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La choquante vérité sur les attentats à la bombe de Bagdad en 1950 et 1951

jeudi 22 juin 2023, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 22 juin 2023).

https://www.france-irak-actualite.c…

Publié par Gilles Munier sur sont site le 22 Juin 2023 à 08:45am

Par Justin Marozzi (revue de presse : Chronique de Palestine – 20 juin 2023)

Source et Traduction : Chronique de Palestine – Dominique Muselet

Version originale : 17 juin 2023 – The Spectator

Irakiens de confession juive - Photo : Archives

Dans son livre « Trois mondes : mémoires d’un juif arabe », Avi Shlaim affirme avoir découvert la preuve indéniable que des agents sionistes ont pris pour cible la communauté juive, pour la forcer à fuir l’Irak et à s’installer en Israël.

La famille d’Avi Shlaim menait la belle vie à Bagdad. Membres prospères et distingués de la minorité juive d’Irak, une communauté dont la présence à Babylone remonte à plus de 2500 ans, ils disposaient d’une grande maison avec domestiques et nounous, fréquentaient les meilleures écoles, côtoyaient les grands de ce monde et les meilleurs esprits et se promenaient élégamment d’une fête étincelante à l’autre.

Le père de Shlaim était un homme d’affaires prospère qui comptait des ministres parmi ses amis. Sa mère, beaucoup plus jeune, était une belle femme ambitieuse qui avait beaucoup d’admirateurs, du roi Farouk d’Égypte jusqu’à un agent recruteur du Mossad.

Cette fraction privilégiée de la société irakienne évoluait dans un milieu riche, cosmopolite et globalement harmonieux. Le jeune Shlaim, né à Bagdad en 1945, vivait des jours heureux.

Cela n’allait pas durer. En 1950, lors d’une série d’attentats à la bombe visant la population juive de la capitale irakienne, lui et sa famille ont fui leur ancienne patrie pour commencer une nouvelle vie dans le jeune État d’Israël.

Son père, alors âgé d’une cinquantaine d’années, ne parlait pas l’hébreu et a été complètement déstabilisé par ce déménagement. Après avoir échoué plusieurs fois à monter une entreprise, il a renoncé à travailler.

La mère de Shlaim, très énergique, a pris le relais en troquant sa vie sociale dorée de Bagdad contre un simple emploi de téléphoniste à Ramat Gan, à l’est de Tel-Aviv, où ils ont vécu dans des conditions tout sauf prospères. Le couple s’est désuni puis a divorcé, et le père de Shlaim est décédé en 1970.

Plus de 70 ans plus tard, Shlaim, professeur retraité d’Oxford et éminent historien du conflit israélo-arabe, s’est rendu compte que la nature de sa première relation avec Israël avait développé chez lui un complexe d’infériorité.

Les séfarades, juifs originaires des pays arabes, étaient méprisés par les ashkénazes, leurs homologues européens. À l’école, il était timide et renfermé et il n’a retrouvé son assurance, après cette malheureuse période de vie en Israël, que lorsqu’il s’est réinstallé, adolescent, en Grande-Bretagne.

Au cœur de ce livre passionnant qui suscite beaucoup de discussions se trouve l’enquête de Shlaim sur les attentats à la bombe perpétrés à Bagdad contre des cibles juives en 1950 et 1951.

Entre ces deux années, environ 110 000 juifs sur une population d’environ 135 000 ont émigré d’Irak en Israël. Bien qu’Israël ait toujours nié toute implication dans ces attentats, des soupçons pèsent sur les activités clandestines d’agents sionistes chargés de persuader la communauté juive de fuir l’Irak et de s’installer en Israël.

La bombe que largue Shlaim dans le livre ce sont « les preuves indéniables de l’implication des sionistes dans les attaques terroristes », qui ont contribué à mettre fin à la présence millénaire des juifs à Babylone. Il s’agit là d’une accusation de taille, qui sera toujours vivement contestée.

Ce livre, magnifiquement écrit, mêle avec art l’expérience personnelle et la politique. Les souvenirs de la vie familiale, tant dans sa gloire que dans ses angoissantes tribulations, sont très vivants.

