
La prison
"Est-ce à dire qu’une prison, de quelque nature qu’elle soit, laisse des empreintes sur la liberté ?"
C’est la question que je me suis toujours posée sans que je puisse d’y répondre faute d’expérience concrète personnelle… C’était sans compter avec le confinement provoqué par la pandémie due à la Covid-19.
Depuis, ma réponse s’est faite : "C’est oui !"
"Je ne serai plus jamais le même après le confinement qu’avant. Ma liberté a changé."
Notes de do :
Tout d’abord, il ne faut pas dire "LA covid", mais "LE covid".
Car au début, tout le monde disait "le covid". Ensuite, c’est le pouvoir qui a décidé qu’on devrait dire "LA covid". C’était un test de soumission, et il n’est pas question d’y céder !
VOCABULAIRE DE L’ENNEMI, VOCABULAIRE ENNEMI !
Ensuite, le confinement n’a PAS été provoqué par la pandémie !
Il a été voulu par le pouvoir. Dire qu’« il a été provoqué par la pandémie », c’est le langage du pouvoir.
Il a ensuite été démontré que le confnement était contre-productif du point de vue de la lutte contre le covid. Par contre, il a constitué un test de soumission à grande échelle pour démontrer que le pouvoir pouvait tout se permettre s’il réussissait à provoquer une grande peur. Ensuite, le test qui a consisté à faire accepter de dire "la covid" plutôt que "le covid" n’a été qu’un bonus.
La grande peur n’a pu être créée que grâce à la trahison de la gauche
Voir explications sur ces trois points dans l’article.
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