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Marqués par la sorcellerie, des malades d’Ebola préfèrent la prière aux soins (vidéo)

mercredi 23 mai 2018, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 23 mai 2018).

Marqués par la sorcellerie, des malades d’Ebola préfèrent la prière aux soins

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AFP
Publié mardi 22 mai 2018 à 19:57

De nombreux malades se croient frappés par un mauvais sort. Le corps médical s’en alarme

Maladie mystique, mauvais sort, sorcellerie et superstition justifient pour la majorité des habitants de Mbandaka (nord-ouest de la République démocratique du Congo) le refus par certains malades de recevoir des soins dans les hôpitaux. Mercredi, un pasteur d’une Eglise évangélique est décédé quelques jours après avoir « prié » pour un malade d’Ebola, selon un médecin. « Croyant que l’épidémie d’Ebola relève de la sorcellerie, certains malades refusent de se faire soigner, préférant la prière », témoigne Julie Lobali, une infirmière en première ligne contre la neuvième épidémie de la maladie d’Ebola en RDC.

A Mbandaka, ville de 1,2 million d’habitants située à 700 km de Kinshasa, touchée par l’épidémie, de nombreuses personnes croient que l’épidémie actuelle est « un mauvais sort jeté sur ceux qui ont mangé une viande volée » en brousse, explique Julie Lobali. Cette infirmière de l’hôpital général de Mbandaka est elle-même considérée comme un « cas suspect ».

L’épidémie d’Ebola a été déclarée le 8 mai à Bikoro (à 100 km de Mbandaka et 600 km de Kinshasa), à la frontière avec le Congo-Brazzaville.

Une « maladie mystique »

La nouvelle épidémie n’est pas une maladie normale mais le « résultat d’un mauvais sort jeté sur ce village par un chasseur qui s’était fait voler un gros gibier. C’est une maladie mystique », croit Blandine Mboyo, habitante du quartier de Bongondjo à Mbandaka. « Ce mauvais sort est trop puissant parce qu’il frappe ceux qui ont mangé cette viande, entendu parler de ce vol ou encore vu l’animal volé », estime pour sa part Nicole Batoa, vendeuse. « Cette maladie est incurable. Ils le disent eux-mêmes à la radio, c’est parce qu’il s’agit de sorcellerie », déclare Guy Ingila, vendeur clandestin de carburant.

En RDC, comme un peu partout en Afrique, la maladie ou le décès ne sont jamais un phénomène naturel. L’OMS et les autorités ont déjà enregistré une cinquantaine de cas dont 27 décès. Du point de vue culturel, « autant de morts est la manifestation d’un mauvais sort et ne peut être provoqué que par un mauvais génie », explique Zacharie Bababaswe, spécialiste congolais de l’histoire des mentalités.

Avant l’expansion des Eglises évangéliques en RDC, des Congolais allaient voir le féticheur ou le guérisseur du village pour se soigner, explique Zacharie Bababaswe. Cette croyance à la superstition a simplement changé de forme. « Avant les années 1980, n’importe quelle maladie avait une origine mystique », se rappelle-t-il et le féticheur proposait toujours une solution mystique.

Après la décennie 1980, « des charlatans se sont transformés en pasteurs pour prendre le relais des guérisseurs et des féticheurs » et proposer des solutions mystiques aux problèmes de santé, rappelle Zacharie Bababaswe : « A un problème spirituel, la solution n’est pas médicale », pense-t-on.

Des croyances profondes

Il y a quelques semaines, deux malades d’Ebola venus de Bikoro, l’épicentre de l’actuelle épidémie, s’étaient rendus en urgence dans des églises au lieu d’aller dans un centre de santé pour suivre des soins, selon des témoignages. Un autre malade, interné à l’hôpital général de Mbandaka le 1er mai, a préféré quitter l’hôpital pour se faire soigner par un guérisseur. Cette attitude inquiète le personnel médical et autres leaders communautaires.

