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Coronavirus - Les dessous de la grande peur

mercredi 28 avril 2021, par do (Date de rédaction antérieure : 17 mars 2021).

Depuis un an, le VRAI combat est là :

Le coronavirus sert d’excuse au pouvoir pour fonder la grande peur.

La distanciation sociale, c’est le contraire de la lutte de classe.

Si la gauche et l’extrême gauche ont été lamentables lors de ce combat contre la grande peur, c’est à cause de la grande trahison de Mélenchon :

http://mai68.org/spip2/spip.php?article6682

Le but du pouvoir en provoquant la grande peur qui justifie le confinement n’est pas seulement d’éviter la lutte de classe. Il est de faire une guerre sans guerre qui favorise la mondialisation de l’économie, et, surtout, endette les nations pour provoquer le banco-centralisme.

Grand reset : Le moteur principal du banco-centralisme est la robotisation. La robotisation, en supprimant la plus-value, amène de façon naturelle la fin de la monnaie. Sauf si les banques centrales réussissent à l’empêcher en prenant le pouvoir absolu.

Ceci est expliqué presque complètement aux liens suivants :

http://mai68.org/spip2/spip.php?article7169

http://mai68.org/spip2/spip.php?article7752

http://mai68.org/spip2/spip.php?article8195

Il est indispensable de lire aussi les encadrés et les commentaires en dessous des articles.

9 Messages de forum

  • Coronavirus - Les dessous de la grande peur 19 mars 2021 18:30, par AntiGouv

    Ne pas mettre Mélenchon en cause dans cette affaire, soit il aurait du voir du coté des médecins qui soignent et ne pas écouter ceux qui passent sur les télés . Il en prend tellement dans la figure de la part des médiacrate, n’en rajoutons pas, merci…

    moi ancien de 68 j ’ai la haine de Cohn Bendit, je répéte souvent qu’a cette époque j’aurais du lui foutre un beau pavé du boulmich sur le coin de ça figure !!!!

    Maintenant le cov me fait chier, il serait temps de faire mordre la poussière aux yankees et autres sbires qui sont les fouteurs de merde sur la planète.
    Pensons y :: :: :

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  • Coronavirus - Les dessous de la grande peur 19 mars 2021 18:31, par AntiGouv

    Ne pas mettre Mélenchon en cause dans cette affaire, soit il aurait du voir du coté des médecins qui soignent et ne pas écouter ceux qui passent sur les télés . Il en prend tellement dans la figure de la part des médiacrates, n’en rajoutons pas, merci…

    moi ancien de 68 j ’ai la haine de Cohn Bendit, je répéte souvent qu’a cette époque j’aurais du lui foutre un beau pavé du boulmich sur le coin de ça figure !!!!

    Maintenant le cov me fait chier, il serait temps de faire mordre la poussière aux yankees et autres sbires qui sont les fouteurs de merde sur la planète.
    Pensons y :: :: :

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  • Coronavirus - Les dessous de la grande peur 27 mars 2021 13:28, par Luniterre

    Marx a-t-il réellement prévu la fin du capitalisme et/ou l’émergence du banco-centralisme ???

    Évidemment Marx militait pour le communisme, qu’il considérait simplement comme le mouvement du réel, et non comme une secte partisane d’aucune sorte, dotée de quelque dogme idéologique que ce soit.

    Mais, d’une part, il n’a jamais considéré que le socialisme/communisme interviendrait automatiquement par la faillite du capitalisme, mais seulement par l’intervention politique consciente du prolétariat, et d’autre part il n’a jamais considéré que la faillite du capitalisme signifierait donc automatiquement la fin du pouvoir de classe de la bourgeoisie, qui préexistait, de fait, sur le terrain de la vie économique, à l’avènement du capitalisme industriel.

    Mais qu’est-ce que Marx définissait comme étant le capitalisme de l’ère industrielle, sinon l’élargissement constant du capital par le cycle productif industriel, élargissement basé sur la production de plus-value dégagée par ce mode de production capitaliste industriel ?

