tout cela resterait simplement une occasion de bien rigoler, s’il ne s’agissait de la survie de notre pauvre France…
La « décennie Macron », hélas pas encore terminée, (et en espérant au moins qu’elle se termine bien à sa date de péremption « constitutionnelle »…), pourtant contemporaine de l’ère « me too », reste celle d’une France sous influence, soumise et asservie.
Même indépendamment du genre réel de l’individu(e ?) Brigitte Macron-Trogneux, la France de Macron reste celle d’un(e ?) « anti-Godrèche » : elle reste encore incapable de se libérer de sa servitude.
Vue de Russie, en tout cas, elle n’en est pas moins « En Marche ! » :
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