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Syrie - 3 septembre 2016 - L’attaque chimique à Damas en 2013 n’avait pas été commise par Bachar mais par al-Qaïda, admet enfin le principal journal allemand (Die Welt)

lundi 9 avril 2018, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 3 septembre 2016).

Rappel : al-Qaïda est l’un des principaux groupes de mercenaires islamistes au service de l’impérialisme américano-franco-sioniste ; d’ailleurs le ministre français des affaires étrangères, Laurent Fabius, disait en 2012 que ce groupe faisait du bon boulot en Syrie.


Un journal allemand atlantiste reconnait que l’attaque au gaz sarin de Ghouta a été perpétrée par Al-Qaïda

http://www.comite-valmy.org/spip.php?article7518

Par Moon of Alabama

Mardi 30 août 2016, par Comité Valmy

Le journal allemand Die Welt est un inconditionnel avéré de l’OTAN et des Etats-Unis. Il suit toujours la ligne de propagande conservatrice officielle, jusqu’au dernier point sur le dernier i. Mais dans l’édition de dimanche, aujourd’hui, un de ses journalistes, bien en cour et chef de département, plaide pour un changement de cap en Syrie : Assad ne va pas disparaître et « l’ouest » doit l’accepter pour empêcher une prise de contrôle salafiste de ce pays.

Enterré dans un article de langue allemande, on trouve cette analyse de l’attaque au gaz sarin sur Ghouta en 2013 et du « manque de réaction » de l’administration Obama :

Lorsque le 21 août 2013, le gaz neurotoxique sarin a été utilisé dans Ghouta, une banlieue de Damas, [Obama] a dû prendre une décision. Il a ordonné de se préparer à tirer des missiles de croisière depuis la mer. Mais les services secrets britanniques étaient en possession d’un échantillonnage du gaz sarin utilisé. Une analyse a montré que le gaz sarin n’appartenait pas au régime syrien, mais à al-Nusra. Obama a renoncé à son projet d’attaque.

Il y a plusieurs problèmes avec cette description des d’événements. Le parlement britannique avait rejeté une attaque sur la Syrie. Le Congrès américain avait refusé d’en autoriser une. Si Obama avait attaqué, les républicains auraient, sans nul doute, entamé une procédure de destitution contre lui. Ce sont des questions de politique intérieure, et non pas la découverte de la réelle origine du gaz sarin, qui ont stoppé les plans d’attaque d’Obama.

L’explication du journaliste de Die Welt, à savoir que le gaz sarin d’al-Nusra était différent de celui du gouvernement syrien Sarin, est également contestable. Selon un récent rapport extensif, basé sur des entretiens avec un « rebelle » aligné sur al-Qaïda en Syrie, al-Qaïda a pris le gaz sarin dans une installation de stockage du régime syrien, quand il a conquis la base syrienne du Régiment 111, à la fin de 2012. C’était avant la scission d’al-Nusra et de l’Etat islamique. Si cela est exact, Il ne peut donc pas y avoir de différence entre le « gaz sarin du régime » et le « gaz sarin d’al-Qaïda ».

Mais, même mis à part l’origine du gaz sarin, les experts de missiles américains savaient depuis longtemps que les missiles qui transportaient le gaz sarin ne pouvaient pas avoir été tirés depuis les zones tenues par le gouvernement. Leur portée était tout simplement trop courte. Ainsi, l’attaque ne peut qu’avoir été une attaque sous fausse bannière.

Malgré tout, l’analyse que fait ce journal allemand montre que le vent a tourné et que la tempête officielle de « changement de régime » est en train de se calmer. La perte d’un élément majeur de la propagande officielle, tel que l’attaque au gaz sarin, laisse penser qu’on va avoir droit à une nouvelle narrative. Laquelle ? Nous le verrons bientôt.

Moon of Alabama
28 août 2016

Traduction : Dominique Muselet

Charlie Hebdo - Dis maman, c’est quoi, l’apologie du terrorisme ?

http://mai68.org/spip/spip.php?article8421

En France, en ce moment, la dictature sioniste profite de son coup d’État du 7 janvier 2015 pour embastiller celles et ceux qui font soit-disant l’« apologie du terrorisme ». À tel point qu’on peut parler de retour aux lettres de cachet ! Mais, QUI furent les premiers à faire l’apologie du terrorisme, et même à le commanditer ?

