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Vive Nuit debout qui, le 16 avril 2016, a chassé le sioniste Alain Finkielkraut (vidéos)

dimanche 17 février 2019, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 18 avril 2016).

Note de do : évidemment, la plus grande partie de la classe politique a pris parti pour Finkielkraut contre Nuit de bout. Ça tombe bien, on pense autant de mal de la classe politique que de fielcrotte !


"Nuit debout" : Alain Finkielkraut expulsé de la place de la République

http://nanterrereseau.blogspot.fr/2…

Dimanche 17 avril 2016

l voulait rencontrer les participants du mouvement Nuit debout afin "d’écouter" leurs revendications, pourtant sa visite n’a pas été bien accueillie et Alain Finkielkraut n’est pas resté longtemps place de la République. À son arrivée, il a été insulté aux cris de "facho" et "casse-toi", lancés par les manifestants.

Pourtant le philosophe a refusé de partir dans un premier temps et a continué d’essayer de se frayer un chemin parmi la foule hostile. Excédé par les insultes qui continuaient de pleuvoir, Alain Finkielkraut a fini lui aussi par s’emporter et a lancé : "saloperies" et a accusé les manifestants d’être des "fascistes" à plusieurs reprises avant de quitter les lieux, toujours sous les insultes.

Il n’a d’ailleurs pas hésité à répondre aux insultes en traitant une femme de "pauvre conne" alors qu’il traversait la rue place de la République. "Je me fais insulter, je peux répondre aussi, oui ! Je suis quand même un être humain", a-t-il justifié alors qu’une personne lui faisait remarquer de "ne pas en rajouter".

Interrogé par des journalistes du "Cercle des volontaires", le philosophe a expliqué qu’il était venu "par curiosité, pour savoir à quoi m’en tenir sans passer par le filtre des médias". "J’ai été expulsé d’une place où doivent régner la démocratie et le pluralisme, donc cette démocratie, c’est du bobard, ce pluralisme, c’est un mensonge", conclut-il.

"D’autant que je ne venais pour écouter et non pour intervenir", a insisté le philosophe. "On a voulu purifier la place de la République. J’ai subi cette purification, avec mon épouse", a-t-il également déploré, ajoutant que s’il n’y avait pas eu un service d’ordre, il se serait "fait lyncher".

Quelques heures plus tôt, l’ancien ministre des Finances grec Yanis Varoufakis avait en revanche était très bien accueilli par les manifestants. Après avoir accusé François Hollande de "dévaloriser le travail", il a promis qu’il reviendrait place de la République "dès dimanche soir".

(17-04-2016 - Avec les agences de presse)


Hué et insulté, Alain Finkielkraut a été expulsé de “Nuit Debout

http://www.lesinrocks.com/2016/04/1…

17/04/2016 | 10h48

Capture d’écran de la vidéo du "Cercle des Volontaires" / 17 avril 2016

Le philosophe Alain Finkielkraut a été contraint de quitter sous un flot d’insultes la place de la République à Paris, samedi 16 avril au soir, alors qu’il était venu observer le mouvement citoyen “Nuit debout” qui occupe l’espace depuis plus de deux semaines.

“Facho“, “saloperie“, “casse-toi” : sur la vidéo tournée samedi 16 avril au soir, les insultes fusent. Elles sont dirigées contre le philosophe Alain Finkielkraut, qui s’est rendu sur la place de la République à Paris pour assister au mouvement “Nuit debout” qui dure depuis plus de deux semaines. Il a finalement été obligé de quitter les lieux sous les injures, avec son épouse.

Sadia Diawara, qui se décrit comme un militant associatif sur sa page Facebook, a filmé une partie de la scène et posté la vidéo sur le réseau social.

Finkielkraut à Nuit-debout le soir du 16 avril 2016

Video Sadia Diawara

Cliquer sur l’image pour voir la vidéo.

