Une étude, portant sur plus de 47000 enfants de 9 ans, révèle que les enfants vacciné ont un risque 170 % plus élevé de développer l’autisme et ont 212 % plus de risques de développer d’autres troubles du développement neurologique, notamment le TDAH, l’épilepsie, l’inflammation cérébrale, les tics et les troubles de l’apprentissage.
Les 11 vaccins "obligatoires" - imposés arbitrairement, en France, en 2018, par M. Macron et Mme Buzyn - ont, d’après cette étude, pour effet de générer des maladies et d’apporter d’énormes bénéfices à BigPharma. Par conséquent, sous des prétextes fallacieux, notre gouvernement viole le droit de chaque enfant à la liberté de disposer de soi-même, puisque tous deux :
l’État avec BigPharma empoisonnent les enfants.
Etant donné que, pour nos enfants, les RISQUES sont non négligeables n’est-il pas préférable de ne plus faire d’enfants, tant qu’il y aura des injections obligatoires chez des nourrissons, de 2 mois à 1 an, contre la diphtérie, l’haemophilus influenzae B, le tétanos, la poliomyélite, la coqueluche, l’hépatite B, le méningocoque C, le pneumocoque, la rougeole, les oreillons, la rubéole ?
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Dans ce contexte, afin de ne pas risquer d’avoir un enfant avec un cerveau endommagé et lui faire vivre, à lui et à sa famille, une "vie de merde", l’idée de la "grève des ventres", si elle me semble logique afin de ne pas avoir d’enfants handicapés, va dans le sens des écologistes et des mondialistes de Davos qui prônent la dépopulation grâce à l’euthanasie, aux guerres et grâce à la dénatalité par la contraception, l’avortement, l’homosexualité, la vaccination et par la création de conditions économiques et sociales qui sont défavorables aux familles nombreuses…
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