Pression militaire et succès diplomatique pour les rebelles syriens

LE MONDE | 13.12.2012

Extrait :

« En revanche, la décision des Etats-Unis de placer Jabhat Al-Nosra, un groupe djihadiste combattant aux côtés des rebelles, sur leur liste des organisations terroristes, a été vivement critiquée par des soutiens de l’opposition. M. Fabius a ainsi estimé, mercredi, que « tous les Arabes étaient vent debout » contre la position américaine, « parce que, sur le terrain, ils font un bon boulot ». « C’était très net, et le président de la Coalition était aussi sur cette ligne », a ajouté le ministre. »

Rappel : le Front al-Nosra n’est autre qu’al-Qaïda en Syrie.

Cliquer ici pour l’article et les commentaires

1 Message

  • Frieden mit Assad ?

    http://www.welt.de/print/wams/polit…

    Artikel vom 28.08.2016 / Ausgabe 35 / Seite 2

    Die Türkei marschiert in Syrien ein, verständigt sich mit Russland und dem Assad-Regime. So könnte ein Kursschwenk aussehen, dem sich der Westen verweigert – noch

    Es ist ein Ausblick, der für eine Weile die erdrückende Sommerhitze von über 40 Grad vergessen lässt. Die grünen Ufer des Euphrats leuchten in der Abendsonne. Riesige Zypressen stehen wie klassische Statuen zwischen den alten Gebäuden eines Dorfes. Olivenhaine überziehen die Hügel.

    Doch die Idylle trügt. Plötzlich zerreißen drei kurze Detonationen die ländliche Ruhe ganz im Osten der Türkei, unmittelbar an der Grenze zu Syrien. In unregelmäßigen Abständen folgen weitere Explosionen, weißgraue Rauchwolken steigen gen Himmel. "Die türkische Armee räumt Minen", erklärt Landwirt Nadschi, der hier sein ganzes Leben verbracht hat. Der 58-Jährige zeigt mit dem Finger auf den syrischen Ort Dscharablus, der direkt an die Grenze zur Türkei anschließt. Das Dorf war diese Woche von türkischen Spezialeinheiten und syrischen Rebellengruppen in einer gemeinsamen Operation vom "Islamischen Staat" (IS) zurückerobert worden. Die Terrormiliz kontrollierte Dscharablus und den dazugehörigen Grenzübergang seit über drei Jahren. Nun säubern Bombenspezialisten der türkischen Armee den Ort und sprengen die von den Dschihadisten hinterlassenen Minen in die Luft.

    Die Operation "Euphrat Schild" ist eine Zäsur im seit 2011 währenden syrischen Bürgerkrieg. Erstmals hat sich der Nachbar Türkei, ein Nato-Mitglied, offen und direkt in das Kampfgeschehen eingeschaltet. Zwar hat sich dadurch nichts an dem "großen Chaos und der furchtbaren humanitären Tragödie" geändert, wie der deutsche Diplomat Wolfgang Ischinger die Lage beschreibt : "Wir haben es in Syrien mit einer sehr komplexen Interessenlage zu tun. Es ist unübersichtlich, es kämpft quasi jeder gegen jeden."

    Für Amerikaner und Europäer allerdings hat sich sehr wohl etwas verändert. Seit fast sechs Jahren prägen zwei Konstanten die westliche Politik des Zuschauens bei diesem Bürgerkrieg. Die erste lautet : Es gibt keine militärische Lösung in Syrien. Die zweite lautet : Der Diktator Baschar al-Assad muss weg. Beide Bekenntnisse sind zu hohlen Phrasen verkommen, untergegangen im Pulverdampf des syrischen Schlachtfelds.

    Die Sprachregelung von der vermeintlichen Aussichtslosigkeit ausländischer Interventionen wird durch die türkische Invasion zum zweiten Mal in kurzer Folge widerlegt. Denn bereits vor einem Jahr, im September 2015, griffen die Russen ein. "Es kann eine militärische Lösung geben", sagt Harald Kujat, ehemaliger Generalinspekteur der Bundeswehr und von 2002 bis 2005 Vorsitzender des Nato-Militärausschusses, unter einer Bedingung : "Um in Syrien etwas zu erreichen, braucht man Bodentruppen. Will man keine eigenen schicken, sind Verbündete vor Ort nötig." Das bedeutet, sich mit finsteren Gesellen einzulassen. Die Russen paktieren mit Assad. Und die Türken ?

