
Non seulement la « loi du quoi qu’il en coûte » subventionnée par la BCE ne règle en rien le problème sanitaire qui en est le prétexte, non seulement elle ne règle en rien les problèmes sociaux du « monde d’avant », que ce soient les revendications des Gilets Jaunes ou les besoins déjà criants de l’Hôpital Public, mais elle génère, sur le terrain, une nouvelle strate de misère qui vient se rajouter à l’ancienne, sans même ouvrir une simple perspective de répit dans cette descente aux enfers du banco-centralisme.
Pour faire régner, dans le « monde d’après », ce nouvel ordre mondial banco-centraliste sur le territoire de la France, le gouvernement Macron ne peut y arriver qu’en foulant aux pieds, et chaque jour un peu plus, les droits et les libertés des citoyens français, tels que ceux-ci les croyaient encore établis par les luttes sociales et politiques des générations passées.






































