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Que faire de la monnaie dans une alternative démocratique anti-banco-centraliste ?

mercredi 29 décembre 2021, par Luniterre (Date de rédaction antérieure : 29 décembre 2021).

https://youtu.be/Rhdeb4nTZNs

Totalitarisme sanitaire avant 3e guerre mondiale ?
Politique & Eco n°324 avec Valérie Bugault

TVL - 13 décembre 2021

Cliquer ici pour télécharger la vidéo

Pourquoi la gestion de la crise sanitaire a été excellente dans les pays pauvres et catastrophique dans les pays riches ? Pourquoi l’individu en arrive à être incapable de discerner sa propre servitude volontaire ? Y a-t-il un lien entre cette pandémie de Covid-19 et l’ambition d’une petite élite supranationale d’établir un Nouvel Ordre Mondial ? Valérie Bugault, qui publie le tome 2 de son ouvrage "Les raisons cachées du désordre mondiale" répond à toutes ces questions dans ce nouveau numéro de "Politique & Eco". Elle dénonce également le vide juridique dans lequel se trouve la France depuis l’instauration de l’Etat d’urgence dit sanitaire qui n’a rien de constitutionnel et qui a plongé la population dans un état de sidération totale. Etat de sidération créé par l’establishment en vue d’accélérer la désintégration de la France et d’accélérer l’intégration européenne, laboratoire des élites apatrides pour établir un gouvernement mondial qui plongera les populations occidentales dans l’esclavage.

La démarche de Valérie Bugault est une des plus honnêtes et des plus courageuses depuis le début de cette crise, et des plus utiles en ce qu’elle veut rendre à la monnaie sa fonction sociale de moyen de faciliter les échanges sans but d’accaparement exclusif de l’argent en soi et pour soi.

Cet aspect de son approche est fort bien résumé dans un court article, remarquable de concision, sur le sujet du rôle possible de la monnaie :

De la véritable nature de la monnaie - Site officiel de Valérie Bugault (valeriebugault.fr)

https://valeriebugault.fr/de-la-veritable-nature-de-la-monnaie

Je partage donc évidemment son but concernant le retour à une fonction sociale de la monnaie. C’est sur l’analyse des causes historiques du problème qu’il y a une relative divergence entre son analyse et la mienne.

En effet, la monnaie, dès l’origine, possède une double fonction, de marchandise et de moyen d’échange.

La valeur de la monnaie métallique primitive, que ce soit or, argent, ou cuivre, (…ou autre !), n’est tout d’abord que la valeur de son poids en métal, réutilisable comme tel, que ce soit pour fabriquer des bijoux, en or, ou des objets éventuellement plus utilitaires, en argent ou en cuivre.

Dans ce cas, celui d’une économie primitive, le rôle de la monnaie est une version améliorée du système de troc, où une marchandise « tierce » sert, précisément, de « monnaie d’échange » tout en conservant sa valeur apparemment « intrinsèque » en tant que marchandise (Basée sur sa valeur d’usage en tant que matière transformable).

En fait, c’est la notion de valeur « intrinsèque », reprise par Valérie Bugault, qui pose problème : en réalité la valeur « intrinsèque » d’une monnaie métallique primitive n’est toujours que sa valeur d’échange contre une autre marchandise.

Elle n’est donc pas « intrinsèque » mais varie selon l’offre et la demande, en fonction de l’usage que chacun des partenaires de l’échange entend en faire, et donc, en fonction de leurs besoins, économiques et sociaux respectifs

Il est évident que l’or, par exemple, a essentiellement une fonction « décorative » dans les sociétés primitives, et il a donc une fonction de prestige social et/ou d’offrande religieuse (Décor d’un sanctuaire).

Mais même les métaux moins prestigieux ne seront pas accumulés en dehors d’un usage social, dans une société primitive : ils circuleront contre des biens de première nécessité, alimentaires, vestimentaires, etc…

La monnaie a donc, dès son origine, une double fonction de marchandise et de moyen d’échange.

Il en va de même, jusqu’à un certain point, pour la monnaie papier, dite « fiduciaire », c’est-à-dire reposant sur la confiance dans la valeur de la monnaie émise.