Le récit puissant et humain de Shlaim nous rappelle que les Palestiniens n’ont pas été les seules victimes de la création d’Israël en 1948. Selon lui, le projet sioniste a porté un coup fatal à la position des juifs dans les pays arabes, eux qui étaient considérés comme des compatriotes à part entière sont devenus une cinquième colonne soupçonnée d’être à la solde du nouvel État juif.

Shlaim, quant à lui, s’accroche résolument à sa double identité, arabe et juive, d’où le titre de ses mémoires.

Après avoir relaté son service militaire et son arrivée à Cambridge en 1966 en tant qu’étudiant, Shlaim clôt son récit par un épilogue extraordinaire dans lequel il attaque frontalement le sionisme et l’État moderne d’Israël. Même après tout ce qui a précédé, la férocité de sa conclusion est stupéfiante.

Il s’agit d’un J’Accuse cinglant qui laissera certains lecteurs pantois. Il affirme que le mouvement sioniste eurocentré et Israël ont tous les deux intensifié les divisions entre arabes et juifs, Israéliens et Palestiniens, hébreu et arabe, judaïsme et islam. Ils ont activement œuvré à l’effacement d’un héritage ancien de « pluralisme, de tolérance religieuse, de cosmopolitisme et de coexistence ».

Par-dessus tout, « le sionisme nous a découragés de nous considérer les uns les autres comme des êtres humains ». Israël, créé à l’origine par un « mouvement colonial de peuplement » qui s’est livré au « nettoyage ethnique de la Palestine », est devenu « un État forteresse avec une mentalité de siège qui attribue des intentions génocidaires à ses voisins ».

Il s’agit là d’une façon de voir les choses qui est âprement contestée. Shlaim reconnaît que la majorité des Israéliens, y compris sa famille, sont indignés de ce qu’Israël soit qualifié d’ « État d’apartheid », et pourtant c’est exactement ainsi qu’il le considère.

Quant à la manière la plus efficace d’aller de l’avant, on ne voit pas quel argument on pourrait opposer à sa conclusion selon laquelle la solution au conflit israélo-palestinien dite de « deux États » a fait long feu. Après des années d’expansion incessante et illégale des colonies israéliennes, la façon la plus lumineuse de le démontrer est de poser cette simple question : Où se situerait exactement l’État palestinien ?

La résolution que privilégie Shlaim, autrefois rejetée comme marginale et extrémiste, mais aujourd’hui envisagée avec de plus en plus de sérieux par nombre de Palestiniens mais encore très peu d’Israéliens, est la solution d’un seul État, avec « des droits égaux pour tous ses citoyens, indépendamment de leur appartenance ethnique ou de leur religion ».

Cela équivaudrait à la fin de l’État juif d’Israël. Pourquoi alors l’envisager ? Shlaim lance sa dernière bombe : « L’apartheid au XXIe siècle n’est tout simplement pas viable ».

Ariel Sharon - 1982 - « je ferai tout ce que je pourrai pour accroître l’antisémitisme ! »

http://mai68.org/spip/spip.php?article6549

« À propos du doux et du délicat ». Interview d’Ariel Sharon par Amos Oz, 1982.

Note de do : Comme à l’époque les sionistes ont tout fait pour que l’on croie que cette interview était un faux, je vais prouver qu’elle est vraie.

Ariel Sharon en 1982 : « Même aujourd’hui je me porte volontaire pour faire ce sale travail pour Israël, de tuer autant d’Arabes qu’il est nécessaire, de les déporter, de les expulser, de les brûler, de faire que le monde entier nous haïsse, de tirer le tapis de dessous les pieds des Juifs de la diaspora, ce qui les forcera à courir vers nous en pleurant. Même s’il faut faire sauter une ou deux synagogues par-ci par-là, cela m’est égal. Et cela m’est égal aussi si une fois le travail fait, vous me mettez devant un tribunal de Nuremberg puis me jetez en prison à vie. Pendez-moi même, si vous voulez, comme criminel de guerre. » … « Ainsi je suis un antisémite ? Parfait ! » … « je ferai tout ce que je pourrai pour accroître l’antisémitisme ! »

Autre note de do : L’ANTISÉMITISME EST LE MEILLEUR ALLIÉ DU SIONISME !

Article complet (interview complète ET preuve qu’il ne s’agit pas d’un faux) au lien ci-dessous :

http://mai68.org/spip/spip.php?article6549

Alliance entre sionistes et nazis - Le Transfert agreement du 7 aout 1933 (vidéo 13’15)

http://mai68.org/spip/spip.php?article6569

Hitler a co-fondé Israël en 1933 avec les sionistes

Cliquer ici pour télécharger la vidéo.

