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L’avion Russe qui contenait 65 prisonniers ukrainiens

samedi 27 janvier 2024, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 27 janvier 2024).

Extrait du Stratpol 170 du 24 janvier 2024

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L’avion Russe qui contenait 65 prisonniers ukrainiens en vue d’être échangés avec des prisonniers russes a probablement été abattu par l’OTAN pour interdire des négociations entre la Russie et l’Ukraine.


https://odysee.com/@STRATPOL:d/170comp:4

Stratpol 170 du 24 janvier 2024, complet

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À regarder dans l’esprit solve et coagula :

SOLVE ET COAGULA

Malgré mon désaccord en tout ou en partie avec certains articles, ils peuvent figurer tout de même sur mai68.org sans même un commentaire de ma part. C’est parce qu’il m’a semblé qu’ils donnaient ou confirmaient diverses informations à qui sait lire, c’est-à-dire appliquer à diverses sources le principe alchimiste du "solve et coagula" (dissoudre et recoaguler), afin de se fabriquer sa propre opinion.

http://mai68.org/spip/spip.php?article7522

3 Messages de forum

  • Hmmm… je préfère pour ma part la critique, au sens où l’enseignait Kant, et dont Marx a élaboré sa version dialectique après Hegel. Du coup, il n’y a plus de référence sacrée ou à prendre telle quelle, mais seulement de manière critique, à commencer par la critique de Marx himself. Une critique toujours recommencée en somme. Il n’y a pas de salut, seulement la lutte, pratique et théorique.

    Et donc, ici, il y a d’autres pistes à envisager si l’on part de la fameuse question : à qui profite le crime ? Peut-être aussi, tout simplement, aux néonazis de Kiev, qui n’ont aucun intérêt à arrêter la guerre. Il y va de leur misérable vie, car leurs têtes tomberont, du moins celles de beaucoup que les Amerloques ne recycleront pas comme ils l’avaient fait avec les nazis de la dernière guerre mondiale, dont ils avaient sacrifié un certain nombre pour le spectacle à Nuremberg.

    Mais on peut aussi envisager la piste d’ultras de l’Etat profond russe, Prigojine et d’autres avec lui sont morts assassinés par lui, et personne ne pense sérieusement que les Ukrainiens en sont responsables. Jusqu’à un certain point, Poutine a les mains liées, comme l’était Staline, et avant lui Lénine, mais ce serait long à développer ici. Le poutinolâtre Moreau ne peut même pas envisager un telle hypothèse, pourtant logique.

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    • Il était clair qu’après la victoire de Wagner-Prigogine à Bakhmout et l’établissement de la « Ligne Sourovikine » sur le reste su front, la contre-offensive ukrainienne était condamnée, à plus ou moins brève échéance. Mais « plus ou moins », telle est précisément la question…

      Il apparaît donc objectivement qu’il y a des intérêts en jeu, de chaque côté, pour faire durer la guerre d’attrition, c’est-à-dire de « tranchées » et éviter les mouvements offensifs décisifs nécessaires pour mettre fin à cette guerre.

      Stratégie « suicidaire à petit feu » d’un côté, guerre d’attrition de l’autre, il n’y a d’« issue » que si l’un des adversaires s’effondre, en fait davantage miné par ses contradictions internes que par ses échecs au front.

      A ce jeu mortifère la Russie semble avoir une capacité de résilience plus forte que l’Ukraine mais elle reste travaillée à la fois par ceux qui souhaitent une paix rapide à bas prix, voire au prix d’une défaite, et ceux qui veulent au contraire une action offensive pour faire plier à la fois l’Ukronazisme et l’Occident, dans une certaine mesure.

      Si l’histoire de ce conflit semble donc actuellement « figée », elle l’est néanmoins dans le sang qui coule quotidiennement et dont les « profiteurs de guerre » n’auront donc probablement jamais à rendre compte, sauf révolution.

      C’est aussi une des leçons de la tentative de Prigogine de faire avancer l’histoire plus vite que la musique écrite, en sourdine, par l’Etat profond, en Russie aussi.

      Prigogine, c’était du Wagner au rythme du rock…

      Une cadence nettement trop infernale pour la bureaucratie enkystée de longue date dans le pays.

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      • Coquille ; évidemment il faut lire :

        "Il était clair qu’après la victoire de Wagner-Prigogine à Bakhmout et l’établissement de la « Ligne Sourovikine » sur le reste du front, la contre-offensive ukrainienne était condamnée, à plus ou moins brève échéance. Mais « plus ou moins », telle est précisément la question…"

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