    Or comment Marx définissait la fin du capitalisme, en tant qu’évolution du mode de production, sinon précisément par la fin de la production d’une plus-value suffisante pour son élargissement ?

    Cette fin est clairement identifiée, dans son œuvre, par le fait qu’avec le développement des forces productives modernes, de plus en plus automatisées, déjà en son temps, simplement celui de l’émergence d’une industrie mue par la vapeur, et donc aujourd’hui, à plus forte raison, à l’ère de l’informatisation et de la robotisation, le cycle de reproduction du capital fixe, nécessaire au développement de cette machinerie automatisée, l’emporte nécessairement, progressivement, mais inexorablement, sur le cycle du capital variable, celui du travail humain vivant productif et directement objectivé dans la production, sur la ligne de production elle-même.

    Or, comme il nous l’explique si bien, ce n’est que de ce dernier cycle que provient la plus-value qui permet l’élargissement du capital.

    Il y a donc nécessairement un moment de l’histoire du capitalisme où le refinancement de la masse du capital fixe mis en mouvement l’emporte, en termes de masse financière, sur la masse financière mise en mouvement dans le capital variable.

    Et il y a donc aussi, et tout aussi inexorablement, un moment où la masse de plus-value encore dégagée par le capital variable en mouvement ne suffit plus à refinancer l’élargissement continu de la masse du capital fixe dans le mouvement productif, concentrée sur les moyens de production de plus en plus modernes, automatisés et robotisés.

    Il y a donc un moment historique où la dette globale du système, principalement basée sur l’importance des investissements nécessaires en capital fixe, ne peut plus être remboursée par le cycle normal de la plus-value encore créée par le travail productif humain, mais, proportionnellement, constamment en réduction. L’augmentation de la dette globale du système est donc inéluctable, à ce stade, qui est déjà le nôtre, en fait, depuis plusieurs décennies.

    La tendance « compensatoire » inévitable étant alors simplement de déconnecter les marges bénéficiaires formellement nécessaires à ce remboursement d’avec les marges de valeur-travail réellement encore produites.

    Cela entraîne donc nécessairement une déconnexion de la masse monétaire en circulation d’avec la valeur encore réellement créée par le travail.

    Dans ses Grundrisse, dès 1857, et donc dix ans déjà avant la publication du Livre 1 du Capital, Marx nous explique la déconnexion progressive qui s’opère, avec les processus d’automatisation, entre valeur et temps de travail.

    Pendant plus d’un siècle, à la suite, même sans avoir connaissance des Grundrisse, publiées seulement en 1939, les capitalistes ont entretenu aussi méthodiquement et férocement que possible le lien entre temps de travail et valeur produite, notamment à travers les méthodes du taylorisme, et on comprend donc bien pourquoi…

    Ces méthodes sont toujours à l’œuvre, sous une forme ou sous une autre, dans les secteurs productifs qui le rendent encore possible, mais la déconnexion entre temps de travail et valeur commercialisable réellement produite n’en est pas moins inexorable, globalement, du fait que la valeur de la production est de plus en plus, et directement, la simple reproduction du capital fixe formellement investi, et déjà, le plus souvent, sous forme de dette.

    L’équilibre formel global, c’est-à-dire formellement « comptable », exige donc une masse monétaire toujours croissante, et donc le gonflement quasi-permanent du bilan des Banques Centrales, émettrices de liquidités, en dernier ressort.

    Elles sont donc, en dernière analyse, le poumon du système, en termes de « respiration monétaire », et son cœur, en termes de pouvoir politique réel.

    A défaut de socialisme/communisme, c’est-à-dire, d’intervention politique consciente du prolétariat, c’est donc bien la mutation banco-centraliste du système de domination de classe qui représente, que cela nous plaise ou non, le mouvement du réel.

