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La propagande scolaire en France (vidéo)

dimanche 21 août 2022, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 21 août 2022).

https://youtu.be/W08O-SHWyt4

Diplôme national du brevet 2022 :
l’épreuve d’Histoire-Géographie infligée aux collégiens !

UPR - 19 août 2022

Cliquer ici pour télécharger la vidéo

Note de do : Propagande dans l’anti-propagande

La première partie sur la propagande européiste faite à l’école est parfaitement bien analysée ; mais, ensuite, dans la seconde partie, l’anticommunisme primaire d’Asselineau est particulièrement criant. C’est normal qu’il ne soit pas communiste, me direz-vous, puisqu’il est gaulliste. Mais, tout de même, je pense que de Gaulle était beaucoup moins anticommuniste que lui.

Cela commence avec Tchernobyl en 1986 qui serait le premier marqueur de la fin de l’URSS d’après Asselineau. Mais, dans ce cas, pourquoi l’accident de la centrale nucléaire américaine de Three Miles Island en 1979, qui fut cachée en occident, mais qui eut les mêmes répercussions que Tchernobyl, n’a-t-elle pas marquée la fin des USA ?

La fin de L’URSS est beaucoup plus liée à la guerre d’Afganistan où les USA ont réussi l’entrainer qu’à Tchernobyl.

En fait, la fin de l’URSS n’est pas essentiellement due à un échec interne. Elle est dialectiquement liée au fait que tout l’Occident s’est acharnée contre elle et au fait que Gorbatchev est un traître payé par la CIA.

Conclusion : les révolutionnaires ne doivent donc pas idolâtrer Asselineau. Celui-ci a l’avantage d’analyser correctement quelques vérités qu’on voudrait nous cacher. Mais, il ne va pas plus loin que son gaullisme le lui permet.

Les causes de l’explosion nucléaire de Tchernobyl :

http://mai68.org/spip/spip.php?article1369

(Les alarmes avaient été désactivées)

Bip Bip - 4 octobre 1957 - Spoutnik, exploit soviétique et honte américaine (vidéo 2’21)

http://mai68.org/spip/spip.php?article7433

Extrait de "La grande histoire de la conquête spatiale"

Enregistré sur France 5 le 21 juin 2014 à 23h

Cliquer ici pour télécharger la vidéo

Bonjour à toutes et à tous,

On n’arrête pas de nous dire, dans la propagande télévisuelle que les Soviétiques étaient des incapables, que tout ce qu’ils ont fabriqué, ils en ont piqué la technologie aux autres grâce à leurs espions. Mais, là, pour envoyer Spoutnik dans l’espace, ils avaient espionné QUI ? les extra-terrestres ? Ou bien avaient-ils fabriqué une machine à voyager dans le temps pour espionner les Amerloques dans le futur ?

Et c’est pas tout, car le premier être vivant dans l’espace, ce fut la chienne russe Leika. Le premier homme dans l’espace fut le soviétique Youri Gagarine, la première femme dans l’espace fut aussi soviétique, de même que le premier homme qui est sorti de sa fusée dans l’espace ! Etc.

Mir fut la toute première station spatiale, et elle avait été fabriquée par les soviétiques. Elle faisait la fierté des communistes russes… et la honte des capitalistes américains !

Quelques années après qu’ils aient dû abandonner leurs couteux et inutiles voyages dans la Lune, on a pu se moquer pendant quinze ans des Américains, de leur "supériorité" et de leur haute technologie en soulignant qu’ils avaient changé de rêve : « Les Américains ne vont plus dans la Lune, ils vont dans Mir ! »

Voici un extrait légèrement adapté de mon journal sur les retraites qui parle de la station Mir :

http://mai68.org/journal/N53/7fevrier2001.htm

En Russie, il n’y a jamais eu de communisme, seulement du capitalisme d’État. Voir dans les annexes de la théorie du concept "le spectacle de l’effondrement du communisme" :

http://mai68.org/spip/spip.php?article1701

Du point de vue de l’économie et de l’exploitation (dans le sens de la diminution de cette dernière), le faux-communisme à la Russe était tout de même bien mieux que le capitalisme privé, dit "libéral".

