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Avez-vous entendu parler des expositions universelles ? (vidéo_51’50’’)

samedi 23 septembre 2023, par a_suivre

https://www.youtube.com/watch?v=UWF…

Le futur D’avant. - Ryan Bryan - 20_septembre_2023 - vidéo_51’50’’

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Sur n’importe quel sujet, lorsque l’on s’amuse à faire quelques recherches sur le passé, on tombe toujours sur des choses très surprenantes, qui finissent par rendre notre époque fade, médiocre et bien triste, un peu comme notre personnel politique…

Note : Il y a un petit bug sur le son de 9’30’’ à 11’20’’ qui n’empêche pas la compréhension de la vidéo.

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Chaîne YouTube de Ryan Bryan  : https://www.youtube.com/@ryanbryan1…

7 Messages de forum

  • C’est un grand mystique le gaillard. Entre son créateur, la terre plane et les extra-terrestres, tout y est sur sa chaine. Sauf l’essentiel, l’ovni, c’est la Terre.

    Sur cette vidéo, une simple recherche d’image, sur le premier lien sur lequel je clique, je trouve des images nettes de la tour Eiffel. Donc il a choisi les images de sa vidéo pour lui faire dire ce qu’il veut lui faire dire. On sait pas très bien quoi d’ailleurs.
    https://www.google.com/imgres?imgur…

    Au hasard, la première image vient de https://www.pariszigzag.fr/insolite… page sur laquelle figure des images de sa vidéo…

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    • Bonjour Dominique,

      Certes, notre gaillard est mystique, mais au moins il se pose des questions, fait ses propres recherches (ce qui pour moi est une très grande qualité), et en plus il fait l’effort de partager ses trouvailles.

      Maintenant, ses vagues conclusions sont un peu perchées à mon goût, mais n’enlèvent rien au fait, comme tu le soulignes justement dans un de tes liens que la France à réalisé avec cette Exposition Universelle un exploit.

      Dans une France en difficulté, et encore marquée par le souvenir de sa défaite face à l’Allemagne en 1870, s’impose l’idée d’une Exposition universelle capable de restaurer l’image de la France au regard du monde.

      Prévue à Paris en 1889, année du centenaire de la Révolution française, l’Exposition est tout entière dévolue au fer, et son clou est la tour haute de 300 mètres dessinée par Maurice Koechlin et construite par Gustave Eiffel.

      Il aura fallu plus de 2 ans et 200 ouvriers sur le chantier pour construire ce Meccano géant de 18 000 pièces.

      La Tour Eiffel resta “la plus haute structure du monde” pendant 41 ans, jusqu’à la construction en 1930, du Chrysler Building (319 m), à New York.

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      Ce que veut dire notre gaillard, Ryan Bryan par toutes ses questions me semble au contraire clair.

      Il démontre au moins que les historiens n’ont pas vraiment fait leur boulot dans ces histoires d’exposition, car souvent les éléments que l’on nous donne sont faux… Alors, si on nous ment, sur des choses futiles, comme le temps que l’on a mis pour construire la tour ficelle, que penser du reste…

      Par exemple :

      Concrètement, à l’époque, comment ont-ils simplement fait pour poser les 2,5 millions de rivets qui assemblent les 12 000 pièces métalliques qui constituent la tour Eiffel ?
      (source https://fr.wikipedia.org/wiki/Tour_…)

      Sachant que le rivetage est généralement exécuté par une équipe de 4 ouvriers.

      Un riveur, un chauffeur de rivets, un teneur de tas et un teneur de bouterolle composent cette équipe.

      Les rivets sont chauffés dans une forge à plus 1100°C jusqu’à l’obtention d’une couleur rouge "cerise". Dès lors, le chauffeur sort le rivet de la forge à l’aide d’une pince, le frappe au sol afin d’enlever la calamine (croute d’oxydes de fer lors de la chauffe) puis le jette au teneur de bouterolle.