    Offiziell spricht Ankara davon, mit der Freien Syrischen Armee (FSA) zu kooperieren. Rund 2000 Kämpfer dieser Miliz zog Ankara in den Tagen vor dem Einmarsch in türkischen Kasernen zusammen, um sie auszurüsten und einzuschwören. Die FSA war das erste größere Militärbündnis der Opposition gegen das Assad-Regime und gilt seitdem als gemäßigt. Mittlerweile aber rangiert bei zahlreichen ihrer Untergruppen die Religion weit vor einer prowestlichen Orientierung oder gar einer demokratischen Grundhaltung. In Dscharablus nahm offiziell nur eine einzige radikal-islamistische Organisation teil, nämlich Ahrar al-Scham.

    So versichert es jedenfalls der FSA-Stabschef Ahmad Berri bei einem eiskalten Orangensaft auf der Terrasse des "Starbucks"-Cafés der türkischen Grenzstadt Gaziantep. "Warum auch nicht", sagt Berri. "Sie sind keine Terroristen." Dabei vergaß er zu erwähnen, dass Ahrar al-Scham 2011 von al-Qaida gegründet worden war. Zudem plant die Gruppe einen Zusammenschluss mit den Al-Qaida-Kollegen der Al-Nusra-Front. Die hat sich kürzlich in "Armee der Eroberer" umbenannt und vom internationalen Terrornetzwerk losgesagt, ist aber ideologisch weiter auf Dschihad-Linie. Die türkische Armeeführung ließ sogar Mitglieder von Nureddin al-Zenki für die gemeinsame Operation zu – obwohl diese Brigade im Juli in die Schlagzeilen gekommen war, weil einige ihrer Milizionäre einen zehnjährigen Jungen in Aleppo vor laufender Kamera enthaupteten.

    Wenn er da von gemäßigten Kräften lese, sagt der deutsche General Kujat, sträube sich ihm das Haupthaar : "Das ist ein reines Feigenblatt. Die sogenannten gemäßigten Kräfte gibt es nicht mehr, wenn es sie denn je gegeben hat." Langfristig setze der türkische Präsident Recep Tayyip Erdogan in Syrien auf al-Nusra und al-Qaida. "Das sind seine Verbündeten, die seinem sunnitisch-konservativen Weltbild am nächsten sind. Ihnen will er zu einer maßgeblichen Rolle verhelfen", glaubt Kujat.

    Kurzfristig geht es Erdogan um seinen Kampf gegen die Kurden. Der Kampf gegen den IS dürfte eher ein Vorwand gewesen sein, um in Syrien einzurücken. Die Terrormiliz hatte nur noch rund 250 Kämpfer in Dscharablus stationiert, von denen der Großteil schnell die Flucht ergriff. Der türkische Geheimdienst hatte Erdogan zuvor berichtet, die Syrischen Demokratischen Kräfte (SDF), in denen die Kurdenmiliz den Hauptteil der Kämpfer stellt, seien kurz davor, ein zusammenhängendes Autonomiegebiet an der Grenze zur Türkei zu erobern – ein Worst-Case-Szenario für Ankara. Erdogan berief eine Krisensitzung ein, auf der die Offensive beschlossen wurde, um den Vormarsch der SDF zu stoppen.

    Wer mit den Kommandeuren der FSA spricht, bekommt das bestätigt. Die Rebellen haben den Auftrag, die Kurden jenseits des Ostufers des Euphrat zu halten. "Sollten die Kurden das nicht tun, werden wir sie bekämpfen", sagt FSA-Stabschef Berri. "Dafür ist uns militärische Unterstützung der USA und der Koalition versprochen worden."

    Bis dahin hatten die Amerikaner und die von ihnen geführte internationale Koalition die Kurden unterstützt. Sie waren aus westlicher Sicht die bislang erfolgreichsten Kämpfer gegen den IS, und sie streben ein föderales, säkulares System in Syrien an. Anderseits kämpfen sie für ihre Unabhängigkeit, ein Ziel, das kaum ein westlicher Staat unterstützt – schon gar nicht der Nato-Verbündete Türkei. Und die syrischen Kurden stehen der PKK nahe, die nicht nur in der Türkei als Terrorgruppierung gilt. Dennoch lässt sich zweifeln, ob die Volte weg von den Kurden hin zur türkisch unterstützten FSA dem eigentlichen Ziel des Westens, der Terroristenbekämpfung, dienlich ist. Denn letztlich will die FSA einen starken Zentralstaat – auf Basis eines radikalen Islam.