Alors qu’en Amérique, par exemple, il y a plusieurs centaines de patrons pour exploiter la population ; en URSS, il n’y en avait qu’un seul dont le plus célèbre est peut-être Staline. Comme chaque patron américain cherche à profiter autant de la population américaine que le seul Staline de la population russe, les salariés américains sont forcément beaucoup plus exploités que ceux de la Russie prétendue "communiste".

Et, du point de vue économique, contrairement à ce que prétendent les mensonges les plus éhontés qui ont cours aujourd’hui, le capitalisme d’État (le pseudo-communisme) a cent fois prouvé sa supériorité sur le capitalisme privé (dit "libéral").

Le fait que toute concurrence ait été supprimée en URSS a permis de supprimer aussi le gaspillage qui va avec. Puisqu’aujourd’hui il est besoin d’expliquer cela au moins un tout petit peu, songez par exemple que si en Amérique cent entreprises concurrentes font des recherches identiques, ce pays devra les financer cent fois tandis que dans la Russie de Staline, il suffisait de les financer une seule fois !

De plus, en URSS, au lieu qu’il y ait concurrence entre les chercheurs, il y avait solidarité. C’est-à-dire qu’en Russie dite "communiste" les chercheurs s’entraidaient alors qu’en Amérique la concurrence les pousse à se tirer dans les pattes.

C’est ainsi qu’un pays au départ complètement sous-développé comme la Russie du début du 20e siècle a pu gagner non pas la course à la Lune, qui n’était qu’un leurre extrêmement cher et inutile, mais bel et bien la course à l’espace.

Quelques années après qu’ils aient dû abandonner leurs voyages dans la Lune, on a pu se moquer pendant quinze ans des Américains, de leur "supériorité" et de leur haute technologie en soulignant qu’ils avaient changé de rêve : « Les Américains ne vont plus dans la Lune, ils vont dans Mir ! ». Mir était la toute première station spatiale, et elle avait été fabriquée par les soviétiques. Elle faisait la fierté des communistes russes… et la honte des capitalistes américains !

Car oui, pour la station spatiale, étape indispensable à une éventuelle conquête spatiale dont je n’ai certainement pas dit que je l’approuvais, l’URSS avait tout bonnement quinze ans d’avance sur l’Amérique. C’est bien pour ça que, dès qu’ils en ont eu les moyens, les Américains ont imposé aux Russes la suppression de la preuve de leur défaite philosophique : les aides américaines au maintien du pouvoir d’Eltsine en Russie, puis de son successeur, se sont marchandées notamment à propos de la date de la destruction de Mir !

Bien à vous,
do
23 juin 2014
http://mai68.org

Les USA ont poussé l’URSS à intervenir en Afghanistan (par Zbigniew Brzezinski, conseiller de Carter)

http://mai68.org/spip/spip.php?article1127

Nouvel Observateur 20 janvier 1998

LES RÉVÉLATIONS D’UN ANCIEN CONSEILLER DE CARTER

Zbigniew Brzezinski, 14 mars 1977

Oui, la CIA est entrée en afghanistan avant les Russes…

Le Nouvel Observateur - L’ancien directeur de la CIA Robert Gates l’affirme dans ses Mémoires (1) : les services secrets américains ont commencé à aider les moudjahidine afghans six mois avant l’intervention soviétique. A l’époque, vous étiez le conseiller du président Carter pour les affaires de sécurité ; vous avez donc joué un rôle clé dans cette affaire. Vous confirmez ?

Zbigniew Brzezinski (2). - Oui. Selon la version officielle de l’histoire, l’aide de la CIA aux moudjahidine a débuté courant 1980, c’est-à-dire après que l’armée soviétique eut envahi l’Afghanistan, le 24 décembre 1979. Mais la réalité, gardée secrète jusqu’à présent, est tout autre : c’est en effet le 3 juillet 1979 que le président Carter a signé la première directive sur l’assistance clandestine aux opposants du régime pro-soviétique de Kaboul. Et ce jour-là, j’ai écrit une note au président dans laquelle je lui expliquais qu’à mon avis cette aide allait entraîner une intervention militaire des Soviétiques.

N. O. - Malgré ce risque, vous étiez partisan de cette « covert action » [opération clandestine]. Mais peut-être même souhaitiez-vous cette entrée en guerre des Soviétiques et cherchiez-vous à la provoquer ?

Z. Brzezinski - Ce n’est pas tout à fait cela. Nous n’avons pas poussé les Russes à intervenir, mais nous avons sciemment augmenté la probabilité qu’ils le fassent.