      Celui-ci prend le rivet et l’introduit dans le trou à remplir et saisit avec une pince le bout du rivet dès que son extrémité sort de l’assemblage pour le maintenir en place.

      Une fois que le teneur à installer son tas arc-bouté afin de tenir la tête première le plus solidement possible, le riveur vient frapper l’extrémité du rivet permettant ainsi de remplir le trou à l’intérieur de l’assemblage.

      Le surplus est refoulé dans la bouterolle donnant sa seconde tête arrondie au rivet. En refroidissant, le métal se rétracte assurant le serrage et l’étanchéité de l’assemblage.
      Source : http://rivetsfrance.com/histoire_du…

      Problème de Math :

      SI en 2 ans, soit 730 jours, ils ont dû poser 25000000 rivets cela nous fait 25000000/730 jours, soit 34247 rivets que nos 200 ouvriers ont dû poser par jour.

      Si on considère ensuite qu’ils travaillaient 10 heures par jour, cela nous fait :

      34247/10 heures, soit 3424 rivets par heure

      3424/60 minutes, soit 57 rivets par minute

      Comme il faut au minimum être quatre, pour poser un rivet, nous pouvons considérer qu’avec 200 ouvriers, chaque équipe posait au minimum un rivet à la minute, cela quelle que soit la météo, la hauteur du chantier etc…

      Bien entendu, dans ce calcul sommaire, je ne tiens pas compte qu’il fallait, alimenter en charbon et en bois une forge de plus de 1100°C et ensuite, acheminer sans grue, les charpentes métalliques de plusieurs tonnes, les ajuster avec trois bouts de ficelle et un reglet, les percer sans perceuse électrique etc…

      Ils devaient avoir de la potion magique !

      Bref, cela me démontre encore une fois que l’on nous raconte encore des histoires et que les Peuple devraient reprendre en main leur avenir et arrêter de vivre dans la peur et le mensonge.

      Bien à toi
      A_suivre

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      • La tour Eiffel, du haut de ses 324 mètres, est aussi « l’un des plus grands monuments aux morts du monde : depuis le début de sa construction, en 1887, on estime à environ 370 le nombre de personnes qui y ont péri ».

        Source : https://djalia.dz/fr/la-tour-eiffel…

        Extraits :

        Dans cet article, nous allons vous évoquer, sur la base de documents authentiques, écrits par des Français, comment comment le trésor de la Casbah, pillé après la capitulation du dey, le 5 juillet 1830, a permis de lancer, en France, l’industrie sidérurgique, celle-là qui a été essentielle à la construction de la tour Eiffel. Un trésor immense estimé à plus de 5 milliards d’euros d’aujourd’hui.

        /…/

        Nous allons vous conter enfin, comment des dizaines de manœuvres sont morts sur les chantiers de la tour Eiffel, dont une majorité d’Algériens, dont certains ont été chargés de faire le travail ingrat : casser la pierre, la tailler, battre le fer ou couler le béton.
        Des dizaines d’Algériens sont tombés des étages successifs de la Tour, qui montait vers le ciel le ciel à vue d’œil. De ces manœuvres, simples salariés au nom anonyme, on en saura jamais rien.
        L’institution de la Tour Eiffel ayant toujours à l’esprit de construire un ouvrage d’art de haute civilisation et de grande culture qu’aucune goutte de sang ne viendrait entacher.
        Donc, l’apport de l’Algérie pour la construction de la Tour Eiffel vient par trois voies : l’argent, le fer et la main-d’œuvre bon marché ramené d’Algérie vers Paris.

        /…/

        Qu’est-il advenu de cette immense fortune que des navires entiers ont fait sortir d’Alger ? Une partie, soit 43 millions de francs, a été versée dans les caisses de l’État, 5 autres millions sont revenus au corps expéditionnaire.
        Le reste ? « La plus grande partie du trésor de la régence et des pillages opérés dans la Casbah, dans la ville et dans les environs d’Alger a donc abouti dans les poches des militaires, de fonctionnaires des Finances, de banquiers, de négociants et d’aventuriers mais aussi dans celles du roi des Français », indique Pierre Péan.

