VIVE LA RÉVOLUTION
Accueil du site > Comment publier un article > Les idéologies du capitalisme, ennemies mortelles de la lutte (...)

Les idéologies du capitalisme, ennemies mortelles de la lutte révolutionnaire

samedi 4 mars 2023, par Dev (Date de rédaction antérieure : 3 mars 2023).

Initialement, j’allais commenter l’article Aux origines du wokisme et de la cancel culture, et puis, chemin faisant, la réponse a pris la forme d’un article, que je vous propose comme tel. Ce ne sont pas des conneries, comme il est écrit dans l’article cité ci-dessus, mais des idéologies bourgeoises mortelles pour la lutte de classes. Tout d’abord les exemples donnés relèvent davantage du politiquement correct, mais si l’on se réfère au titre, on peut dire qu’il n’y a pas que la Cancel Culture et le wokisme ; on peut y ajouter donc le politiquement correct, le racisme et l’antiracisme, ainsi que le racialisme (complices comme idéologies) ; le révisionnisme comme l’anti-révisionnisme (Loi Gayssot…) et le sionisme (également complices idéologiques) ; l’indigénisme et le décolonialisme, qui n’ont absolument rien à voir avec la lutte anti-coloniale réelle, et historiquement observée ; également le néo-féminisme, et l’antiféminisme, pas que d’extrême droite (catho pour de vrai ou pour de faux), mais aussi les MGTOW, le transgenrisme, et autres calamités, qui transforment des problèmes médicaux réels (la dysphorie de genre) en idéologies. On a vu aussi transformer une orientation sexuelle naturelle bien réelle, certes très minoritaire et connue depuis la nuit des temps, l’homosexualité, en une idéologie, qui tend à imposer cela en norme, alors que la contestation légitime, ancienne, de l’oppression hétérosexuelle sur les homosexuels avait été une des lignes de front des révolutionnaires, au nom de la prise en compte, encore une fois, d’une réalité ancienne, ce qui est autre chose qu’une idéologie. Il y en a plein d’autres, ce serait fastidieux d’en faire une liste exhaustive.

Je voudrais citer quand même le nationalisme, qui n’a de sens pour les révolutionnaires que durant un temps historique limité comme arme des peuples colonisés pour combattre les régimes coloniaux, par exemple. Dès que cette lutte aboutit (toujours imparfaitement, comme tout ce qui se fait dans cette préhistoire humaine), les contradictions de classe s’imposent dans les pays nouvellement décolonisés (terme à préférer à indépendants, qui peut avoir des sens induits différents). Il n’a aucun sens en France, par exemple, pays impérialiste s’il en est.

Également, pour moi, à la lecture de certains échanges, l’anti-impérialisme, qui est une attitude révolutionnaire classique, plutôt que le soutien inconditionnel à des pays, encore moins à des États, pour lesquels les révolutionnaires n’auraient que des critiques à adresser sans leur agression par l’impérialisme. C’est en ce sens que je me retrouve contre l’impérialisme occidental aux côtés des Russes de ce fait, sans pour autant renoncer aux critiques de l’État russe, et de son élite politico-bureaucratique capitaliste. Symétriquement, si je suis contre les élites politico-bureaucratiques ukrainienne, européennes et états-uniennes, je n’ai pas la même attitude envers les peuples de leurs États, dont une partie seulement leur est acquise par l’aliénation qu’elles exercent sur elle.

Le capitalisme est une véritable fabrique d’idéologies, c’est-à-dire, comme l’avait enseigné Marx dans L’Idéologie allemande et d’autres textes, des représentations fausses de la société, de l’histoire, et du monde. C’est par ces idéologies, produites selon les besoins de la domination et de l’aliénation bourgeoises, avec le concours des dominés très souvent, mais en tant que dominés largement inconscients de leur domination, que se propage la domination et l’organisation de la confusion pour empêcher la prise de conscience de classe, car tel est le but : mener vers des impasses les résistances et les contestations de la domination bourgeoise sur la société.