    Noch größere Sorgen muss dem Westen womöglich ein weiterer Kurswechsel Erdogans machen. Vor wenigen Tagen verkündete Ankara seine neuen außenpolitischen Richtlinien. Darin ist kein Wort mehr zu finden von der bislang angestrebten Ablösung des syrischen Regimes unter Assad. Stattdessen kooperiert Erdogan nun mit Russland und dem Iran, den beiden Hauptverbündeten Assads, die in der Türkei noch vor wenigen Monaten als "Schlächter des syrischen Volkes" galten. Sogar als Teil einer Übergangsregierung will Erdogan Assad nun akzeptieren. Es drängt sich der Eindruck auf, dass Russland, der Iran und die Türkei gerade dabei sind, gemeinsam die Zukunft Syriens zu entwerfen. Und der Westen hält still – so wie immer seit 2011.

    Die Syrienpolitik der USA und Europas ist die Geschichte eines Maulhelden, der dem Massaker Assads an der Zivilbevölkerung und der Ausbreitung von islamistischen Terrorgruppen jahrelang zugeschaut hat, nie den politischen Willen zum Eingreifen fand und durch Untätigkeit moralische Schuld an humanitären Katstrophen wie in Aleppo und vielen anderen Orten auf sich geladen hat. "Die westliche Syrienpolitik war auf tönernen Füßen gebaut", sagt der Diplomat Ischinger. "Wir haben volltönend gefordert, dass Assad wegmuss. Wir haben aber so gut wie nichts unternommen, um diesem strategischen Ziel politisch und militärisch Nachdruck zu verleihen." Einen außenpolitischen Anfängerfehler nennt Ischinger das : "Wer seinen Worten keine Taten folgen lässt und nur heiße Luft absondert, schadet seiner Glaubwürdigkeit und fordert Gegenreaktionen geradezu heraus."

    Am deutlichsten wurde das 2012, als US-Präsident Barack Obama eine "rote Linie" zog und für den Fall des Einsatzes von Giftgas eine militärische Reaktion ankündigte. Als am 21.August 2013 in Ghouta, einem Vorort von Damaskus, das Nervengas Sarin eingesetzt wurde, musste er sich entscheiden. Obama ließ einen Schlag mit seegestützten Cruise Missiles planen. Doch der britische Nachrichtendienst, so erzählt es Kujat, war in den Besitz einer Probe des verwendeten Sarins gelangt. Eine Analyse habe ergeben, dass es sich nicht um Sarin des syrischen Regimes handeln konnte, sondern aus den Beständen von al-Nusra stammte. Obama jedenfalls ließ seinen Plan fallen.

    Die US-Doktrin der Nichteinmischung, ein Ergebnis der gescheiterten Irak-Politik, führte zu einem machtpolitischen Vakuum in Syrien – in das im September Russlands Präsident Wladimir Putin vorstieß. Der verfolgt eine klare Strategie in Syrien. Er will erstens verhindern, dass Islamisten aus der Levante in den weichen Unterleib Russlands einsickern, den Südkaukasus. Zweitens will er die Hafenstadt Tartus sichern, seinen Zugang zum Mittelmeer. Und drittens bietet sich ihm in Syrien die Gelegenheit, als globaler Player wieder auf Augenhöhe mit den USA zu kommen.

    In kurzer Zeit gelang es den Russen, die trotz der Unterstützung durch iranische Revolutionsgarden und die Hisbollah vor dem Zusammenbruch stehende syrische Regierungsarmee wieder zu einer funktionierenden Streitmacht zu formen. Seitdem verbucht Assads Truppe Geländegewinne. Putin geht es nicht um die Person Assad, es geht ihm um das Regime, das den Einfluss Moskaus in der Region dauerhaft sichern soll. Und der Türke Erdogan hat nüchtern erkannt, dass es ein Syrien ohne Assad oder jedenfalls ohne dessen Hintermänner bis auf Weiteres nicht geben wird. Um selbst weiter mitreden zu können, korrigierte er seinen Kurs und nennt Assad nun einen wichtigen Akteur.