        Quant à la maison Seillière et à Adolphe Schneider, son représentant à Alger, en plus de contrats passés avec le ministère de la Guerre, ils auraient recyclé dans les circuits bancaires l’or et l’argent que les bateaux de leur armada ont fait sortir d’Alger.

        Et ce n’est pas tout. « Leur position et leurs relations leur ont aussi permis d’acquérir, à de très bonnes conditions, les marchandises et produits divers pillés dans les magasins, ainsi que les biens des Turcs obligés de quitter la régence. »

        À combien s’élève leur bénéfice s’interroge l’auteur ? « Apparemment suffisamment pour prendre un nouvel essor et devenir les plus grands sidérurgistes de l’industrie française », répond-il.

        Voilà, Péan a répondu à une question essentielle, celle de savoir comment l’argent algérien a permi l’essor de la siderurrgie et des aciéries en France.

        /…/

        Gustave Eiffel n’a pas choisi n’importe quel fer. Il voulait un fer pur, qui ne pouvait être que celui des mines de Zaccar et de Rouïna.

        Les mines de Zaccar se trouvent à Miliana, au nord de l’Algérie, celles de Rouïna à quelques kilomètres de là.

        Le fer puddlé, débarrassé de l’excès de carbone, de la tour Eiffel a été produit dans les forges et aciéries Dupont et Fould de Pompey, en Lorraine, disent les sources officielles, à la suite d’un appel d’offres remporté par l’entreprise. Mais rien n’est certain, la propagande française cherchant à démontrer à l’époque que la réalisation de cet ouvrage d’art est une parfaite illustration du savoir-faire technique de la France, sans aucun apport étranger.

        /…/

        Cependant, il serait vain de nier que la France importait en grandes quantités des mines de Zaccar et de celles de Rouïna. C’est un fait historique établi. Gustave Eiffel avait à l’époque été ravi par la pureté du fer de cette région.

        Pour remercier la ville, l’ingénieur avait offert une horloge montée sur une tour métallique à l’école du village d’El Abadia, dans wilaya d’Aïn Defla.
        Dans son excellent livre « L’Aventure de la Tour Eiffel : réalisation et financement », l’auteur, Michel Lyonnet du Moutier, nous explique comment la Société générale algérienne et la haute finance ont pu par des montages approvisionner la sidérurgie française par les minerais d’Algérie.

        /…/

        Des Algériens à 30, 40 et 50 mètres du sol

        Combien d’Algériens sont-ils morts en participant à la construction de la Tour Eiffel ? On ne le saura peut-être jamais.
        Construite pour l’Exposition universelle de Paris de 1889, la Tour Eiffel connut une construction pleine d’accidents et de problèmes. Les mouvements de grève déclenchés épisodiquement, et qui agaçaient au plus haut point Gustave Eiffel, n’étaient pas uniquement motivés par des revendications salariales, mais également par les accidents mortels dont on fait ici mention.

        Commencée en 1887, celle-ci s’achèvera le 31 Mars 1889, après deux ans et deux mois de construction, 18 038 pièces métalliques, et 2 500 000 rivets.

        L’ingénieur Gustave Eiffel, qui a été certainement un grand architecte, mais aussi un grand escroc devant l’Eternel (comme le prouve son implication dans la scandale financier du Panama), a toujours cherché à tenir sous le boisseau les informations négatives sur sa construction.

        La tour Eiffel devait surtout apparaitre à l’exposition universelle de 1889, comme la vitrine du savoir-faire technique français. Donc, interdiction formelle de parler de morts sur les chantiers.

        C’est justement ces accidents, retards et problèmes qui ont fait que Gustave Eiffel, qui avait prévu douze mois de travaux, révisera à la hausse la durée de construction, qui atteindra le double. La phase de construction qui débute le 28 janvier 1887, s’achèvera finalement en mars 1889, juste avant l’ouverture officielle de l’Exposition universelle.