Ces idéologies sont multiples, mais elles ont toutes un même fond et ce même but ; elles sont aussi segmentées, et s’adressent à des fractions de la société qu’elles mettent en mouvement contre d’autres, pour que les dominés ne se coalisent pas contre la domination commune et contre les dominants.

En retour, sur la bourgeoisie même, s’exerce l’aliénation et les effets des idéologies dont elle encourage ou organise la production. La bourgeoisie a à la fois une meilleure idée de sa domination et une idée totalement aliénée de sa position. Elle croit, pour l’essentiel de ses composantes, en dehors d’une élite parfaitement consciente et cynique, à toutes les représentations fausses de la réalité qu’elle défend face aux classes dominées. Par exemple, les bourgeois, en général, croient sincèrement que c’est par leur travail qu’ils sont devenus riches, et que cela n’a rien à voir avec la fabuleuse captation de la plus-value. Ils pensent, comme l’aristocratie naguère, qu’ils sont, disons par nature, destinés à être l’élite de la société, et que sans eux, elle irait à la ruine.

Mais, bien sûr, c’est l’aliénation des dominés qui est la plus pénible à affronter pour les révolutionnaires. Surtout que ces aliénés sont d’autant plus vindicatifs qu’ils sont chargés à bloc par l’aliénation bourgeoise. Et parfois, il n’y a guère le choix, il faut les balayer avant de s’occuper de leurs maîtres. Lire ou relire à ce propos Le Talon de fer, incroyable roman d’anticipation de Jack London. (Télécharger en pdf le roman ICI : ; et lire l’avis de Trotsky )

Du côté révolutionnaire, il y a des idéologies révolutionnaires à combattre, comme le marxisme, qui n’est pas la démarche de Marx, lequel avait d’ailleurs dit à son gendre Lafargue, commentant le programme des guesdistes, que "… si c’est cela le marxisme, je ne suis pas marxiste." Il avait mis en garde contre l’idéologisation de la pensée révolutionnaire à laquelle il avait tant donné. Pour ma part, ce qu’il faut retenir de Marx et de tous les autres :

La lutte émancipatrice doit donc briser le voile de ces idéologies, et pousser à une prise de conscience de classe, sans laquelle toute révolution est impossible. Le travailleur sans conscience de classe n’est qu’un esclave, une unité statistique, qui peut d’ailleurs se retrouver du côté de l’ennemi de classe le jour d’une insurrection. Aussi, il ne faut pas faire dans l’ouvriérisme, ou plus généralement le prolétarisme (néologisme). Ce qui sépare les révolutionnaires des autres est la conscience de classe, et tout ce qui entrave la formation de cette conscience doit être combattu et ruiné.

C’est pourquoi, pour terminer provisoirement, il faut absolument empêcher la racaille de droite comme de gauche, d’extrême-droite comme d’extrême-gauche (je parle ici de tous les supplétifs du capital) de dévoyer les concepts et les notions que le mouvement révolutionnaire a mis tant et tant de décennies à construire et clarifier. Cette racaille les récupère, les délave et les tord, après les avoir vidé de leur substance subversive, au profit d’un enfumage des luttes réelles, et doit être combattue comme telle, comme le dénonçait déjà en son temps Jaime Semprun dans son Précis de récupération (en télécharger une version pdf ICI).

Dev

8 Messages de forum

  • Tout ce qui est dit ici, a été théorisé par Felix Niesche depuis les années 90. Il s’exprime chez Soral puisque toute la gauche, extrême ou ultra lui a claqué la porte au nez. C’est un précurseur, il a ouvert bien des yeux dont les miens, et je suppose ceux de l’auteur de l’article. Certes la solitude de sa situation intellectuelle l’a poussé dans une métaphysique du mépris et du désespoir, récupérée à la marge par des fascistes intelligents comme Soral.

    Répondre à ce message

    • Bonjour quand même Landru (la politesse ce n’est pas pour les chiens, par ailleurs innocents, c’est juste une expression usuelle).

