Le "Calife" Baghdadi est un juif israélien
Edward Snowden, l’ancien employé à l’agence national de sécurité américaine, NSA, a révélé que les services de renseignement britannique et américain et le Mossad ont collaboré ensemble pour la création de l’EIIL / DAESH / ISIS. Leur calife de pacotille, Abou Bakr al-Baghdadi a suivi une formation militaire intensive durant une année entière entre les mains du Mossad.
D’abord, en observant le drapeau du "califat" et le drapeau du Mossad, on est frappé par leur ressemblance. On remarque aussi que le graphisme en arabe est quelque peu ridicule, et rappelle l’écriture d’un gosse de 5 ans ou celle d’un analphabète débutant.
Revenons maintenant à Snowden. Celui-ci a indiqué que les services de renseignement de trois pays, à savoir les États-Unis, la Grande-Bretagne et Israël ont collaboré ensemble afin de créer une organisation terroriste qui soit capable d’attirer tous les extrémistes du monde vers un seul endroit selon une stratégie baptisée "le nid des frelons."
Les documents de l’Agence nationale de sécurité américaine évoque « la mise en place récente d’un vieux plan britannique connu sous le nom "nid de frelons" pour protéger l’entité sioniste et ce en créant une religion comprenant des slogans islamiques qui rejettent toute autre religion ou confession ».
Selon les documents de Snowden, « la seule solution pour la protection de "l’Etat juif" est de créer un ennemi près de ses frontières, et de le dresser contre les États islamiques qui s’opposent à sa présence ».
Les fuites ont révélé qu’« Abou Bakr al-Baghdadi a suivi une formation militaire intensive durant une année entière entre les mains du Mossad, sans compter des cours pour maitriser l’art du discours et des cours en théologie ».
Confirmation par l’Iran : Baghdadi est un juif israélien
Le services secrets de renseignements iraniens découvrent la vraie et entière identité de de Abu Bakr Al Baghdadi ; son vrai nom est Shimon Elliot. Son rôle au Mossad : agent secret dans l’espionnage sioniste. Son faux nom "arabo-musulman" : Ibrahim ibn Awad ibn Ibrahim Al Badri Arradoui Al Hoseini. Voir aussi la confirmation par Hilary Clinton.
Shimon Elliot, alias "le Calife Baghdadi"
avec ses parents juifs israéliens
La Photographie ci-dessous (voir sur : http://numidia-liberum.blogspot.com… ) est parue le 31 mai 2013, comme illustration d’un article de Travis Thornton et publié sur United Liberty. On peut y voir outre des chefs militaires et politiques de la rébellion syrienne, le Sénateur américain John McCain (à droite) fixer du regard un homme habillé en noir (à gauche). Ce dernier, barbe taillée et main droite sur le genou n’est autre que cet agent israélien du Mossad, qui deviendra le fameux Abou Bakr Al-Baghdadi.
Son plan : rentrer dans le cœur militaire et civil des pays qui sont déclarés comme une menace pour Israël afin de les détruire de l’intérieur pour faciliter, par la suite, la prise de pouvoir de l’état sioniste sur toute la zone du moyen orient afin d’établir legrand Israël. Cela nous rappelle ce que nous écrivions dans Origines de la connivence wahhabisme-sionisme : (http://numidia-liberum.blogspot.com…) le grand-père d’Abdul Wahhab, Sulayman était en fait Shulman, ayant appartenu à la communauté juive de Bursa en Turquie. De là, il s’est installé à Damas, où il a feint d’être musulman….. Il a alors émigré au Hedjaz, où il s’est marié et a eu son fils : Abdul Wahhab. Selon le rapport irakien, la même ascendance est confirmée dans un autre document intitulé « Les Juifs Donmeh et l’origine des wahhabites en Arabie », écrit par Rifaat Salim Kabar."
Confirmation par Israël : Des djihadistes juifs israéliens avec Al-Nosra et avec le califat
Une idée générale avait fini par s’ancrer dans tous les esprits : un djihadiste est un musulman fanatique rêvant de charia et de vierges houris, et ponctuant ses massacres de ‘’Dieu est Grand’’. Eh bien, c’est faux tout ça. Attendez-vous désormais à entendre après chaque rituel macabre des « Allah est grand » entremêlés de « Yahvé est grand ».
En effet, le service de la sécurité générale d’Israël, le Shabak (Shin Beth, sécurité interne), a reconnu que des dizaines d’israéliens ont rejoint les différents groupes de la rébellion syrienne et plus particulièrement le Front Al-Nosra (Al-Qaïda en Syrie) dès l’année 2011 avant que certains membres dont le nombre est officiellement évalué à dix, n’aillent rejoindre l’Etat Islamique en Irak et au Levant en Irak.
