Coronavirus - Les vaccins COVID augmentent le taux de mortalité de 26%

Les personnes "de moins de 50 ans qui ont pris le vaccin ont maintenant un taux de mortalité supérieur de 49%", et les personnes qui n’ont reçu qu’une seule dose de vaccins, "ont un taux de mortalité d’environ 145% pire", a déclaré l’analyste Josh Stirling. "Cela finit par représenter quelque chose comme 600 000 décès supplémentaires par an aux États-Unis."

(LifeSiteNews) – Un analyste d’assurance très acclamé a rapporté que « les meilleures statistiques dont nous disposons » révèlent que ceux qui ont accepté le vaccin expérimental à base de gènes « ont un taux de mortalité 26% plus élevé », dont 49% pour les moins de 50 ans, et 145% pour ceux qui ont accepté une seule dose d’un régime à deux doses.

Hier, Josh Stirling de "Insurance Collaboration to Save Lives" a présenté lors de la table ronde du sénateur américain Ron Johnson intitulée COVID-19 Vaccines : What They Are, How They Work and Possible Causes of Injuries.

Le républicain nouvellement réélu du Wisconsin a accueilli une large sélection de scientifiques, de chercheurs, de médecins et d’experts médicaux pour rapporter et discuter des informations liées aux injections expérimentales controversées et aux graves méfaits apparents des responsables gouvernementaux, des sociétés pharmaceutiques et des sociétés de médias.

Stirling, dont la biographie indique qu’il "a été reconnu comme l’un des meilleurs analystes par Institutional Investor et le Financial Times", a fourni "un graphique qui raconte toute l’histoire" dans sa présentation de quatre minutes.

Selon les statistiques britanniques, les habitants de ce pays "qui ont pris le vaccin ont un taux de mortalité de 26% plus élevé", a-t-il déclaré. « Les personnes de moins de 50 ans qui ont pris le vaccin ont maintenant un taux de mortalité de 49 % plus élevé. Et le pire de tout, les personnes qui n’ont pris qu’une seule dose du vaccin ont un taux de mortalité d’environ 145% pire.

Il a reconnu que "ce dernier point de données est, à première vue, déroutant" que ce groupe de personnes, qui ont probablement eu une blessure à la première dose et a décidé d’arrêter, ont été lésés de manière disproportionnée.

Quoi qu’il en soit, il a affirmé que ce sont « les meilleures statistiques que nous ayons… au moins jusqu’à aujourd’hui, [et] peut-être que ça ira mieux », mais à ce stade, « nous devons supposer que c’est maintenant la ligne de base. Il y aura 145 % de mortalité en plus. »

« Et si vous deviez prendre ces chiffres et les appliquer aux États-Unis, cela finirait par représenter quelque chose comme 600 000 décès supplémentaires par an aux États-Unis à cause de cette mortalité induite par le vaccin plus élevée. Et, vous savez, c’est évidemment une chose très préoccupante », a conclu Stirling.

Il a également résumé que son groupe « d’actuaires et de personnes axées sur les données » avait généré des données importantes non seulement sur la morbidité croissante, mais également sur la coagulation sanguine, les problèmes de « fertilité féminine » et « de nombreux problèmes du système nerveux, cardiaques et multisystémiques ».

Cette table ronde a également été suivie par les Drs. Peter McCullough, Ryan Cole, Harvey Risch, James Thorp, Paul Marik, Pierre Kory et Paul Alexander.

Le sénateur Johnson a également invité de nombreux responsables fédéraux de la santé, des présidents de sociétés pharmaceutiques et d’autres promoteurs éminents des vaccins basés sur le gène COVID-19, y compris les Drs. Anthony Fauci (directeur du NIAID), Rochelle Walensky (directrice du CDC), Albert Bourla (PDG de Pfizer) et Stéphane Bancel (PDG de Moderna). Pourtant, aucune de ces personnes n’y a participé.

Article références :

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