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Bolivie - les USA œuvrent au renversement du président légitime Evo Morales

vendredi 5 février 2016, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 5 février 2016).

http://fr.sputniknews.com/internati…

15:03 20.01.2016 (mis à jour 15:06 20.01.2016

L’opposition bolivienne reçoit de l’argent et des consignes de la part des Etats-Unis afin de renverser le président légitime Evo Morales et son gouvernement, a annoncé mardi la ministre bolivienne de la Communication, Marianela Paco.

A titre d’exemple, elle a cité un document prévoyant 23 actions concrètes à effectuer pour parvenir à cette fin, rapporte l’agence Prensa Latina.

Baptisé Plan stratégique pour la Bolivie, ce document a été rédigé par l’Interamerican Institute for Democracy dirigé, entre autres, par Carlos Sanchez Berzain, ex-ministre bolivien réfugié aux Etats-Unis et accusé dans sa patrie d’avoir participé à un massacre en octobre 2003, sous le gouvernement de Gonzalo Sanchez de Lozada.

"Nous avons des preuves irréfutables, premièrement, au sujet du financement qu’ils (les opposants) reçoivent pour mener une campagne négative contre la démocratie et, deuxièmement, au sujet des liens directs de l’opposition avec Carlos Sanchez Berzain", a déclaré Marianela Paco lors d’une conférence de presse au Palais du gouvernement.

Le Plan stratégique pour la Bolivie affirme notamment que la démocratie en Amérique latine "a été dérobée par des gouvernements populistes et néolibéraux qui interdisent, étouffent et font craindre la pensée libre", mais oublie de dire que ces gouvernements ont tous été élus à la suite d’un vote démocratique.

Le document appelle en outre à "provoquer des troubles" au moyens de messages postés sur les réseaux sociaux afin de "stimuler le mécontentement social".

Pour démontrer l’implication d’opposants boliviens dans la campagne calomnieuse orchestrée depuis les Etats-Unis, Marianela Paco a cité les propos tenus par la députée du Parti démocrate-chrétien Norma Pierola et son collègue de l’Unité démocratique Amilcar Barral. La première avait déclaré qu’il n’y avait pas de crime à recevoir des fonds de l’extérieur et le second avait confirmé que les personnalités politiques de l’opposition entretenaient des contacts permanents avec Carlos Sanchez Berzain.

Il y a exactement une semaine, le président bolivien a accusé l’opposition de recevoir des fonds servant à financer les campagnes électorales d’hommes politiques de droite qui avaient fui la Bolivie et qui bénéficiaient du soutien de Washington.


Bolivie : deux Européens condamnés pour tentative d’attentat contre Morales

http://fr.sputniknews.com/international/20150221/1014838341.html

13:26 21.02.2015 (mis à jour 16:05 05.10.2015)

Le tribunal de La Paz a condamné un Hongrois et un Croate à cinq ans et 10 mois de prison.

Deux Européens, un Croate et en Hongrois, ont été condamnés à des peines de prisons en Bolivie pour tentative d’attentat contre le président Evo Morales, a annoncé vendredi soir le procureur général de Bolivie Ramiro José Guerrero.

"Le tribunal de La Paz a condamné ces personnes à cinq ans et dix mois de prison", a indiqué M.Guerrero cité par le site La Segunda.

Le Hongrois Elod Tóásó et le Croate Mario Tádic, qui a également la nationalité bolivienne, ont été reconnus coupables de tentative de révolte armée. Ils ont également été accusés d’avoir fait partie d’un groupe de mercenaires enrôlés par la bourgeoisie bolivienne pour tuer le président Evo Morales et mener des activités séparatistes dans la province de Santa Cruz en 2009.

Trois autres mercenaires présumés — le Croato-Bolivien Eduardo Rózsa-Flores, l’Irlandais Michael Dwyer et le Hongrois Árpád Magyarosi — ont été abattus par la police d’élite bolivienne en avril 2009 à Santa Cruz.


Bolivie : Morales confortablement réélu à la tête du pays

http://fr.sputniknews.com/international/20141013/202688211.html

10:00 13.10.2014 (mis à jour 16:05 05.10.2015)

Le président sortant bolivien Evo Morales a été confortablement réélu à son poste pour un troisième mandat consécutif, rapporte lundi le correspondant de RIA Novosti à La Paz.

Le président sortant bolivien Evo Morales a été confortablement réélu à son poste pour un troisième mandat consécutif, rapporte lundi le correspondant de RIA Novosti à La Paz.

Selon les résultats des sondages réalisés à la sortie des urnes, M.Morales remporte la présidentielle tenue dimanche avec 61% des suffrages. Son parti Mouvement pour le socialisme conserve quant à lui la majorité des sièges au Sénat et au parlement.

Le principal rival de Morales, Samuel Doria Medina, du parti de l’Unité démocratique, a recueilli 24% des voix. Bien que le dépouillement ne soit pas encore terminé, les rivaux de M.Morales ont reconnu leur défaite et les partisans du président ont commencé à fêter leur victoire à La Paz.

Le président uruguayen José Mujica a félicité M.Morales par téléphone, constatant la "poursuite de la révolution" en Bolivie. Le chef d’Etat nicaraguayen Daniel Ortega a pour sa part qualifié la victoire de Morales de nouvelle étape de la "libération" de l’Amérique Latine.

La présidente argentine Cristina Kirchner, le numéro un vénézuélien Nicolas Maduro et le leader cubain Raul Castro ont également adressé leurs félicitations à Evo Morales.

1 Message

  • Les USA n’acceptent que les dirigeants à leur botte.

    Le 23 juin 2009, Obama et Hillary Clinton ont obtenu ce qu’ils recherchaient depuis des mois aux Honduras : le renversement du président progressiste démocratiquement élu, Manuel Relaya, par des militaires putschistes à la solde des USA. Ce coup d’Etat avait été préparé par des manifestations suscitées par des organisations de la société civile financées par Washington au titre de l’aide à la démocratie et à la défense des droits de l’Homme.

    Cette méthode est devenue un classique de la politique étrangère US. Alors qu’on nous inonde quotidiennement du moindre fait divers survenu aux USA, nos médias passent sous silence le travail de sape conduit par Washington dans les pays où ils veulent obtenir un « changement de régime » (« regime change », selon la doctrine en vigueur là-bas).

    La Bolivie est dans le collimateur :

    http://www.jennar.fr/?p=4815

    Raoul Marc Jennar

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