        Cette Tour de 330 mètres a été le témoin du travail et de la sueur des Algériens sur ses chantiers. Certains y ont été emmenés par mesure disciplinaire, punition, pour faire les menus travaux, la sale besogne, celle que les Français ne pouvaient réaliser.

        Déjà les fondations s’élevaient à 33 mètres, et le premier étage à 57 mètres. Des conditions de travail pénible, surtout pendant l’hiver et le verglas. De ce fait, les chutes du haut des échaffaudages étaient nombreuses et les morts suivaient les morts.

        Curieusement, les Annales de la Tour Eiffel font état d’un seul mort : un Italien qui se serait suicidé en se jetant lui-même du haut de la Tour ! Donc impossible de revenir aux archives de la Tour Eiffel pour faire ses recherches.

        Recrutement de jeunes algériens dans un « Bureau arabe » à Alger

        Mais il est plus utile de fouiller dans les feuilles jaunies des anciens journaux d’époque pour trouver la trace de ces « morts sur les chantiers de la Tour ».

        Sur les colonnes de vice.com, Robin Cannone rapportait que la tour Eiffel, du haut de ses 324 mètres, est aussi « l’un des plus grands monuments aux morts du monde : depuis le début de sa construction, en 1887, on estime à environ 370 le nombre de personnes qui y ont péri ». Mais il donne des indications « hors circuit » et ne nous ai d’aucun secours, malheureusement.

        On a souvent avancé en France, le chiffre de 300 morts sur les chantiers de la Tour Eiffel. Mais ces chiffres sont aussitôt attaqués par la France officielle, comme s’il s’agissait d’une affaire d’Etat. On l’a vu par exemple, avec le député Karl Olive.

        En effet, en pleine polémique sur les morts des chantiers de la coupe du monde, en aout 2022, le député des Yvelines Karl Olive avait déclaré que la France aussi avait eu plus 300 morts sur les chantiers parisiens.
        Mais immédiatement, le député a été obligé de se rétracter, reconnaissant avoir fait une déclaration erronée en évoquant 300 morts sur le chantier de la construction de la tour Eiffel.

        Ce qui est certain c’est que le nombre des ouvriers algériens en France était important au moment de la construction de la tour Eiffel. Si vous consultez le livre « L’immigration algérienne en France : histoire et actualité », de Pierrette Meynier et Gilbert Meynier (Dans Confluences Méditerranée 2011/2, n° 77, pages 219 à 234), vous serez édifié sur le sujet.

        Dès les années 1880, le patronat français fait appel aux ouvriers algériens pour briser les grèves. En 1914, Gérard Noiriel estime à 3000 le nombre des travailleurs algériens en France ; la majeure partie vit dans les Bouches du Rhône, mais il existe aussi des foyers d’immigration dans le Nord-Pas de Calais, à Paris, puis à Lyon-Saint Étienne.

        Il est vraisemblable que le chiffre réel dut être nettement plus important, pour atteindre au moins 13 000 ouvriers algériens, souvent sans qualification spéciale, et utilisés surtout pour les travaux manuels où l’effort, la force physique et la sueur sont convoqués.

        Source de l’article complet : https://djalia.dz/fr/la-tour-eiffel…

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        • Impossible, n’est pas Algérien !

          Oups, errata sur mon calcul de rivet, qui n’enlève rien au fait que l’on a voulu nous cacher, lors de la construction de la tour Eiffel, les conditions inhumaines de travail, proches de l’esclavagisme…

          Ce que je comprends maintenant, après quelques recherches, c’est que "le bon temps des colonies" aura permis à la France de financer et de construire ses "Expositions Universelles".