Les fétiches n’étant plus à la mode actuellement, c’est à l’église que la solution à la maladie peut être trouvée grâce aux miracles que « le pasteur peut obtenir de Dieu ». Par conséquent, la sensibilisation des masses à l’existence de la maladie devient prioritaire. « Il faut une communication adaptée », conseille Zacharie Bababaswe, parce que les gens ne changeront pas en un jour « leurs habitudes séculières ».

Les Eglises sur le devant de la scène

Pour enrayer la propagation de l’épidémie, il faut « expurger de la tête des villageois que la maladie à virus Ebola est un mauvais sort jeté sur les villages », estime le député Bavon N’Sa Mputu, un élu de Bikoro. Cette épidémie étant couplée à la misère, les Eglises, qui offrent aussi la solidarité, sont par la force des choses propulsées au-devant de la scène pour des solutions appropriées à un problème de santé publique qui peut mettre en péril l’humanité entière.

C’est la neuvième fois que la maladie à virus Ebola sévit sur le sol congolais depuis 1976. La dernière épidémie en RDC remonte à 2017. Rapidement circonscrite, elle avait fait officiellement quatre morts.

911 - 11 septembre 2001 - Le Pearl Harbour des néo-cons du PNAC (vidéo 50’38)

http://mai68.org/spip/spip.php?article7895

Guerre, mensonges, video

Enregistré sur LCP le 22 août 2014 vers 20h40

Cliquer sur l’image pour voir la vidéo.

À l’instant 42’31’’ de cette vidéo LCP, on apprend que la fièvre hémorragique peut être considérée comme une arme de guerre. Ceci est aujourd’hui particulièrement intéressant, puisque le virus Ebola est la fièvre hémorragique la plus connue.

Il faut relier cette information involontaire de la vidéo au film "Alerte" où, par précaution par rapport à une éventuelle censure, le virus ne s’appelle pas "Ebola" mais "Motaba", tout en ayant toutefois exactement la même forme qu’Ebola sur les photos !

Dans ce film, il est dit que ce virus est une arme de guerre, et il est précisé que ce virus "vole", c’est-à-dire se transmet à travers l’air ambiant, comme la grippe. D’ailleurs, les médecins qui se battent contre Ebola ont des tenus NBC, ce qui prouve bien que le virus ne se propage pas seulement par contact.

Par exemple, malgré la dangerosité du SIDA, aucun médecin ne soigne les sidateux avec une telle tenue, contrairement à ce qui se passe pour Ebola !

Le virus Ebola est "apparu" pour la première fois au Zaïre en 1976 (et le virus motaba du film "Alerte" vient lui aussi du Zaïre, bien sûr). Les Amerloques ont bien sûr le vaccin et le médicament ; car, quand on fabrique un virus de guerre, on le muni d’un gène de sensibilité à un antibiotique en cas de problème. Mais, comme dénonce le film "Alerte", ils ne veulent pas les donner, parce qu’ils tiennent à leur virus de guerre !

Finalement, ils ont fini par donner le vaccin en le prétendant "expérimental". Mais diverses personnes refusent de se faire vacciner parce qu’ils croient à une sorcellerie. Ce qui fait que le virus risque de se répandre à travers le monde.

Le SIDA aussi est une arme de guerre nous donneront-ils un jour le vaccin ?

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Le pouvoir a volontairement donné le SIDA à la population

Affaire du sang contaminé : ce n’est pas accidentellement ni pour le fric qu’on a livré des produits sanguins contaminés à la population, mais volontairement : pour propager le SIDA. Voici un groupe d’article dont celui du très sérieux Docteur Segal de RDA, qui prouve que le virus a été fabriqué par l’homme. Lui pense que que le virus a ensuite été diffusé par accident. Et moi, je pense qu’il a été volontairement diffusé pour lutter contre l’amour libre (Woodstock et les hippies : « Faites l’amour, pas la guerre ! ») qui menaçait de totalement déstructurer la société de l’exploitation de l’homme par l’homme (relire Wilhelm Reich). Et je pense que l’« élite » a un vaccin depuis le début. Mais qu’elle ne le donnera jamais. SIDA = Sexe Interdit Défense d’Aimer.

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