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Coronavirus - Le quotidien allemand Die Welt dénonce que les essais du "vaccin" Pfizer étaient grandement truqués

mercredi 22 février 2023, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 22 février 2023).

Covid-19. Vaccin Pfizer : des manipulations avant l’autorisation de mise sur le marché ?

https://www.breizh-info.com/2023/02…

22 février 2023

L’enquête d’un quotidien allemand révèle que les résultats de l’étude pour l’autorisation de commercialisation du vaccin contre le Covid-19 de Pfizer et BioNTech auraient fait l’objet de manipulations.

La transparence de Pfizer sur les effets secondaires en question

Les pratiques du géant pharmaceutique Pfizer, principal pourvoyeur de vaccins durant la pandémie de Covid-19, sont de nouveau visés par des controverses. En Allemagne, le quotidien Die Welt a réalisé une enquête dont il a publié les résultats le 19 février révélant des pratiques douteuses de la part de Pfizer.

Dans l’article en question, on peut ainsi lire qu’il y a eu « des irrégularités considérables et lourdes de conséquences. Elles font désormais apparaître l’ensemble de l’étude sur l’efficacité et les effets secondaires du vaccin Pfizer/BioNTech sous un autre jour ». À savoir que l’étude incriminée par le quotidien allemand, avec environ 44 000 participants sur un total de 153 sites d’étude, a servi de base à l’autorisation rapide du vaccin Pfizer/BioNTech dans les pays occidentaux.

À titre d’exemple, l’un des principaux sites d’étude se trouvait à Buenos Aires, en Argentine. Près de 6 000 participants à l’étude y ont été recrutés en peu de temps. Sur ce cas argentin, Die Welt indique qu’en septembre 2020, un certain Augusto Roux, 36 ans, participant à l’étude, est arrivé gravement malade dans un hôpital de Buenos Aires.

Il avait déjà ressenti des effets secondaires après une première dose de vaccin à ARNm contre le Covid-19. Mais, après s’être fait administrer une seconde dose, l’homme a ensuite eu « des difficultés à respirer, des douleurs thoraciques brûlantes, des nausées et de la fièvre » avant de finir par « perdre connaissance », toujours selon les mots du quotidien allemand. Le diagnostic des médecins est alors tombé : il s’agissait d’une péricardite, autrement dit une inflammation du péricarde, le mince sac protecteur à double membrane qui enveloppe le cœur.

Des irrégularités dans le groupe placebo

Problème : à l’instar de ce cas, rien qu’en Argentine, les deux sociétés pharmaceutiques Pfizer et BioNTech auraient supprimé de l’étude 302 des 3 000 patients vaccinés (soit 10 %) dans ce pays après la deuxième dose tandis que les 3 000 autres individus se sont vus injecter des placebos. En clair, ces effets secondaires graves n’ont pas été pris en compte dans l’évaluation ayant conduit par la suite à autoriser la mise sur le marché du vaccin en question. Die Welt met donc en exergue les soupçons de dissimulation volontaire de ces effets secondaires avant la demande d’autorisation.

Et le cas argentin ne serait pas isolé si l’on en croit le quotidien allemand, qui estime qu’un grand nombre des 43 548 participants à l’étude ont finalement été exclus des résultats. Certains de ces effets secondaires graves ayant même occasionné des décès.

Tout ne s’est pas non plus passé correctement dans le groupe placebo. Un homme a succombé à un infarctus du myocarde peu après le début de l’étude d’autorisation. Ce décès a été passé sous silence. Selon le journal, le protocole officiel ne fait état d’aucun décès, que ce soit dans le groupe vaccin ou dans le groupe placebo. On peut alors se demander pourquoi les entreprises pharmaceutiques veulent dissimuler un décès alors que le sujet n’a soi-disant reçu qu’un placebo…

Une infection au Covid-19… qui n’a pas eu lieu ?

Par ailleurs, Die Welt s’est attardé sur le cas de l’Argentin Augusto Roux évoqué précédemment. Ce dernier a également été hospitalisé pour une pneumonie bilatérale. Ce n’est que par l’intermédiaire d’un avocat que l’Argentin a pu avoir accès à son dossier. Il y est écrit que les nombreux effets secondaires n’ont rien à voir avec le vaccin. Ils ont donc été retirés de l’étude.