“On a voulu purifier la place de la République de ma présence”

Alors qu’il est en train de quitter la place, suivi par quelques personnes qui continuent de l’insulter, on voit le philosophe se retourner et lancer “Gnagnagnagnagna, pauvre conne !“. Avant de continuer :

“Des coups de latte, qu’il te faut ! (…) Ça va, je me fais insulter, je peux répondre aussi. Je suis quand même un être humain, non ?”

Interrogé par le site internet le “Cercle des volontaires” juste après son éviction, le philosophe a asséné :

“J’ai été expulsé d’un mouvement, d’une place, où doit régner la démocratie et le pluralisme. Donc cette démocratie, c’est des bobards, ce pluralisme, c’est un mensonge. D’autant que je ne venais que pour écouter, même pas pour intervenir ou faire valoir mes idées. Mais on a voulu purifier la place de la République de ma présence.”

Finkielkraut interviewé par le cercle des volontaires le 16 avril 2016

Cliquer sur l’image pour voir la vidéo.

Sur Twitter, les “pour” et les “contre” l’éviction s’opposent

Douze heures plus tard, le nom d’Alain Finkielkraut était toujours en première position des thèmes les plus discutés sur Twitter avec, à 10h30 du matin dimanche 17 avril, plus de 8 000 tweets. Sur le réseau social, où l’on discute beaucoup du mouvement “Nuit debout” depuis ses débuts, deux positions s’affrontent. Il y a ceux qui condamnent le comportement des participants.

Note 1 de do : Celles et ceux qui veulent voir le tweet sélectionnés par Les Inrocks peuvent aller voir l’article sur leur site. Personnellement, voici ceux que j’ai préférés parmi ceux qu’ils proposent :

Note 2 de do : sur un article du Parisien, j’ai trouvé un autre tweet très ntéressant. finkielkraut est soutenu par le clan Le Pen :


Critiques contre "Nuit debout" après l’éviction de Finkielkraut

http://fr.reuters.com/article/topNews/idFRKCN0XE0W5?sp=true

Dimanche 17 avril 2016 18h58

Paris Nuit debout 16 avril 2016/REUTERS/Christian Hartmann

PARIS (Reuters) - Plusieurs responsables politiques, à gauche comme à droite, ont pris dimanche la défense du philosophe Alain Finkielkraut, qualifié de "néo-réactionnaire" par ses détracteurs, après qu’il eut été insulté lors du rassemblement "Nuit debout" à Paris.

Des élus de droite réclament une action résolue des pouvoirs publics contre ce mouvement lancé le 31 mars à Paris et marqué par des débordements.

Des vidéos amateurs diffusées sur les réseaux sociaux montrent Alain Finkielkraut et son épouse, venus assister à "l’Assemblée populaire" place de la République, éconduits par des militants qui les insultent en criant notamment "fachos".

L’académicien a quitté les lieux en insultant à son tour des manifestants.

Interrogé par le "Cercle des volontaires", qui se présente sur internet comme un média "alternatif et indépendant", l’auteur de "L’identité malheureuse" affirme qu’"on a voulu purifier la place de la République de [s[a présence".

"J’ai été expulsé d’un mouvement, d’une place où doivent régner la démocratie et le pluralisme. Donc cette démocratie c’est du bobard, ce pluralisme c’est un mensonge", a-t-il notamment déclaré.

La ministre de l’Education nationale, Najat Vallaud-Belkacem, a invité les organisateurs de "Nuit debout" à s’interroger sur les suites du mouvement et ses fondements.

"J’estime que la place de la République doit être accessible à tout un chacun", a-t-elle dit sur BFM TV. "Il ne faudrait pas que l’emportent les anti-démocratiques."

La ministre s’est inquiétée de possibles dérives après les débordements et violences survenus à plusieurs reprises en marge du rassemblement.