    En ce sens, il est tout à fait évident que Marx avait donc « prévu » et la faillite du capitalisme et sa mutation banco-centraliste.

    Luniterre, 27/03/2021

    https://tribunemlreypa.wordpress.co…

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  • Mes petits amis ,vous oubliez un aspect fondamental de la guerre impérialiste c’est de détruire non seulement les forces productives obsolètes mais aussi la force de travail excédentaire .
    C’est ce que la bourgeoisie essaie de faire avec le Covid et la "vaccination" -génocide à ARN messager et à nanoparticules …
    Ceci dit , la classe dominante, est seulement apparemment d’accord au niveau international mais les conflits inter-impérialistes demeurent et s’aiguisent même de plus en plus au fil de la crise .
    Ils s’aiguisent car la baisse tendancielle du taux de profit devient insupportable et seule la guerre pourra y remédier temporairement car , elle seule , permettra la destruction des forces productives anciennes et leur reconstruction avec un niveau d’exploitation plus élevé … L’épisode actuel n’y remédiera en rien et s’il devait durer , l’Humanité s’enfoncerait dans la barbarie et s’acheminerait vers sa fin , issue que le marxisme n’a jamais écarté …

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    • Coronavirus - Les dessous de la grande peur 8 avril 2021 16:16, par do

      La force de travail excédentaire

      Les capitalistes détruisent la force de travail excédentaire en ce sens qu’ils la mettent au chômage. PAS en ce sens qu’ils la tuent. Ils la laissent ensuite se démerder toute seule. Cela leur poserait de gros problèmes s’ils la tuaient. Ce ne serait pas gratuit. Et il y aurait des révoltes. Ils préfèrent la laisser à son triste sort. De plus, les gens au chômages sont très utiles. Car, ceux qui ne sont pas chômeurs ont peur de le devenir. Pour éviter les grèves rien de tel que le spectacle du chômage : Plus il y a de chômeurs et moins il y a de grèves.

      Pour le reste, tu devrais cliquer sur les liens proposés dans l’article. Et tu verrais une autre solution au problème posé à la classe dominante par la baisse tendancielle du taux de profit, la seule désormais qu’elle doit et peut mettre en branle pour se maintenir au pouvoir : le banco-centralisme.

      Bien à toi,
      do
      http://mai68.org

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    • Coronavirus - Les dessous de la grande peur 8 avril 2021 21:04, par Luniterre

      En réponse à "anonyme", qui écrit :

      "…la classe dominante, est seulement apparemment d’accord au niveau international mais les conflits inter-impérialistes demeurent et s’aiguisent même de plus en plus au fil de la crise .
      Ils s’aiguisent car la baisse tendancielle du taux de profit devient insupportable et seule la guerre pourra y remédier temporairement car , elle seule , permettra la destruction des forces productives anciennes et leur reconstruction avec un niveau d’exploitation plus élevé … L’épisode actuel n’y remédiera en rien et s’il devait durer , l’Humanité s’enfoncerait dans la barbarie et s’acheminerait vers sa fin , issue que le marxisme n’a jamais écarté …"

      C’est le type même de discours du gars qui récite son bréviaire de chapelle sur la baisse tendancielle du taux de profit, sans être capable d’ouvrir les yeux sur le monde réel d’aujourd’hui, où ce cap est déjà dépassé par le système, via la compensation en profits fictifs assurés par le roulement de la dette et la création monétaire suffisante pour la garantir, gérée et contrôlée par les Banques Centrales.

      Dans le monde actuel, le pouvoir de contrôler les économies modernes est concentré entre les cinq principales Banques Centrales : FED, PBoC, BCE, BoE, BoJ. Chacune a sa zone d’influence et sa zone monétaire, mais les cinq sont interdépendantes, malgré les contradictions inter-impérialistes subsistantes, parce que les politiques monétaires « modernes », depuis 2008, ne sont possibles que de façon coordonnées, en réalité.