A ce stade, la valeur d’usage de la monnaie disparaît quasi complètement au profit de sa seule valeur d’échange. Et la valeur d’échange des monnaies entre elles varie précisément en fonction du degré de confiance que leur accordent respectivement les marchés de change aussi bien que les utilisateurs dans la vie quotidienne.

Il n’y a donc toujours pas de « valeur intrinsèque » de la monnaie… Pourtant, certaines monnaies sont effectivement utilisées comme « réserves de valeur » et dites très officiellement « monnaies de réserve ».

Pour autant, même si ce rôle de « monnaie de réserve » leur est dévolu en fonction d’un consensus de « confiance » internationale, leur valeur n’en fluctue pas moins quotidiennement, en fonction du marché des changes, et non pas de manière « intrinsèque » !!!

Vouloir faire disparaître complètement la fonction « marchandise » de la monnaie au profit, si l’on peut dire, de sa fonction d’échange social, cela paraît donc essentiellement utopique, sauf à régler les échanges de manière entièrement autoritaire et bureaucratique, et c’est bien précisément ce que veulent faire les banco-centralistes, avec leur monnaie numérique, entièrement « dématérialisée » et contrôlée, in fine, par le seul ordinateur de la Banque Centrale, contrôlant ainsi les moindres usages de notre vie de citoyens !!!

A ce propos, en réponse aux affirmations trop unilatérales de Valérie Bugault, je serais tenté de dire :

« Qui veut faire l’ange fait la bête ! »

Néanmoins, dans la mesure où l’intention reste bonne il faut donc chercher une solution pragmatique et praticable à ce problème.

Supprimer tout à fait l’argent, c’est en revenir au système de troc, et à moins d’être stupide, on en voit tout de suite les limites, incompatibles avec une économie moderne.

Dématérialiser complètement l’argent, c’est ouvrir la porte à une forme ou une autre de dictature bureaucratique, oligarchique et/ou ploutocratique.

Dans les communautés primitives, les périodes de relatif équilibre entre les fonctions d’échange et les fonctions marchandises de la monnaie se sont produites quand les échanges étaient limités aux échanges directs entre producteurs. Chacun échangeant essentiellement en fonction de ses besoins sociaux familiaux et personnels, un équilibre naturel s’établit, dans une telle communauté, entre l’offre et la demande, essentiellement régulée par les besoins sociaux de la collectivité, de sorte qu’il ne sert à rien de surproduire au-delà de ces besoins immédiats et d’une réserve de sécurité raisonnable.

Dans cette configuration, quelle que soit la monnaie employée, les prix ont tendance à se fixer de manière à ce que les échanges se fassent de manière proportionnelle à la quantité de travail productif fourni par chaque membre de la communauté.

Dans ce cas, quel qu’en soit le support, la monnaie conserve à la fois une fonction d’équivalent marchandise et une fonction d’échange social, sans que les deux ne puissent durablement rentrer en conflit, et sans que l’accumulation monétaire ne présente un intérêt réel et durable, au-delà d’une aisance matérielle raisonnable. Dans cette situation, les échanges se font, assez naturellement, en valeur-travail, quelle qu’en soit la forme monétaire.

La formation du capital commercial ne commence qu’avec les échanges marchands spécialisés par un intermédiaire entre communautés suffisamment éloignées et différentes pour engendrer des productions et des besoins nouveaux et exogènes.

C’est alors que la fonction « marchandise » de l’argent commence à se transformer en fonction cumulative à grande échelle, ouvrant par la suite la voie au capitalisme industriel moderne.

Un des aspects de la solution est donc d’utiliser les moyens de communication modernes pour réguler de manière équitable les échanges en fonction des besoins sociaux réellement essentiels, et non dans un but d’accumulation du capital.

Dans les premiers temps de la société industrielle l’accumulation du capital vient de l’accumulation de la plus-value inhérente à la production de marchandises par la force du travail productif humain.

A mesure que le machinisme et l’automatisation des processus productifs se développent, notamment avec la robotisation, la marchandise tend à n’être plus que la reproduction du capital fixe, c’est-à-dire de la valeur d’usage de la machinerie.