Le socialiste Julien Dray, proche de François Hollande, a regretté lui aussi l’incident sur iTELE, soulignant que "le principe de la démocratie, c’est de respecter les opinions des autres, d’en débattre et surtout de les combattre".

"Et on ne les combat pas avec des slogans, surtout quand c’est des slogans faciles. On les combat avec du fond", a dit le conseiller régional d’Ile-de-France.

"MINABLE"

"Mes désaccords avec Finkielkraut sont nombreux et parfois immenses mais je méprise ceux qui l’ont expulsé d’une place publique pour ses idées", écrit pour sa part Jérôme Guedj, membre du bureau national du PS, sur Twitter.

A droite, les témoignages de soutien à Alain Finkielkraut se multiplient.

"Le vrai visage de #NuitDebout, réinventer la démocratie en expulsant ceux qui ne pensent pas comme vous : minable", dénonce par exemple le président du Sénat, Gérard Larcher (Les Républicains), sur Twitter.

"Nuit debout, République couchée", estime pour sa part le député LR des Alpes-Maritimes, Eric Ciotti, sur son blog.

L’élu reproche "l’inaction et l’impuissance publique" face "à une extrême gauche minoritaire qui s’érige en représentant du peuple tout en étant hermétique aux vrais problèmes des Français."

"Hier soir, en accueillant et offrant une tribune à l’ancien ministre grec (des Finances) Yanis Varoufakis et en insultant et expulsant avec perte et fracas (…) Alain Finkielkraut, les participants au mouvement Nuit Debout montraient leur vrai visage. Celui de la haine et de l’intolérance."

Les Jeunes communistes se sont félicités sur Twitter d’avoir "tej" ("jeté") l’académicien.

La députée LR Nathalie Kosciusko-Morizet, l’une des rares à droite à cautionner le mouvement "Nuit Debout", dit "non" sur Twitter à "l’exclusion des idées". "Le sectarisme est une autre forme de pensée unique", écrit-elle.

La députée du Vaucluse (Front national), Marion Maréchal-Le Pen, a dénoncé au "Grand Jury" RTL-LCI-Le Figaro "un mouvement qui ne représente rien ni personne", des "jeunes, lycéens, étudiants qui se font plaisir" et "qui crachent sur Alain Finkielkraut".

Une quarantaine de militants de "Nuit debout" ont également chahuté samedi soir le président du Medef, Pierre Gattaz, lors de l’émission "On n’est pas couché" sur France 2. Le mouvement dénonce l’attitude du service de sécurité de la chaîne publique qui les a expulsés.

Interrogé jeudi dernier sur France 2 sur ce mouvement citoyen, François Hollande avait jugé légitime que la jeunesse "veuille s’exprimer, veuille dire son mot".

(Sophie Louet)

2 Messages de forum

  • Ce qui m’étonne le plus c’est l’ignorance-crasse des commentateurs qui se la jouent "indignés"… C’est bien-sûr une posture hystérique et un délire "victimaire" très ridicule… Le jour où ces benêts apprendront que les patrons et les directeurs n’ont pas le droit de venir aux réunion syndicales sans y être invités : vont ils nous faire une logorrhée contre l’intolérance ?
    En fait, ce qui m’inquiète c’est que de tels propos soient possibles, le public des télés doit être très ignare pour accepter qu’on lui parle comme ça…
    Les politiciens qui participent à ce concert de blaireaux-bécasses veulent peut-être transformer les NUITS DEBOUT en dîners mondains où il pourraient se faire filmer par les mass-media et produire quelques narcissiques selfies autoglorificateurs.
    Après EICHMANN à JERUSALEM, on pourrait avoir " El KOMRHI à NUIT DEBOUT" mais les historiens du futur n’y croiront pas et diront que c’est un photomontage !

  • Selon certains "experts" le niveau moyen des journalistes TV français est égal au niveau du plus con d’entre eux…
    LIRE :
    http://switzerland.indymedia.org/fr…

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