          Avec les nouvelles données cela nous donne ceci d’après wikipédia :
          https://fr.wikipedia.org/wiki/Tour_…

          « La phase de construction qui débute le 28 janvier 1887, s’achèvera finalement en mars 1889, juste avant l’ouverture officielle de l’Exposition universelle. » Soit 1227 jours

          « Sur le chantier, le nombre d’ouvriers ne dépassera jamais 250. C’est que, en fait, une grande partie du travail est fait en amont, dans les usines des entreprises Eiffel à Levallois-Perret. Ainsi, sur les 2 500 000 rivets que compte la tour, seulement 1 050 846 ont été posés sur le chantier.

          La plupart des éléments sont assemblés dans les ateliers de Levallois-Perret, au sol, par tronçons de cinq mètres, avec des boulons provisoires, et ce n’est qu’après, sur le chantier, qu’ils sont définitivement remplacés par des rivets posés à chaud.

          La construction des pièces et leur assemblage ne sont pas le fruit du hasard. Cinquante ingénieurs exécutent pendant deux ans 5 300 dessins d’ensemble ou de détails, et chacune des 18 038 pièces en fer possédait son schéma descriptif. »

          Par conséquent  :

          Les 200 ouvriers n’ont posé que "1 050 846 rivets" à chaud sur le site de la tour.

          Donc par jour => 1050846 rivets / 1227 jours soit 856 rivets

          Par heure => 856 rivets / 10 heures soit 85 rivets

          Avec 200 ouvriers, cela nous fait 50 équipes de 4 ouvriers. Sachant que durant la construction des fondations de la tour, les chaudronniers devaient se tourner les pouces. Nos gaillards devaient tourner environ à :

          2 rivets par heure.

          Voir ce lien sur l’histoire des rivets et sur le métier de chaudronnier :
          http://rivetsfrance.com/histoire_du…

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  • Nous vivons une époque de merde !

    Durant l’Exposition universelle de 1900, il y avait 200 bouquinistes le long de la Seine [1]. Cette exposition, après 212 jours d’ouverture, a accueilli 50 millions de visiteurs et presque 83 000 exposants.

    Alors pourquoi, pour les Jeux Olympiques d’été de 2024, soi-disant pour des raisons d’organisation et de sécurité, de protection du patrimoine classé [2], obliger les bouquinistes des quais de Seine à déménager durant les Jeux Olympiques [3] ?

    Il faut bien comprendre aussi que ces Jeux Olympiques à Paris vont accueillir, sur 15 jours, bien moins de visiteurs que lors de l’Exposition universelle de 1900 et risquent en plus de faire un flop.

    Car la Russie craignant une exclusion des sportifs russes des Jeux Olympiques de Paris, le président russe cherche à organiser en 2024, en Russie, ses propres jeux qui feront qu’au minimum les 11 pays des BRICS, si ce n’est pas plus, boycotteront par solidarité avec les sportifs Russes, les jeux de Paris pour participer aux jeux en Russie [4].

    Cette décision de la préfecture est donc plutôt surprenante, surtout qu’en 1900 nos gardiens de la paix n’avaient essentiellement que des chevaux pour se déplacer, alors qu’aujourd’hui, les forces de l’ordre disposent de la vidéosurveillance algorithmique [5], que Macron a acheté 90 "Véhicules Blindés de Maintien de l’Ordre" équipé de caméras de précision, de diffuseurs lacrymogènes, de lance-grenades, de mitrailleuses (1000 balles/minute)… [6] et qu’il est prévu de déployer, en même temps, sur Paris, lors des Jeux, 45000 policiers [7].

    [1] https://fr.wikipedia.org/wiki/Bouqu…

    [2] https://www.paris.fr/pages/ceremoni…

    [3] https://www.lemonde.fr/idees/articl…

    [4] https://www.lejdd.fr/international/…

    [5] http://mai68.org/spip2/spip.php?art…

    [6] https://mai68.org/spip2/spip.php?ar…

    [7] https://www.lepoint.fr/societe/jo-2…

    Photo d’un gardien de la paix publique à Paris : https://www.sfhp.fr/dotclear/index….

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