C’est la première fois qu’Israël reconnaît que des israéliens ont combattu ou combattent encore en Syrie et en Irak aux côtés de différents groupes terroristes.
Il est à rappeler que des combattants israéliens ont été signalés la première fois par les autorités syriennes en 2012 dans Jobar, près de Damas. Une zone habitée traditionnellement par des membres de la petite communauté juive de Syrie avant guerre. Cependant la plupart des volontaires israéliens ne sont pas juifs mais druzes ou arabes.
Le Califat se veut la fin de la Syrie et de l’Irak
Le projet de « califat » est celui des États-Unis et d’Israël, consistant à diviser l’Irak et la Syrie en trois États : un califat sunnite, une république chiite arabe et une République kurde. Le site d’information « Global Research » (1) a publié un article concernant le projet du « califat » de l’EIIL/ Daesh.
L’article écrit : "La légende d’Al-Qaïda et la menace de l’ennemi extérieur ont été renforcées par les propagandes étatiques et médiatiques. Après les événements du 11 septembre 2001, la menace terroriste d’Al-Qaïda a préparé le terrain à l’apparition d’une nouvelle doctrine militaire des États-Unis et de l’Otan. L’adoption de cette nouvelle doctrine a été justifiée par l’application des opérations anti-terroristes.". Selon l’auteur de cet article, il existe des documents de l’époque de l’occupation soviétique de l’Afghanistan, permettant de savoir que, pendant cette époque, les États-Unis et l’Otan s’étaient servis d’une partie d’Al-Qaïda en tant qu’un « trésor d’informations » dans de nombreux dossiers et crises.
Autrement dit, en Syrie, les terroristes d’al-Nosra et de l’EIIL étaient les fantassins de la coalition occidentale et arabo-islamiste-sunnite. Dans ce domaine, c’étaient les Occidentaux qui s’étaient chargés du recrutement et de la formation des miliciens. Dans une autre partie de cet article, nous pouvons lire : « Alors que les États-Unis accusent beaucoup de pays de soutenir les terroristes à travers le monde, les terroristes de l’EIIL, actifs à la fois en Syrie et en Irak, profitaient secrètement des aides politiques et financières des États-Unis et de leurs alliés dont la Turquie et l’Arabie saoudite ».
Dans une autre partie de l’article de « Global Research », il est dit : « Une nouvelle vague de propagande a commencé. Le chef de l’EIIL, Abou Bakr al-Bagdadi a annoncé la formation de son « État islamique ». L’ironie de l’histoire : le projet du « califat » est devenu depuis une dizaine d’année un instrument de propagande entre les mains des responsables du renseignement américain.
En décembre 2004, sous la présidence de George W. Bush, la NSA avait prévu la formation d’un nouveau « califat » en 2020 sur une vaste contrée s’étendant de l’ouest de la Méditerranée jusqu’au centre de l’Asie et le sud-est asiatique, menaçant la démocratie et les valeurs occidentales. La NSA avait élaboré un rapport de 123 pages à ce sujet, intitulé « la future carte du monde ». D’après « Global Research », le contenu du rapport de la NSA en 2004 rappelle exactement le communiqué d’Abou Bakr al-Bagdadi publié le 29 juin 2014 portant sur la proclamation de l’établissement de « l’État islamique ». L’objectif final de ce projet est sans aucun doute la diabolisation des Musulmans (Terroriste takfiriste = Musulman) pour pouvoir réaliser plus facilement les projets militaires de l’Occident dans la région. La NSA a soumis son rapport non seulement à la Maison Blanche, au Congrès et au Pentagone, mais aussi aux alliés les plus proches des États-Unis.
D’après les analyses de la NSA, le projet du « califat » engendrera une nouvelle vague de terrorisme dans les pays musulmans et ailleurs. Cette vague terroriste justifiera automatiquement les activités des États-Unis au nom de la guerre contre le terrorisme mondial. Pourtant ce rapport n’a pas précisé que la NSA, le MI6 britannique et le Mossad israéliens soutiennent discrètement le projet du « califat ». Par contre, les médias déclenchent actuellement une nouvelle campagne de mensonge et de falsification pour suggérer que l’origine de ce nouveau terrorisme est bel et bien le monde musulman et non par les services de renseignements occidentaux.
Hannibal GENSERIC
(1) http://www.globalresearch.ca/the-is…
Source : http://numidia-liberum.blogspot.com…