N. O. - Lorsque les Soviétiques ont justifié leur intervention en affirmant qu’ils entendaient lutter contre une ingérence secrète des Etats-Unis en Afghanistan, personne ne les a crus. Pourtant, il y avait un fond de vérité… Vous ne regrettez rien aujourd’hui ?

Z. Brzezinski - Regretter quoi ? Cette opération secrète était une excellente idée. Elle a eu pour effet d’attirer les Russes dans le piège afghan et vous voulez que je le regrette ? Le jour où les Soviétiques ont officiellement franchi la frontière, j’ai écrit au président Carter, en substance : « Nous avons maintenant l’occasion de donner à l’URSS sa guerre du Vietnam. » De fait, Moscou a dû mener pendant presque dix ans une guerre insupportable pour le régime, un conflit qui a entraîné la démoralisation et finalement l’éclatement de l’empire soviétique.

N. O. - Vous ne regrettez pas non plus d’avoir favorisé l’intégrisme islamiste, d’avoir donné des armes, des conseils à de futurs terroristes ?

Z. Brzezinski. - Qu’est-ce qui est le plus important au regard de l’histoire du monde ? Les talibans ou la chute de l’empire soviétique ? Quelques excités islamistes ou la libération de l’Europe centrale et la fin de la guerre froide ?

N. O. - « Quelques excités » ? Mais on le dit et on le répète : le fondamentalisme islamique représente aujourd’hui une menace mondiale…

Z. Brzezinski - Sottises ! Il faudrait, dit-on, que l’Occident ait une politique globale à l’égard de l’islamisme. C’est stupide : il n’y a pas d’islamisme global. Regardons l’islam de manière rationnelle et non démagogique ou émotionnelle. C’est la première religion du monde avec 1,5 milliard de fidèles. Mais qu’y a-t-il de commun entre l’Arabie Saoudite fondamentaliste, le Maroc modéré, le Pakistan militariste, l’Egypte pro-occidentale ou l’Asie centrale sécularisée ? Rien de plus que ce qui unit les pays de la chrétienté…


NOTE 1 : « From the Shadows », par Roberts Gates, Simon and Schuster.

NOTE 2 : Zbigniew Brzezinski a été conseiller à la sécurité nationale du Président des États-Unis Jimmy Carter de 1977 à 1981.

Cliquer ici pour l’article, et les commentaires

Russie - 10 avril 2014 - Bientôt des poursuites contre le traître Gorbatchev ?

Le 8 décembre 1991, les présidents de la Russie, de la Biélorussie et de l’Ukraine ont signé le traité de Minsk sur la dissolution de l’URSS et la formation de la CEI. Dans les jours qui ont suivi, huit autres républiques ont rejoint ce traité. Le 25 décembre, Mikhaïl Gorbatchev a démissionné du poste présidentiel. Tout cela s’est produit alors qu’au référendum de mars 1991, 77,85% des citoyens soviétiques s’étaient prononcés en faveur du maintien de l’Union soviétique.

Combien y avait-il sur le "compte en suisse" donné par la CIA à Gorbatchev pour détruire l’URSS ?

La suite ici : http://mai68.org/spip/spip.php?article7083

8 Messages de forum

  • La propagande scolaire en France (vidéo) 21 août 2022 23:41, par Luniterre

    Bonjour, camarade !

    Effectivement, Asselineau se réclame du gaullisme, et Asselineau est franchement anticommuniste, comme bon nombre de gens qui se réclament du gaullisme, du reste !

    Personnellement, ayant pris la responsabilité de relayer le texte et la vidéo du petit fils du Général, Pierre de Gaulle, j’ai donc entrepris une recherche sur l’état actuel de ce qui reste du mouvement gaulliste, qui a toujours été divisé en plusieurs tendances, en fait, allant d’une sorte de centre gauche social à une extrême-droite nationaliste à peine voilée, et qui s’est en quelque sorte « dévoilée » sur la question algérienne, avant de se « revoiler » derrière le concept de « françafrique », qui perdure encore, jusque sous le macronisme, même s’il semble enfin arriver en bout de course historique…

    Aujourd’hui, le gaullisme ce n’est pas seulement « plusieurs tendances », mais carrément une « nébuleuse » aussi obscure et complexe que la plupart des autres courants idéologiques traditionnellement survivants en France.