      Est-ce possible de faire la démonstration de ce que tu affirmes si assurément ? Et une démonstration, c’est des liens entre ce qui est écrit ici et ce qu’a écrit ce Felix Niesche ; des raisonnements ; peut-être même un copié-collé de passages concordants, allez savoir. Par ailleurs, si ce Niesche, qui est chez Soral (qui se ressemble s’assemble), t’a ouvert les yeux comme tu l’écris, je me demande si tu te sens vraiment à l’aise ici ? Dissonances cognitives ? Car le Mai 68 historique et ceux qui s’en réclament sont la bête noire de ces deux merdes, au cas où tu ne l’aurais pas compris. Autant, j’avais lu ici et là par le passé quelques merdes de Soral (un grand récupérateur devant l’Éternel), autant, je ne me suis pas intéressé à ce Niesche. C’est partiellement, mais suffisamment, fait maintenant. A toi de jouer.

      Dev

      Répondre à ce message

  • Ce que je remarque une fois de plus, c’est que personne ne parle de l’idéologie du 20e siècle, l’écologie, laquelle quand elle n’est pas dévoyée en son contraire absolu, du Business as Usual dont le dernier avatar est la "transition", le "new green deal", nous permet de nous débarrasser des deux idéologies de la dualité du techno-capitalisme que sont le capitalisme et le marxisme sous toutes leurs formes.

    Pour la petite histoire, celle que personne ne raconte, les écolos firent parties de ceux qui ont rendu possible Mai 68. Au tout début de ces événements, la gauche productiviste et majoritaire fit bien comprendre aux écolos qu’elle avait utilisés pour lancer les actions de ces événements qu’elle n’en avait rien à faire des "Non à la guerre" et des "Non à la société de consommation" et que pour elle, seule comptait le Business as Usual sous forme d’augmentations de salaires même pour les ouvriers qui fabriquent les armes de guerre. Les écolos rentrèrent à la maison, ils furent catalogués comme *groupuscules" par la gauche et on en entendit plus parler jusqu’en 1976, le début des mouvements anti-nucléaires et les cris des punks "Business as Usual" et "No Future".

    L’écologie comme le pacifisme ne se sont jamais remis de Mai 68. Donc l’origine du marasme idéologique (et pratique) actuel n’a pas pour origine, comme le dit Felix Niesche, les années 80, mais Mai 68 en ce qui concerne l’écologie et le pacifisme. En ce qui concerne la gauche, c’est plus ancien car en pratique, elle n’a jamais servi qu’à nous empêcher de faire la révolution et toute son histoire est celle des ses trahisons et de ses divisions.

    Répondre à ce message

    • Dominique, bonjour, j’ai des choses à te faire remarquer, mais ce sera pour plus tard. Décidément, tu as une dent contre le Mai 68 historique. Es-tu conscient d’être sur un site qui s’appelle ainsi ? Toi aussi, tu es un disciple de ce Felix Niesche ? Eh ben, mon colon ! Bonjour l’anarchisme à ta sauce.

      Dev

      Répondre à ce message

      • Dev,

        Je n’aime pas être manipulé. J’ai entendu pour la 1re fois parler de ce Felix Niesche ici, dans le 1er commentaire de cet article et j’ai simplement fait une recherche pour voir qui il est et ce qu’il dit. Donc les intentions que tu me prêtes à son sujet sans rien savoir, tu vois où tu peux te les mettre, car encore une fois, je hais les manipulateurs et depuis le covid, déjà qu’elle était pas grande avant… ma patiente avec eux est inférieure au zéro absolu : je préfère trop en faire et prendre le risque de me tromper que risquer de me faire avoir.

        Quand à mon avis sur Mai 68, c’est comme ça, j’avais 10 ans et des potes écolos quand ça c’est passé. Ils sont partis les yeux pleins d’espoir le jour d’après avoir entendu que Mai 68 avait démarré et 10 jours plus tard, ils étaient de retour complètement dépités et encore plus dégoûtés de la gauche que des matraques des CRS. Leurs propres mots : "Mai 68 c’est fini. C’est devenu Rentrez bien chez vous et Business as Usual." Et que ce soit bien clair : je n’y peux rien si les vainqueurs de Mai 68 n’ont jamais écrit cette partie là de leur histoire, n’ont jamais écrit qu’ils préfèrent augmenter les ouvriers qui fabriquent les armes de guerre que risquer de se battre pour la paix et pour une planète viable pour tous ses habitants, humains et non humains.!!!