      Même le cours du Yuan et du Dollar restent nécessairement liés et indexés l’un à l’autre, dans une fourchette nécessairement très étroite, (+ ou — 2% du « cours pivot »), sans quoi les variations « spontanées » du change entraineraient ces deux géants dans un krach en quelques jours, tout comme un relèvement un tant soit peu « inattendu » des taux directeurs FED et BCE, entrainerait l’ensemble de l’économie occidentale à la faillite.

      Depuis le début de ce siècle, et surtout depuis 2008, l’ensemble de l’économie mondiale repose sur le fragile équilibre des politiques monétaires, que personne n’a intérêt à rompre, ce qui est une relative garantie face à l’éventualité d’un conflit planétaire, dont personne ne tirerait avantage.

      Les seuls « francs tireurs », si l’on peut dire, dans ce monde, sont, paradoxalement, mais logiquement, en fait, les nations qui ont précisément été mises « au ban des nations » pour les diverses raisons historiques et politiques, comme la Russie et l’Iran, et qui se sont donc trouvées obligée de survivre en relative autarcie, et de façon la plus endogène possible, sinon, en termes de développement économique.

      Ils sont donc « francs tireurs » en termes de résistance nationale et de protection de leurs zones d’influences respectives, nécessaires à leur survie comme nations indépendantes, mais ils n’ont évidemment pas davantage intérêt à des confrontations armées systématiques, contrairement à ce que prétendent les impérialistes.

      Il s’agit essentiellement d’une stratégie de défense coordonnée, qui implique parfois des actions vitales de contre-offensives nécessaires.

      Mais sur le plan économique, il demeure donc toujours une différence d’échelle tellement considérable que l’on peut réellement parler, dans leur cas, de survivances de bourgeoisies nationales. Idem pour le Bélarus, comme autre exemple. La RPDC, Cuba, sont dans ce type de situation, également. Dans ce cas, les pays les plus petits ou affaiblis économiquement sont donc constamment pris dans les influences contradictoires, avec le plus souvent beaucoup de difficultés à résister, comme le Venezuela, la Syrie, etc…

      Le système à donc bien un problème avec la population improductive surnuméraire, mais la solution guerrière n’est pas l’option majeure, au delà de conflits d’importance régionale néanmoins considérable. La solution est manifestement le tristement fameux "tittytainment", principe de maintien et de soumission dans l’oisiveté de cette masse. C’est le prototype de cette situation qui est constitué par l’expérience du confinement massif. Bien évidemment, cela n’exclut pas forcément des solutions de " régulation " plus drastiques, dont l’obligation de vaccination pourrait également être le prototype.

      Luniterre

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    • Coronavirus - Les dessous de la grande peur 9 avril 2021 10:56, par Luniterre

      De plus, dans le chapelet du récitant de ce bréviaire de chapelle pseudo-« marxiste » (…laquelle, au fait ?), il y a une de ces perles qui est bien le signe caractéristique de l’ignorance et de la bêtise crasse de la « gauche » française (et/ou francophone) actuelle :

      « …seule la guerre pourra y remédier temporairement car, elle seule, permettra la destruction des forces productives anciennes et leur reconstruction avec un niveau d’exploitation plus élevé… »

      En réalité, du point de vue de l’analyse historique, c’est déjà une contre-vérité si flagrante que l’on reste tout d’abord sans voix devant la capacité de ce genre de prêcheur à se complaire dans ses propres proclamations messianiques de bazar…

      En effet, si le constat d’évidence est bien que les guerres ont jusqu’ici permis au système de se débarrasser des forces productives obsolètes pour généraliser les techniques les plus modernes, non seulement il ne va pas de soi que cela a renforcé à chaque fois le degré d’exploitation du prolétariat, mais c’est même le contraire qui s’est le plus souvent produit, comme le montre suffisamment l’exemple type des « 30 Glorieuses », aux lendemains de la 2e GM.