C’est un aspect essentiel de la question, et qui échappe, malheureusement, à Valérie Bugault, qui semble considérer le capital comme un tout uniforme, alors qu’il se décompose en de multiples aspects, dont deux essentiels : le capital fixe, c’est-à-dire la valeur d’usage de l’appareil productif, et le capital variable, c’est-à-dire la masse salariale mise en œuvre dans le travail productif.

Evidemment, cela constitue encore une simplification extrême, par rapport à la complexité réelle des choses, mais cela permet d’aborder sous un angle dialectique le point essentiel de la création monétaire qui est le fond du propos de Valérie Bugault et le fond des enjeux de la politique mondialiste actuelle.

En effet, dans les premières périodes du capitalisme industriel, et pratiquement, jusqu’à la fin du XXe siècle, le crédit, principale source de création monétaire, correspond non seulement à une anticipation de la valeur à créer par le processus productif, mais aussi de la plus-value qui en résulte. De sorte que l’intérêt du crédit lui-même est une partie de cette plus-value à venir, et finalement réalisée, et non pas une création monétaire absolument ex-nihilo et sans contrepartie réelle.

De sorte, également, que l’élargissement du capital, qu’il soit directement productif ou financier, provient, pour l’essentiel, de l’élargissement constant de la valeur produite par le travail productif et de la plus-value qui en résulte. Dans cette situation il y a encore une relative adéquation entre la masse monétaire et la valeur d’échange des marchandises en circulation, même si le tout reste le plus souvent associé avec des inégalités sociales éventuellement, et même, généralement, extrêmes.

Alors que quand, par la suite, et singulièrement, depuis le début du XXIe siècle, la valeur des marchandises produites n’est plus, pour l’essentiel, que la reproduction de la valeur d’usage du capital fixe, c’est-à-dire de la valeur d’usage de la machinerie automatisée, la plus-value résiduelle encore extraite sur le travail productif humain n’est plus suffisante pour couvrir et l’intérêt des crédits et le profit du capital. Il se crée donc une situation chroniquement déflationniste telle que le profit du capital lui-même n’est plus qu’une partie non remboursée du crédit, néanmoins toujours renouvelé sous forme de « roulement de la dette », qui ne peut donc, globalement, que s’élargir.

Dans cette situation il y a donc un élargissement quasi-exponentiel de la masse monétaire, hors de toute adéquation avec la valeur des marchandises réellement produites, et sans que cela ne produise nécessairement d’inflation significative, sauf destruction des forces productives.

Une telle destruction des forces productives, telle qu’on l’a vue principalement avec le premier confinement de 2020, cela permet donc à la fois de relancer l’inflation et le profit du capital, mais sans que cela ne change rien aux fondamentaux de l’évolution des forces productives modernes et donc sans que cela puisse être réellement durable.

Et les initiateurs de cette catastrophe économique mondiale ne sont pas des niais au point de l’ignorer, bien au contraire, vu qu’ils étudient à fond cette situation depuis la crise de 2007-2008 !

Ce n’est donc pour eux qu’une manœuvre de « diversion » à la fois particulièrement rentable en elle-même, notamment à travers le gigantesque bizness « vaccinal » mondialisé et singulièrement utile pour avancer vers une forme évoluée du Nouvel Ordre Mondial telle que le contrôle absolu de la création monétaire puisse leur permettre de contrôler la vie économique directement et d’un bout à l’autre, de la production à la consommation, sans avoir le moindre compte à rendre à personne d’autre qu’à eux-mêmes, en tant que caste-classe ultra-minoritaire de banco-centralistes !

En bientôt deux ans de pseudo-« pandémie » il y a clairement une gradation des mesures coercitives incitant les populations, par la psychose et la peur, à renoncer à leurs droits élémentaires, et notamment, à être simplement soignées par leur praticien habituel, avec des thérapies déjà éprouvées sur le terrain.

Du confinement absurde combiné avec le refus de soin des patients, sauf quand il est déjà trop tard, au pseudo-« vaccin expérimental », qui fait aujourd’hui la preuve de son inefficacité, on voit bien que la filiation sous-jacente de ce parcours terroriste d’Etat est en réalité l’imposition du « passe sanitaire » comme premier maillon d’un système de contrôle permanent des populations.