    "Ich halte den türkischen Kursschwenk gegenüber Assad für nachvollziehbar", sagt Ischinger. "Und ich plädiere dafür, dass der Westen ihn nachvollzieht. Das ist das große Dilemma : Die Fakten sind einfach so. Wir können sie nicht ignorieren." Moralisch und politisch sei das außerordentlich bedauerlich, sagt Ischinger. "Denn es ist ja richtig, dass man einen Massenmörder bekämpfen sollte. Aber dann muss man eben auch etwas dafür tun. Wir haben nichts oder zu wenig getan. Damit ist dieser Plan gescheitert."

    Putin sitzt an den Schalthebeln, Erdogan strebt dorthin. Der Einfluss des Westens dagegen beschränkt sich auf einzelne Akteure wie die wankelmütigen Türken, die eigenwilligen Kurden – und die von den Amerikanern als Reaktion auf den russischen Einmarsch ins Leben gerufenen Wiener Friedensgespräche. Die aber gehen nicht voran, der diplomatische Prozess bleibt längst hinter den auf dem Schlachtfeld geschaffenen Fakten zurück. "Wenn die militärischen Erfolge sich so weiterentwickeln wie bisher, dann spielt der Friedensprozess keine Rolle mehr", prophezeit General Kujat. Auch er plädiert deshalb dafür, dass die Europäer – und auch die deutsche Politik – sich eingestehen, dass das syrische Kartenhaus ohne Assad zusammenbrechen würde.

    Die Amerikaner haben das bereits getan. Sagen werden sie es aber erst, wenn ein neuer Präsident gewählt ist. Wohl erst dann ist auch ein Treffen mit Putin möglich, um sich "auf einige strategische Grundlinien" zu verständigen, wie Ischinger es nennt, und zu einer Politik zu finden, "die sich nicht von Illusionen und hochtrabenden Plänen leiten lässt, sondern von realpolitischen Einsichten in das Mögliche". Und das Mögliche in Syrien, das zeigt die lange, blutige Geschichte dieses Krieges, hat mit den Wünschen des Westens wenig zu tun.

    Unterstützung für alle gemäßigten Rebellen

    Im September 2014 hat US-Präsident Barack Obama eine Anti-IS-Allianz ins Leben gerufen. Sie unterstützt die Rebellen der Freien Syrischen Armee (FSA) und die Syrischen Demokratischen Kräfte, zu denen unter anderem die Kurden gehören. Die USA selbst fliegen gegen den "Islamischen Staat" (IS) Luftangriffe, sind aber auch mit speziellen Einsatzkräften am Boden aktiv. Frankreich, Deutschland und Großbritannien gehören zu den etwa 60 Ländern der Koalition gegen den Terror. Großbritannien und vor allem Frankreich beschießen den IS aus der Luft. Die deutsche Bundeswehr setzt Tornado-Aufklärungsjets und ein Tankflugzeug ein. Auch Jordanien unter König Abdullah II. unterstützt mit seiner Luftwaffe den Kampf gegen den IS.

    Für die Freie Syrische Armee

    Mit Panzern und Luftangriffen hat die Türkei an der Seite der Rebellen der Freien Syrischen Armee den IS aus der Grenz- stadt Dscharablus verdrängt. Recep Tayyip Erdogans Offensive war teils aber auch dazu gedacht, die kurdisch-geführten Kräfte einzugrenzen. Zudem soll der IS von der Türkei unterstützt worden sein.

    Allianz für Assad

    Russland und der Iran sind wichtige Stützen des syrischen Machthabers Baschar al-Assad gegen den IS und alle oppositionellen Kräfte. Das russische Militär unter Präsident Wladimir Putin fliegt seit September 2015 Luftangriffe in Syrien. Für die Angriffe nutzt Moskau eine Luftwaffenbasis im Iran. Die iranische Führung unter Hassan Ruhani unterstützt den schiitischen Herrscher Assad zudem mit Bodentruppen – dabei geht es dem ebenfalls schiitischen Iran auch darum, ein Gegengewicht zu den sunnitischen Staaten in der Region aufrechtzuerhalten.

    Hilfe für radikale Sunniten

    Saudi-Arabien unter König Salman gilt als sunnitische Schutzmacht und stützt daher radikale sunnitische Kräfte. Darunter auch die Rebellen der Armee der Eroberer der Levante, vormals Al-Nusra-Front. Auch der Herrscher von Katar, Emir Tamim bin Hamad al-Thani, stützt die extremen Sunniten.

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