        Depuis j’ai rencontré d’autres soixante-huitards et ils partagent tous et toutes le même dégoût de la politique et de la gauche. En disant cela, je ne fais que partager des témoignages et si ceux-ci emmerdent certaines personnes, c’est soit qu’elles sont très naïves et dans le déni, soit qu’elles font parties des manipulateurs opportunistes.

        Mon premier engagement en politique fut les tous débuts du mouvement anti-nucléaire, lesquels furent de la manipulation pure et simple de la part des médias dominants associés avec les suiveurs de Con-Bandit, ceci afin de permettre à ces derniers de phagocyter et pacifier un mouvement avec lequel ils n’avaient rien en commun. 15 ans plus tard, ce mouvement n’avait rien obtenu de plus en Suisse qu’un moratoire sur la construction de centrales dont la construction était achevée dans les règles de l’art. Sur cette lancée, les plus opportunistes d’entre eux ont fondé les Verts, devenus maintenant les verts, donc les V.v.erts ou v.V.erts.

        Donc oui, je fais partie des gens qui considèrent que pacifisme et écologie ne sont qu’un seul et même combat dont la pierre d’achoppement est d’exiger le démantèlement du complexe militaro-industriel, exigence qui devrait être le point de convergence de toutes nos luttes. Que la gauche n’en parle jamais est pour moi la meilleure preuve de sa trahison complète et totale, c’est la gauche gorby.

        Pour moi un punk, j’avais 18 ans quand y’a eu les premiers, c’est juste un hippie qui a perdu ses illusions, donc comme les hippies il a compris que capitalisme et marxisme sont les deux roues du char et en plus, il a compris qu’on ne peut pas faire plus confiance aux marxistes qu’aux capitalistes, et ça, ma pratique des squats à 2 périodes différentes de ma vie m’en donne plusieurs exemples : chez les gauchistes, l’opportunisme l’emporte toujours comme dans la chanson de Dutronc sortie… en 68 : https://www.youtube.com/watch?v=5Lx… J’en connait même une qui était une figure de proue des squats genevois dans les années 80 et qui aujourd’hui, après être devenu propriétaire foncier en France, y a prit sa retraite et vote LGBTQI++ Macron.

        Plutôt que de me faire faire un procès d’intention, je préfèrerai qu’on parle de la pratique : comment démanteler ce foutu complexe militaro-industriel, comment arrêter le techno-capitalisme et proposer des alternatives viables avant qu’il n’ait fini de niquer tout le vivant de cette planète. Parce que la politique franchement, même à gauche ou chez les v.V.erts, c’est juste de la perte de temps et d’énergie doublée de la certitude de se faire manipuler et avoir sur toute la ligne.

        Non à la société de consommation !
        Non aux guerres des riches !
        Non à la guerre !

        Répondre à ce message

        • @Dominique : tes insultes !! 8 mars 2023 21:21, par Dev

          @Dominique, je n’ai pas répondu à ce jour car j’ai d’autres choses à faire dans la vie réelle. Donc, tu m’as insulté dans ta première réponse, je te cite : ("… tu vois où tu peux te les mettre…"), et cela est inacceptable. Je te laisse la possibilité de demander des excuses (et non de t’excuser tout seul, comme le font beaucoup de gens). Selon ton attitude, j’aviserais de la suite à donner à cette situation.

          Dev

          Répondre à ce message

          • @Dominique : tes insultes !! 8 mars 2023 22:05, par do

            Salut tout le monde,

            Arrêtez d’être sans arrêt sur les nerfs. Arrêtez de vous engueuler les uns les autres. Arrêtez de vous insulter. Cela n’apporte rien au débat. Celui qui gueule le plus fort n’a pas forcément raison. Souvent, s’il gueule et engueule plus fort, c’est justement parce qu’il n’est pas sûr d’avoir raison.