 Le passage du « passe sanitaire » au « passe vaccinal », alors même que le variant Omicron sonne la fin naturelle de l’épidémie, c’est clairement le maillon suivant de la chaîne de contrôles tous azimuts que le système entend construire pas à pas, en obtenant à chaque pas une plus grande soumission des populations.

Comme le révèle le projet « Thalès » la finalité est évidement la fusion du « passe vaccinal » avec l’ « identité numérique », et finalement, à terme, avec la « Monnaie Numérique de Banque Centrale », qui relie le compte de chacun à un contrôle centralisé permettant l’application d’un « crédit social à la chinoise » destiné à façonner définitivement le comportement de tous les individus en fonction des orientations sociétales décidées par le système, en dehors de toute procédure démocratique un tant soit peu digne de ce nom !

Si, comme nous le rappelle Valérie Bugault, des rivalités entre zones d’influences monétaires subsistent entre le système chinois actuel et le système occidental, il est néanmoins dangereux et même carrément vain d’espérer pouvoir en jouer, même tactiquement, pour défendre la cause de la démocratie et de la liberté.

En réalité, et dès l’origine, le système économique chinois moderne a été financé, dès avant la fin de l’ère Mao, depuis 1972, par des capitaux US, et les deux systèmes monétaires, Yuan et Dollar, malgré des caractéristiques très différentes, sont restés liés et interdépendants.

A sa manière, et en « parallèle » de l’évolution du système japonais, le système chinois a constitué un prototype d’avant-garde du banco-centralisme, et à ce titre il ne saurait être à la fois l’une des sources du mal et son remède !

Comme on l’a vu également lors de diverses études économiques parues ces dernières années sur TML, parler de bloc « Russo-Chinois », comme le font nombre de chroniqueurs, en ne se fiant qu’aux apparences, cela n’a en réalité aucun sens. La Russie n’est en fait « prioritairement » alliée de la Chine que dans la mesure ou l’Occident s’acharne à vouloir réduire la Russie à une sorte de semi-colonie, comme il l’a déjà fait avec les pays d’Europe de l’Est ex-membres ou ex-alliés de l’URSS. La Russie a toujours constitué une sorte de zone d’équilibre entre l’Orient et l’Occident et souhaite principalement continuer de jouer ce rôle historique de pivot de ces deux univers culturels et économiques, sans rentrer dans la dépendance de l’un ou de l’autre.

De plus, même si elle occupe une partie essentielle et stratégique du continent eurasiatique, elle ne constitue pas, et de très loin, une puissance économique et financière telle qu’elle puisse imposer au reste du monde un ordre banco-centraliste de sa manière, et donc, même s’il y a effectivement lieu de critiquer certaines dérives autoritaires de sa part, c’est plutôt de son côté qu’une nation en voie de libération du système banco-centraliste actuel peut logiquement tenter de négocier une alliance tactique, éventuellement durable sur le plan économique.

Contrairement aux apparences, il est clair que l’alliance russo-chinoise est-elle-même une alliance tactique, et en réalité fragile, dans la mesure où la Chine entend étendre son influence économique et financière sans tenir compte des intérêts géopolitiques de la Russie, ni en Ukraine ni ailleurs. C’est juste une conjonction des manœuvres et pressions exercées par l’Occident qui cimente la façade de cette alliance. Il n’y a donc pas d’alliance tactique durable qui soit utile et justifiée avec ces deux pays considérés comme un bloc, alors qu’une alliance avec la Chine ne peut que contribuer à renforcer le bloc banco-centraliste, en réalité.