Enfin, bon, dire qu’Hitler a co-fondé Israël avec les sionistes, c’est quand même un peu oublier la déclaration Balfour de 1917, où l’a couronne d’Angleterre promet à Lord Rothschild un foyer national juif en Palestine. Mais, cette alliance entre nazis et sionistes est bien mal connue en France et mérite d’être dénoncée !

L’alliance entre sionistes et nazis ne doit pas vous étonner, puisqu’Ariel sharon, et Theodor Herzl lui-même, disaient que les antisémites et les pays antisémites seraient leurs meilleurs alliés.

Cliquer ici pour l’article et les commentaires

Le sionisme et le nazisme sont des choses très différentes

http://mai68.org/spip/spip.php?article2025

Sioniste et nazi, c’est très différent :

1°) Le nazisme est une maladie allemande, alors que le sionisme est une maladie juive.

2°) Les nazis voulaient conquérir "leur" espace vital, alors que les sionistes veulent "leur" terre promise.

3°) Pour les nazis, les Allemands sont la race supérieure, tandis que pour les sionistes, les Juifs sont le peuple élu.

Par conséquent, le sionisme et le nazisme sont des choses très différentes. Une différence qui saute aux yeux.

Cependant, le sionisme et le nazisme ont quelques points communs :

1°) Ils haïssent autant l’un que l’autre l’ancienne URSS.

2°) Ils prennent tous deux la défense de l’Allemagne.

3°) Ils excellent tous deux dans la propagande mensongère !

Il faut remarquer aussi que, tout comme le fascisme, le sionisme s’avance le plus souvent à visage masqué !

La déclaration Balfour de 1917

C’est à Lord Rothschild que fut adressée en 1917 la déclaration Balfour sur la création d’un foyer national juif en Palestine :

http://mai68.org/spip/spip.php?article1542

L’anticommunisme, profession des sionistes (Livre introuvable d’URSS 1972)

http://mai68.org/spip/spip.php?article4974

Les Juifs aussi sont divisés en classes : une classe dominante, et une classe dominée. Le sionisme est l’idéologie de la classe dominante juive.

Je vous propose aujourd’hui un petit livre, de moins de cent pages en gros caractères, qui nous vient en direct de l’ancienne Union Soviétique. Il a été écrit par N. Bolchakov et publié par Novosti en 1972. Il nous explique en particulier que le sionisme est l’idéologie de la classe dominante juive. Mais aussi, il dénonce les nombreuses compromissions du sionisme avec Hitler et les nazis ; et plein d’autres choses. Ce petit livre est Bourré de références prouvant ce qu’il raconte. PDF.

Cliquer ici pour l’article, le PDF et les commentaires

Le lobby qui n’existe pas (vidéos)

http://mai68.org/spip2/spip.php?article5653

Épisode 1 - La Guerre secrète - 49’40

Si vous ne pouvez pas voir la vidéo avec Firefox
Essayez avec Google Chrome

Aladin, 3 avril 2020 :

Le site Orient XXI diffuse deux des quatre volets d’une série documentaire d’Al-Jazira sur le lobby pro-israélien aux Etats-Unis. Une enquête solide et potentiellement explosive que la chaîne qatarie refuse pour l’instant de diffuser.

il s’agit d’un travail journalistique sérieux, précis et documenté qui fait intervenir de nombreuses personnalités, politiques, universitaires, essayistes, étudiants. Il est expliqué à plusieurs reprises que les responsables des organisations incriminées dans le reportage ont été sollicitées, en vain, par ses auteurs.

Alors que l’élection de Trump, indéfectible appui de l’Etat hébreu, aurait dû apaiser les promoteurs de la politique israélienne aux Etats-Unis, l’enquête montre précisément l’inverse.

Le reportage livre des preuves accablantes de l’illégalité des actions menées par les puissants groupes de pression pro-israéliens sur le sol américain.

Voici l’épisode 1 : La Guerre secrète, et l’épisode 2 : Orienter les élites.

Ci-dessus, vous avez seulement l’épisode 1. L’épisode 2 est dans l’article.

Cliquer ici pour l’article, LES vidéos et les commentaires

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