Le dossier indique que l’état grave dans lequel se trouvait l’homme de 36 ans était du à une infection au Covid-19. Toutefois, tous les tests PCR effectués sur l’homme se sont révélés négatifs. Ce dernier souffrirait en outre de « crises d’angoisse », un point cependant nié par l’individu en question, toujours selon l’enquête.

De plus, l’Argentine, qui représentait le site d’étude plus important du monde car comprenant 14 % du total des patients a entre-temps mis en place une commission d’enquête visant à déterminer le nombre d’effets secondaires graves et de décès engendrés par la phase de tests de Pfizer et de BioNTech.

Aux États-Unis, des experts critiquent actuellement le fait que 21 personnes soient mortes dans le groupe de volontaires ayant reçu le vaccin. Aucun d’entre eux ne serait cependant mort de cette injection selon Pfizer. Un sujet a succombé à un accident vasculaire cérébral, un autre à un infarctus du myocarde. « En l’état actuel des connaissances scientifiques, on attribuerait ces deux cas à la vaccination », a expliqué explique Susanne Wagner, spécialiste pharmaceutique berlinoise, au quotidien Die Welt. » D’autant plus que les autorités sanitaires américaines du CDC [Centres pour le contrôle et la prévention des maladies, NDLR] étudient actuellement les accidents vasculaires cérébraux chez les personnes vaccinées et que l’on sait que les caillots sanguins peuvent déclencher des morts subites après la vaccination », ajoute-t-elle.

Pfizer ne voit pas de lien…

Toujours selon Die Welt, lors de l’étude sur la vaccination contre le Covid-19 des enfants âgés de 12 à 15 ans, Pfizer a attesté au vaccin ARNm « un profil de sécurité favorable » et ce, bien qu’une jeune fille de 13 ans soit tombée gravement malade après la deuxième injection. Depuis, l’adolescente doit être alimentée par une sonde nasale et ne peut plus quitter son fauteuil roulant par ses propres moyens. Pfizer ne voit toutefois aucun lien avec le vaccin.

Le quotidien allemand a sollicité Fernando Polack, responsable argentin des essais cliniques du vaccin Pfizer, à ce sujet. Mais celui-ci n’a pas donné suite.

Pour sa part, la société Pfizer a répondu au journal : « Les autorités du monde entier ont approuvé notre vaccin contre le Covid-19. Ces autorisations sont basées sur une évaluation solide et indépendante des données scientifiques concernant la qualité, la sécurité et l’efficacité, y compris l’étude clinique de phase 3 ».

En effet, les principales autorités de contrôle des médicaments se sont mises d’accord sur la date d’autorisation avant même d’avoir vu les conclusions de l’étude de Pfizer. Ce que Pfizer ne dit pas, c’est que seule une minorité des principales autorités de contrôle des médicaments occidentales reçoit systématiquement les données originales des patients lors des études sur les médicaments.

« Il ressort d’e-mails de l’EMA […] que la FDA, la MHRA britannique et l’EMA elle-même s’étaient déjà mises d’accord sur la date de l’autorisation, avant même d’avoir pu jeter un coup d’œil aux documents de Pfizer », écrit Die Welt. La FDA est l’autorité américaine de contrôle des médicaments, la MHRA est compétente pour la Grande-Bretagne, l’EMA est l’autorité européenne de contrôle des médicaments.

Die vielen Ungereimtheiten bei der Pfizer-Zulassungsstudie

https://www.welt.de/politik/deutsch…

19.02.2023

Von Elke Bodderas
Verantwortliche Redakteurin

Die Genehmigung des mRNA-Impfstoffs von Biontech/Pfizer erfolgte möglicherweise aufgrund von falschen Unterlagen. An den Daten der entscheidenden Phase-3-Studie gibt es immer mehr Zweifel. Pfizer weicht den Vorwürfen aus und verweigert sich einer Nachprüfung.

Traduction Google :

L’approbation du vaccin ARNm de Biontech/Pfizer peut avoir été basée sur une documentation incorrecte. Les données de l’étude pivot de phase 3 suscitent des doutes croissants. Pfizer esquive les allégations et refuse d’examiner.

Le reste est payant

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