Seule une dénonciation sans faille de ces manipulations peut nous sauver
Salut à toutes et à tous,
Une nouvelle qui ridiculise l’ennemi de classe et ses porte-paroles dès ce matin en France :
Après le coup du passeport de l’un des terroristes du 11 septembre 2001 retrouvé intact dans les décombres du World Trade Center, voici la carte d’identité opportunément oubliée par l’un des terroristes de Charlie Hebdo dans la voiture qu’ils ont abandonnée à Pantin pour brouiller leur piste.
Il est vrai qu’hier soir, "ils" avaient déjà les noms des terroristes avant-même d’avoir eu le temps de commencer à mener une quelconque enquête un tant soit peu sérieuse :
http://mai68.org/spip/spip.php?article8346
Alors, ce matin, "ils" se devaient d’expliquer un tel miracle. D’où le coup de la carte d’identité oubliée dans la première bagnole de fuyards suffisamment intelligemment préparés pour mener sans coup férir une telle attaque terroriste, mais suffisamment cons pour prendre avec eux leurs cartes d’identité, dont chacun sait bien qu’on la laisse toujours à la maison quand on doit mener une telle opération. C’est nous qu’"on" prend pour des abrutis.
Aussi, Hollande a convoqué la grand messe et les bons sentiments afin d’endormir l’intelligence et d’hypnotiser les individus.
Un des principes essentiels de l’hypnose est qu’on hypnotise plus facilement une foule qu’un individu isolé. Et plus la foule est nombreuse et plus ça fonctionne. Parce que plus la foule est nombreuse, et plus il y a quelqu’un dedans qui est sensible à l’hypnose. Et celui-ci en entraine d’autres qui communiquent leur hypnose à d’autres ensuite, etc…
Seule une dénonciation sans faille de ces manipulations peut nous sauver.
Bien à vous,,
do
8 janvier 2015 à 13 heures
http://mai68.org
Charlie Hebdo - 7 janvier 2014 entre 11h et 12h - Spectacle de terrorisme à Paris en France (vidéo 42’’) :
La carte d’identité de l’aîné, Said Kouachi, a été retrouvée dans la voiture abandonnée par les fuyards dans le 19e arrondissement.
http://www.francetvinfo.fr/faits-di…
Mis à jour le 08/01/2015 | 14:51 , publié le 08/01/2015 | 10:13
"Charlie Hebdo" : comment les policiers ont identifié les frères Kouachi
Depuis l’attentat au siège de Charlie Hebdo qui a fait au moins douze morts, mercredi 7 janvier, la police a entamé une traque pour retrouver les auteurs de cet acte terroriste. Les enquêteurs sont rapidement partis sur la piste de deux frères, Chérif et Said Kouachi. Voici les éléments qui leur ont permis de les identifier.
La carte d’identité
Les enquêteurs ont retrouvé la carte d’identité de l’aîné, Said, dans la voiture abandonnée par les suspects dans le 19e arrondissement de Paris.
A partir de cette carte d’identité, la police s’aperçoit qu’il s’agit de vieilles connaissances des services antiterroristes, et elle lance un avis de recherche avec un numéro vert pour les appels à témoins (08 05 02 17 17).
Un élément surprend toutefois les enquêteurs : la différence flagrante entre la maîtrise affichée par les assassins sur les différentes vidéos et l’erreur grossière que constituerait l’oubli d’une carte d’identité. Plusieurs hypothèses sont envisagées par Nicolas Comte, du syndicat de police Force ouvrière, sur BFM TV. "L’erreur est humaine" et il peut s’agir d’une simple étourderie des suspects. Selon nos confrères de France 2, la thèse d’une fausse piste créée par les auteurs de l’attentat est mise à mal par les prélèvements ADN sur la carte d’identité et ceux réalisés dans la voiture. Ils correspondent à un profil génétique similaire.
Les prélèvements dans la voiture
La police scientifique a réalisé de nombreux prélèvements dans la C3 abandonnée par les tueurs pour tenter de trouver des empreintes digitales, des traces ADN et même l’odeur des témoins.
Sur BFMTV, Nicolas Comte, du syndicat de police Force ouvrière indique que ses collègues ont sans doute amassé d’autres preuves matérielles comme des munitions ou des traces à l’intérieur des véhicules. "Ils sont sortis avec les kalachnikovs mais ont oublié les chargeurs dans la Citroën, ça s’est passé en quelques secondes", raconte à Libération un témoin de la scène.
L’analyse des images
Les enquêteurs ont aussi analysé les différentes vidéos amateurs tournées pendant la fuite des tueurs, près des locaux de l’hebdomadaire, qui leur ont permis de rapidement tirer des conclusions sur leur profil.
Sur les images, les deux hommes tiennent leurs kalachnikovs serrées près du corps, tirent au coup par coup et non par rafales, "ce qui démontre qu’ils ont été entraînés à s’en servir et qu’ils n’ont pas pu agir sur un coup de tête", assure un policier cité par l’AFP.
"Ce sont des individus qui ont l’habitude des armes de guerre, qui réagissent comme des personnes entraînées, sur des stands de tir, mais surtout sur des vraies zones de conflit", a confirmé Claude Moniquet à francetv info. Pour cet ancien agent de renseignement de la Direction générale de la sécurité extérieure, la "piste syrienne et du jihad" pourrait être plausible.