      La rationalisation productive du temps de travail ne va pas forcément avec un recul du capital investi dans la masse salariale, comme le montre l’exemple de l’instauration et de la généralisation du taylorisme sur la ligne de production de la Ford T, en 1914, qui voit les salaires plus que doubler.

      Au contraire, donc, dans les périodes de nouvelle expansion du capital productif, le capitaliste perçoit très bien l’intérêt de maintenir une part élevée du capital circulant dans la masse salariale, afin précisément d’assurer la rotation complète et le développement du cycle production-consommation. Ce qui prouve, du reste, que les bourgeois avisés ont toujours lu attentivement Marx, contrairement à la plupart des pseudos-« marxistes », et qu’ils en ont tiré les conséquences pratiques utiles pour leur bizness, dès le début du XXe siècle. Dès lors, il n’y a aucune raison de supposer qu’ils soient devenus des andouilles complètes depuis, et, hélas, la suite de l’histoire le confirme…

      Ce principe de circulation du capital exige donc une relative entente tacite, sinon explicite, entre monopoles des diverses branches d’activité et un frein relativement « naturel » à la concurrence, qui se trouve du fait de l’endogénéité, également relative, des bassins de développement économique, dans les premières phases de la mondialisation, entre deux guerres et encore, dans les premières décennies suivant la seconde.

      Mais ce consensus a commencé à réellement voler en éclats avec le premier « choc pétrolier » et la nouvelle « compradorisation » de la Chine maoïste, au début des années 70. C’est également à cette époque que l’industrie occidentale, et même japonaise, atteint son pic de productivité maximum.
      Dès lors, la tertiairisation de l’économie devient la roue de secours de la circulation du capital par le biais de la masse salariale, tout en rencontrant assez vite ses limites.

      La « financiarisation » exacerbée de l’économie impérialiste permet néanmoins à ce système d’atteindre son apogée à la fin du XXe siècle, avec le passage progressif de la Chine par tous les stades « classiques » plus ou moins entremêlés, d’une économie néo-comprador à une économie financière en soi et pour soi, de type potentiellement impérialiste.

      Mais dans sa lancée le développement chinois avance aussi l’ère de l’automatisation et de la robotisation à grande échelle des forces productives, celle qui voit s’amorcer une décorrélation entre temps de travail et valeur d’usage produite, qui n’est de plus en plus que la seule et simple reproduction de la valeur d’usage du capital fixe. Syndrome que Marx avait déjà parfaitement analysé et décrit, dans ses Grundrisse, dès 1857, en observant simplement le développement de l’industrie primitive, entièrement et encore exclusivement mue par la machine à vapeur.

      Sur les dernières décennies, depuis la fin du XXe siècle, les analystes au service du système ont largement eu le temps d’étudier toutes ces questions et il est donc parfaitement présomptueux, et même, carrément idiot, de supposer qu’ils soient donc aujourd’hui moins « réactifs » que leurs prédécesseurs aux mutations inexorables de leur propre système et qu’ils n’aient pas déjà agit en conséquence, non pour un pseudo-« modèle » de conservatisme psycho-rigide, voué à la ruine à brève échéance, mais bien pour faire évoluer formes et processus fondamentaux de leur système de domination de classe, en fonction de toutes les données observables et de la dynamique intrinsèque qui s’en dégage.

      C’est à l’évidence ce qui peut se comprendre avec l’analyse des politiques monétaires menées depuis 2008 et de leurs incidences sur la survie du capital financier et l’évolution de sa corrélation avec le développement du cycle du capital fixe.

      Cycle qui ne peut continuer à se développer que par un endettement systémique entièrement sous le contrôle des Banques Centrales, impliquant, à terme, leur mainmise directe sur l’ensemble de la production de valeurs d’usage, monopolisant ainsi tout usage matériel de la vie, ce qui ne peut aller sans le monopole correspondant de ce qui reste de conscience humaine.

      Luniterre

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