
Une réflexion à propos de « Quinze jours de dépenses militaires mondiales suffisent à nourrir, loger, habiller, chauffer tous les habitants de la Terre, alors, pourquoi laisser tous ces gens dans la misère ? »
Peu importe, en réalité, sur ce sujet, le degré d’approximation des calculs. Le constat est bien tout simplement l’absurdité monstrueuse de la gestion de la société humaine dans son ensemble.
Parallèlement, on vient de « revoir » l’histoire du Che avec deux excellentes vidéos republiées sur VLR.
Une histoire mainte fois « revue » et plus ou moins corrigée selon les vues idéologiques des « historiens » à l’œuvre. Il y aurait donc là aussi une recherche à poursuivre pour « affiner » la précision historique, mais plus d’un demi-siècle après, ce n’est pas non plus le sujet important, quant au fond.
Le vrai sujet, quand on fait le rapprochement, bien nécessaire, des deux problématiques, c’est bien le bilan et la perspective d’un éventuel « progrès historique ».
Avec le recul du temps, on se rend compte de l’énormité du décalage entre cet « idéal » et la réalité, que ce soit celle des années 60, ou la nôtre, celle de la presque fin de ce premier quart du XXIe siècle !
L’humanité a-t-elle « reculé » ou « avancé » en termes de progrès social, de relations sociales, en termes de progrès dans les relations entre les nations, entre les peuples ?
Bon, mais après tout et quoi qu’il en soit, la question reste, comme qui dirait : « que faire ? »…