Internationalisation du convoi de la liberté
Enregistré sur France 2 le 8 février 2022 après 20h
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La contestation ne concerne pas seulement le paSS, mais aussi le coût de la vie, et certainement bien d’autres choses.
Ça va de l’extrême droite aux anarchistes
Enregistré sur France 3 le 8 février 2022 après 19h30
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D’après Jean-François Amadieu, le pouvoir fait l’unité contre lui :
« Ça va, si vous voulez de gens qui sont proches de l’extrême droite, et de mouvements politique de l’extrême droite, jusqu’à des militants ou des activistes qui sont plutôt de sensibilité anarchiste. »
Note de do : En réalité, ce n’est pas question de "politique", mais de lutte de classe.
Dans la lutte des classes, en réalité, on ne s’occupe pas de savoir quel parti politique récupère habituellement quelles voix. On s’occupe seulement de savoir à quelle classe (prolétariat ou bourgeoisie) appartient tel ou tel.
Que Trump et Elon Musk « soutiennent » ce mouvement ne signifie en rien qu’ils le contrôlent. Cela signifie seulement qu’ils tentent de le contrôler. Ils essaient de faire en sorte que ce soient des hommes à eux qui le dirigent. Ils souhaitent le récupérer à leur profit. Et, il n’est pas question de leur laisser le champ libre.
Les gilets jaunes, la politique et la lutte des classes
http://mai68.org/spip2/spip.php?article2524
29 novembre 2018
do
La politique du point de vue de la lutte des classes
J’utiliserai ici le mot "prolétaire" dans son sens moderne et généralisé.
Dans la lutte des classes, la "politique" c’est pas grave. Ce que je veux dire, c’est que beaucoup de prolos votent même extrême droite. Mais l’essentiel, du point de vue de la lutte des classes, c’est que c’est des prolos.
Dans la lutte des classes, en réalité, on ne s’occupe pas de savoir quel parti politique récupère habituellement quelles voix. On s’occupe seulement de savoir à quelle classe (prolétariat ou bourgeoisie) appartient tel ou tel.
En 2005, Jospin reprochait au NON à la Constitution qu’il y avait aussi bien des NON de gauche, que des NON de droite. Ce n’en était pas moins un vote de classe. Les pauvres ont voté NON. Et ils ont voté NON quelque soit le parti politique qui récupérait habituellement leurs voix.
Quand la lutte des classes s’intensifie, de moins en moins de prolos acceptent de se laisser récupérer, ni par la vraie droite ni par la fausse gauche. Tel est déjà le cas des gilets jaunes.
Donc, comme un ami me l’a dit au sujet des gilets jaunes : « J’espère que Macron va s’entêter comme un âne borgne pour que ce mouvement puisse durer et devenir de plus en plus subversif » !
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