    Le courant « historique » qui me semble le plus « représentatif » de la tradition gaulliste, avec ses principales composantes, reste donc le RPF, récemment « reconstitué » comme mouvement fédérateur de ces composantes.

    https://www.rassemblement-du-peuple-francais.org/

    Le site est du reste assez compliqué, et l’on s’y perd carrément, à tous points de vue.

    Je me suis intéressé à la question ukrainienne et aux positions des uns et des autres sur le sujet, ainsi que leurs attitudes diverses à l’égard de l’impérialisme US.

    Il y a de fortes contradictions au sein même de ce « mouvement », en réalité disparate et le principal responsable, Henri Fouquereau, semble plutôt hostile à la Russie, même s’il ne l’exprime pas ouvertement. En tout cas il exprime son amitié envers les USA d’une façon qui suscite des réactions au sein même de sa propre tendance de ce RPF :

    http://www.leforumpourlafrance.fr/app/download/37600149/Vers+un+ans-bamericanisme+primaire+_220808_173925.pdf

    Son « adjoint » Sébastien Nantz, membre et dirigeant, quant à lui, de l’UPF, autre micro-parti adhérent du RPF, est également pour le moins « modéré » sur la question, sans non plus se prononcer franchement, ce qui semble à priori assez incohérent avec un « gaullisme » pourtant péremptoirement revendiqué.

    Dans ces conditions, le discours de Pierre De Gaulle, que l’on retrouve difficilement, sur ce site RPF, dans une rubrique « blog-articles »,

    https://www.rassemblement-du-peuple-francais.org/le-rpf/blog-articles/

    …reste donc essentiellement atypique, sinon carrément « décalé » par rapport à l’ensemble, et jusqu’à présent il me semble être le seul à exprimer une analyse et une position claire sur la question ukrainienne et sur l’attitude politique et diplomatique que la France devrait logiquement adopter si elle veut rester fidèle à son esprit d’indépendance tel que défini par le Général De Gaulle lui-même.

    Néanmoins, et malheureusement, en dehors de quelques rares « sorties » médiatiques, il ne semble pas avoir d’engagement politique réel, étant par ailleurs économiste, de son véritable métier, ce qui est plutôt rassurant et encourageant, du reste, concernant sa lucidité politique.

    Asselineau, quant à lui, n’a semble-t-il aucune part à ce « canal historique » du gaullisme, pas plus que Dupont-Aignan ou Florian Philippot, du reste.

    Associer l’anticommunisme des uns ou des autres au gaullisme n’est donc pas forcément une analyse appropriée.

    La caractéristique « sociale » du gaullisme est en principe de vouloir « associer le travail et le capital », à travers, notamment, le concept de « participation », et, pour ses composantes les plus « à gauche » , dans un mouvement coopératif de type tout à fait proudhonien, coopératives ouvrières et autres SCOPs, et donc libertaire, par bien des aspects. C’est l’utopisme réformiste « de gauche » traditionnellement critiqué par Marx et Engels, dès l’origine.

    A juste titre, à ceci près, aujourd’hui, que ce débat, dans les pays technologiquement avancés, est désormais essentiellement dépassé par l’évolution banco-centraliste du mode de production.

    La question est donc de savoir si la frange de la bourgeoisie et de la petite bourgeoisie qui se trouve marginalisée, avec ses rapports de production capitalistes « traditionnels » et désormais archaïques peut se constituer en un courant politique souverainiste cohérent et qui s’opposerait réellement au banco-centralisme. Ce qui implique concrètement, pour commencer, de soutenir carrément la Résistance actuelle de la Russie contre le néonazisme ukrainien et ses sponsors Otanesques.

    Actuellement, ce n’est donc pas le cas d’Asselineau, ni de Dupont-Aignan non plus, du reste, malgré quelques nuances « diplomatiques » relativement positives.

    Le cas de Florian Philippot reste également ambigu, même s’il semble évoluer plutôt positivement, ces derniers temps.

    Pour l’instant je continue donc à relayer, même si sans illusion sur sa portée actuelle, la position la plus avancée sur cette question, qui reste celle de Pierre De Gaulle, parmi les personnalités ayant une certaine autorité morale et politique en France.