            Discutez arguments contre arguments. Sachant que ce n’est pas forcément le dernier qui a parlé qui a raison. Le but n’est pas d’avoir raison, mais de trouver la solution, si possible. Peut-être chacun possède une part de vérité. Et la synthèse de toutes ces vérités partielles donne parfois la solution.

            L’ambiance sera plus saine. Et cela permet sûrement d’avancer bien plus que de vaines engueulades.

            La parabole de l’éléphant :

            https://solen-lombard.fr/la-parabol…

            « Un jour, un roi réunit des aveugles de naissance et leur dit :
            « Connaissez-vous les éléphants ? »

            Ils répondent : « Ô grand roi, nous ne les connaissons pas, nous ne savons pas de quoi il s’agit. »
            Le roi leur dit encore : « désirez-vous connaître leur forme ? »
            Les aveugles répondent encore en chœur : « Nous désirons la connaître. »
            Aussitôt, le roi ordonne à ses serviteurs d’amener un éléphant et demande aux aveugles de toucher l’animal. Parmi ceux-ci, certains, en tâtant l’éléphant, touchent la trompe et le roi leur dit : »Ceci est l’éléphant. »
            Les autres saisissent soit une oreille, soit les défenses, soit la tête, soit le flanc, soit la cuisse, soit la queue. A tous, le roi dit : »Ceci est l’éléphant. »
            Puis le roi demande aux aveugles : « De quelle nature est l’éléphant » ?
            L’aveugle qui a touché la trompe dit : « l’éléphant est semblable à une grosse liane. »
            Celui qui a touché l’oreille dit : « L ‘éléphant est semblable à une feuille de bananier. »
            Celui qui a touché une défense dit : « L’éléphant est semblable à un pilon ».
            Celui qui a touché la tête dit : « l’éléphant est semblable à un chaudron. »
            Celui qui a touché le flanc dit : « L’éléphant est semblable à un mur. »
            Celui qui touché la cuisse dit : « L’éléphant est semblable à un arbre ».
            Celui qui a touché la queue dit : « L’éléphant est semblable à une corde. »

            Ils s’accusent tous mutuellement d’avoir tort et leur discussion s’envenime. Le roi ne peut s’empêcher de rire, puis il prononce cette parole : « Le corps de l’éléphant est unique, ce sont les perceptions divergentes de chacune de ses parties qui ont produit ces erreurs. »

            Amitiés à tous,
            do
            http://mai68.org

            Répondre à ce message

      • Quand à l’anarchisme à ma sauce, mis-à-part le puritanisme extrême d’un Nicolas Casaux sur les questions de la prostitution et des transsexuels, je suis sur la ligne de DGR, soit pour un mouvement qui combine des actions de sabotages afin d’arrêter le techno-capitalisme et des actions d’organisation des populations afin de les aider à créer des modes de vies pluriels, démocratiques et durables basées sur le local et ses ressources.

        Après je suis bien conscient qu’on est très loin du rapport de force nécessaire pour créer un tel mouvement, ceci d’autant plus que la partie la plus difficile sera des créer les alternatives dans un système qui n’en tolère aucune et qui dispose des pires moyens répressifs imaginables pour s’imposer.

        Les news en anglais de DGR : https://dgrnewsservice.org/
        En français : https://deepgreenresistance.fr/
        Le site de Casaux, il y a quand même d’excellents articles dessus : https://www.partage-le.com/
        par exemple celui-ci qui montre que l’anarcho-primitivisme est aussi ancien que le taoïsme ancien : Le taoisme anarchiste contre la civilisation par Nicolas Casaux
        ou Francis Dupuis Deri - L’anarchie dans la philosophie politique 2007/ qui compare les différents régimes politiques et qui devrait être étudié dans les écoles.

        Répondre à ce message

Répondre à cet article

SPIP | squelette | | Plan du site | Suivre la vie du site RSS 2.0