Concernant la construction d’un nouveau type de démocratie, susceptible d’unir la très grande majorité des classes populaires contre la dictature banco-centraliste mondialisée, il faut bien comprendre qu’elle n’a de sens qu’en allant directement au cœur du problème, celui de la création monétaire par le crédit. C’est en contrôlant démocratiquement cette création à tous les niveaux où elle est nécessaire que le peuple peut reprendre la maîtrise de son destin. A tous les niveaux signifie donc au plus haut, celui de la Banque De France, à renationaliser et à replacer sous l’autorité d’un Conseil National du Crédit, tel qu’en 1945, mais cette fois-ci sous une forme réellement démocratique et représentative de la société française dans son ensemble. Des Conseils Régionaux et locaux, dans le même esprit de contrôle populaire démocratique sont évidemment également nécessaires. Des assemblées réellement représentatives de la base doivent se voir nécessairement contraintes par leurs mandants à établir une adéquation entre les revendications démocratiquement déterminées concernant les besoins sociaux les plus urgents et les crédits nécessaires pour y répondre.

Les formes concrètes de ce contrôle démocratique du crédit sont évidemment à déterminer par le mouvement de masse lui-même, à mesure qu’il se structure dans ses organisations de Résistance, sur le terrain, et non pas dans les officines bureaucratiques des partis politiques actuels.

Luniterre

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POUR ALLER PLUS LOIN SUR LE BANCO-CENTRALISME :

L’ONU DÉCLARE OFFICIELLEMENT LA « GUERRE ÉCONOMIQUE » …CONTRE LES PEUPLES, EN RÉALITÉ, ET POUR LE COMPTE DES BANCO-CENTRALISTES !

http://mai68.org/spip2/spip.php?article8833

Mort cérébrale du capitalisme, mort cérébrale de la gauche !

http://mai68.org/spip2/spip.php?article8724

“Le Crime du Garagiste” – Le Casse Banco-centraliste !

http://mai68.org/spip2/spip.php?article8195

« Great Reset » : le banco-centralisme est-il un « complot pervers » ou simplement la conséquence incontournable d’une évolution systémique ?

http://interfrsituation.eklablog.com/great-reset-le-banco-centralisme-est-il-un-complot-pervers-ou-simpleme-a209547684

NOUVEAU !!! >>>

« Aux âmes damnées (…du banco-centralisme), la valeur n’attend point le nombre des années (…pour disparaître !)…

http://mai68.org/spip2/spip.php?article9503

« Merveilleux » Monde d’Après : face à l’émergence du banco-centralisme, quelle forme de Résistance ?

http://mai68.org/spip2/spip.php?article6329

Paradoxe et suspense économique en 2021 : le Capital atteindra-t-il, ou non, le Nirvana par la Dette Mondiale ?

http://interfrsituation.eklablog.com/paradoxe-et-suspense-economique-en-2021-le-capital-atteindra-t-il-ou-n-a209197288

SUR LE CONTEXTE :

A propos du N.O.M. comme forme évoluée « moderne » du totalitarisme, …et de son « Innommable » succursale en France !

http://interfrsituation.eklablog.com/a-propos-du-n-o-m-comme-forme-evoluee-moderne-du-totalitarisme-et-de-s-a209538864

« PREMONITOIRE » ??? Mars 2015, la BCE met en œuvre son premier « Quantitative Easing »… Sur RTL François Lenglet « crache le morceau » sur la réalité du banco-centralisme… !

http://interfrsituation.eklablog.com/premonitoire-mars-2015-la-bce-met-en-oeuvre-son-premier-quantitative-e-a209230140

Autre pays, autres mœurs, débusquée en Inde, une responsable de l’OMS, « Criminelle de guerre sanitaire » ? Comment désigner les génocidaires mondialistes ?

http://mai68.org/spip2/spip.php?article9237

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***_____ DÉCAPANT !!! _____***

LA TOTALE !!! >>>

Décapant !!! Le capitalisme et-il déjà derrière nous ? Et si oui, qu’est-ce qui a pris sa place ???

http://mai68.org/spip2/spip.php?article9688

Décapant !!! (Suite !) D’après les Grundrisse de Marx, le passage du capitalisme au banco-centralisme est en marche…

http://mai68.org/spip2/spip.php?article9716

Décapant !!! (Suite !) Les "complotistes" sont des lemmings à l’instinct rebelle, qui refusent de participer au suicide du troupeau !

http://mai68.org/spip2/spip.php?article9731

Décapant !!! (Suite !) Banco-centralistes et capitalistes : que reste-t-il de leurs amours ???

http://mai68.org/spip2/spip.php?article9737

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