Où l’on reparle du Chiapas du sous-commandant Marcos
Dr Maudrux - "Certains interviennent sur l’OMS pour qu’on ne parle pas des traitements !"
Sud Radio - 22 mars 2021
La France est intervenu au niveau européen et à l’OMS pour qu’on ne parle pas des traitements comme l’ivermectine
Olivier Véran, le 18 mars dernier, découvre les traitements :
« Certains malades avaient été admis en catastrophe à l’hôpital. Ils étaient restés chez eux avec leurs symptômes, n’avaient pas nécessairement perçus qu’ils étaient en hypoxie, qu’ils manquaient d’oxygène, et qu’ils avaient besoin de soins. Et, ils se sont rendus compte trop tard de leur état de santé justifiant un transfert pour des soins lourds de réanimation.
« Dans certains cas, on pourra vous proposer des médicaments, un traitement. Si vous avez par exemple des troubles respiratoires, on pourra vous proposer de l’oxygène, y compris d’ailleurs chez vous. Ça se fait dans un grand nombre de situations pour vous permettre de mieux respirer.
« On pourra également vous prescrire des traitements dans certaines indications précises, tels que des anticoagulants pour éviter les risques de thromboses, des antibiotiques… »
Maudrux :
« Ça fait un an que je le dis.
« Ça fait un an que le directeur de la santé, M. Salomon écrit régulièrement, envoie des mails aux médecins, en disant : « Ne prescrivez pas d’antibiotiques, prescrivez du doliprane ».
« Ce qui m’a révolté, et qui m’a fait pousser un gros coup de gueule, c’est que la France intervient au niveau européen et à L’OMS pour qu’on n’en parle pas ! »
« L’OMS se prononcera à la fin du mois »
Note de do : la fin du mois est maintenant passée et l’OMS s’est évidemment prononcé contre l’ivermectine ! La France est contente.
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