    Etant donné la débandade quasi complète de la base « gauchisante » en France, cela constitue un point d’appui positif et utile pour tenter de communiquer sur cette difficile question.

    Luniterre

    Le Vrai Prix de Notre Liberté !

    https://mai68.org/spip2/spip.php?article12411

    Retour sur le "réveil de conscience" d’Amnesty International

    https://mai68.org/spip2/spip.php?article12353

    http://cieldefrance.eklablog.com/retour-sur-le-reveil-de-conscience-d-amnesty-international-a212977159

    ****************

    http://cieldefrance.eklablog.com/la-france-en-paix-dit-stop-otan-stop-guerre-a212801533

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    Discours de Pierre de Gaulle, petit-fils du Général De Gaulle à l’occasion de la Fête Nationale de la Fédération de Russie - TEXTE INTÉGRAL - VIDÉO -

    http://cieldefrance.eklablog.com/discours-de-pierre-de-gaulle-petit-fils-du-general-de-gaulle-a-l-occas-a212801269

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    PNG - 327.2 ko

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    • La propagande scolaire en France (vidéo) 22 août 2022 00:29, par do

      Salut Luniterre,

      Tu dis : « Ce qui implique concrètement, pour commencer, de soutenir carrément la Résistance actuelle de la Russie contre le néonazisme ukrainien et ses sponsors Otanesques. Actuellement, ce n’est donc pas le cas d’Asselineau »

      Réponse : Il me semblait que si, qu’Asselineau était pour les Russes ?

      Bien à toi,
      do
      http://mai68.org

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      • La propagande scolaire en France (vidéo) 22 août 2022 02:03, par Luniterre

        Re…

        Asselineau sur UPR-TV, le 24 F2évrier 2022 :

        « La toute première chose que je voudrais dire quand même, c’est qu’on ne peut pas tolérer qu’un État se fasse justice soi-même. C’est condamné par le droit international. Un État n’a pas le droit, depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale et depuis la création de l’Organisation des Nations Unies, d’intervenir militairement dans un autre État, à une seule exception près : si le conseil de sécurité des Nations Unies, en vertu du chapitre 7 de la charte de l’ONU de San Francisco, a donné son accord à un État ou un groupe d’États ou à des casques bleus pour intervenir militairement dans un autre État. Tout ça est très codifié, mais sinon on n’a pas le droit de le faire. En d’autres termes, et je suis désolé de le dire à tous les admirateurs de la Russie, dont je fais partie, il faut être juste et honnête : c’est un coup de force qu’a fait Vladimir Poutine et qui n’est pas conforme au droit international et qui doit donc être condamné. »

        https://youtu.be/W-d7AxEBc30

        La suite de son discours « historique » est fortement teintée d’anticommunisme et d’approximations historiques, même s’il arrange les choses à sa manière, assez opportuniste pour ne pas perdre le soutien de sa base, selon son habitude.

        Récemment, Philippot semble également s’exprimer dans un sens plus favorable à la Russie, ce que je suppose également motivé par l’évolution de sa base, et pour ne pas la perdre non plus. Reste à voir, sur le terrain jusqu’où ce type de démarche peut avancer.

        Luniterre

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  • La propagande scolaire en France (vidéo) 22 août 2022 15:51, par MT

    Pour le référendum, j’en ai rediscuté en 2014 avec des ex-Soviétiques. ( on agissait pour le Donbass). On fait un sondage : 100% des présents soit avait voté Oui au maintien de l’URSS, et sinon, pour celle qui avait noté, non, elle disait qu’elle avait eu tort et regrettait.
    Toutes et tous commentaient ce qu’ils avaient perdu depuis la fin de l’URSS.

    MT

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  • La propagande scolaire en France (vidéo) 22 août 2022 15:53, par Eva

    tu es super, merci !

    Répondre à ce message

  • La propagande scolaire en France (vidéo) 22 août 2022 17:03, par H

    N’a t-il pas mieux à faire que de juger une dame défunte, le père Asselineau ?

    Tendre la main à Philippot par exemple … Bon, il faudra que son ego se rappelle qu’il est Asselineau et pas De Gaulle …

    salut Do, connais-tu quelqu’un qui partage totalement les idées d’un autre ?
    Voilà pourquoi il faut s’accorder sur l’essentiel et oublier les chicaneries, mais que c’est dur …

    H

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